Descartes Lien Passion Liberté

des dieux, ni de la mort. Faire le tri dans ses désirs (naturels, vains …), avoir un pouvoir d’action, de décisions sur sa vie. Atteindre un équilibre entre le trop et le pas assez. Stoïcisme : existe une liberté intérieure, paradoxalement, il ne faut pas aller jusqu’à le transformer en liberté physique. Ils croient en la toute puissance de la raison, en la notion de destinée. Volonté : organisation réfléchie de moyen, en vue d’une fin. Autrui : est un autre que moi, un autre moi. Paradoxal

le corps comme sujet, puis-je pour autant penser un sujet qui se distingue du corps et qui en serait comme le propriétaire ? Il s’agit de tenter de comprendre la présence-distance du corps à la subjectivité, de penser le sujet de cette union que Descartes renvoyait au domaine du sentiment mais qu’il nous faut penser si l’on veut concevoir un seul et même sujet pour la science et pour la vie.   I-Dire que « je suis mon corps », c’est supposer une identité immédiate du corps au statut de sujet. Le

seuls moyens d'expression nous permettant de communiquer oralement nos pensées. La parole est nécessaire à tout être humain. Sans « paroles », il serait quasiment impossible de retranscrire le plus fidèlement possible nos pensées. Il existerait donc un lien réel entre pensées et paroles, puisque la pensée précède généralement la parole. L'individu peut également être catégorisé selon ses paroles. Selon Heidegger, « l'homme est l'homme en tant qu'il est celui qui parle ». La parole est le propre de l'homme

musique écrit : « Aussi, peut-on dire de cet art qu’il constitue toujours – métaphoriquement cela s’entend – un jeu de société […]. Or, le créateur solitaire intérprétant ses propres compositions et étant son seul auditoire n’échappe pas lui-même au lien d’appartenance sociale : même lorsqu’il cherche à fuir la société, l’artiste musicien – tel l’Orphée-Roi de Victor Segalen – est pour ainsi dire fatalement rattrapé par elle ». Par conséquant, la musique s’inscrit fondamentalement et nécessairement

relations mécaniques, organisation conditionnée génétiquement (toujours pareil). * Société humaine = changeante se fondent sur des principes ≠ fluidité. Autrui = personne → nous rencontrons la liberté quand nous rencontrons autrui. * Sociétés dans lesquelles existe la possibilité de liberté. Autrui : * Alter/ego Moi (semblable car il y a aussi les caractères de la personne. Mais ≠ identique) Autre (différent) * Il n’est jamais identique à moi. Ex : vrais jumeaux (identiques

est une grille d’analyse qui permet de mieux comprendre d’où vient la violence dans les relations humaines conflictuelles et de sortir de la spirale de la violence. Savoir identifier les acteurs 2. La pensée d’A. Maalouf concernant l’identité (lien avec les appartenances…) : Pour Maalouf né en 1949 au Liban), l’identité est ce qui fait qu’on est identique à aucune autre personne. L’identité de chaque personne est constituée d’une part des éléments qui figurent sur les registres officiels et

devant nous et nous avons les moyens de l'atteindre. Partie II: la sécularisation de la cité terrestre. La société chrétienne médiévale appraît comme une réalité sociale et politique parfaitement structurée. Deux idées: il existe un lien quasi physique entre Dieu et le monde. Se traduit par la perspective que le créateur détient le toute puissance et qu'il est capable d'intervenir à tout moment dans les affaires du monde. La société médiévale est tournée vers l'accomplissement

Cette philosophie refuse d’imposer à l'individu des devoirs de société. Dans un monde fidèle à leur pensée, tout le monde aurait droit à sa propre opinion sans que quiconque le juge. Deux principes sont mis de l'avant dans l'individualisme : la liberté individuelle ainsi que l'autonomie morale. De plus, cette idéologie comporte des sous-catégories telles que l’individualisme anarchiste et libéral. Ces sous-catégories sont simplement des nuances avec l’idée principale. Premièrement, l’individualisme

est-il bien un homme, s’il est vide de contestation ? Comment l’homme peut évoluer sans remettre en cause ce qu’il vit ? Presque tous les courants de pensée ont donné leur définition de l’homme : être doué de raison (les stoïciens), être pensant (Descartes), être social (Marx)… Par ces définitions, nous voyons bien qu’il faut à l’homme mener tout au long de sa vie un grand nombre de contestations, de réflexions pour se réaliser pleinement sans s’enfermer dans l’aliénation de son être. La raison, la

part des chrétiens, qui, outre son athéisme, reprochent à Sartre sa vision pessimiste de l'existence. Contre ses adversaires, Sartre soutient que l'existentialisme est un humanisme "puisque le destin de l'homme est en lui-même». Selon Sartre, la liberté de l'Homme est telle dans son propre devenir que nul ne peut prédire même très grossièrement quel tour l'Histoire prendra demain s’opposant ainsi à La notion de « sens de l'Histoire » chère à Hegel. Cela le conduit à rejeter par ailleurs l'optimisme