Descartes Substance Pensante

Pendant la Renaissance du 16e siècle, Renée Descartes étudie les sciences et conçoit sa propre définition de l’être humain. Au 18e siècle, pendant le siècle des lumières, Jean-Jacques Rousseau vient lui aussi apporter sa vision de l’homme et base ses fondements sur un point de vue historique plutôt que scientifique. Ainsi, ces deux philosophes et leurs visions seront mises en parallèle dans ce texte comparatif. La base de la philosophie de Renée Descartes et sa conception de l’être humain et des sciences

De la conscience à l’inconscient Dans le langage courant, et ce fut son sens jusqu’au XVIIe siècle avec Descartes, conscience signifie conscience morale, capacité d’un homme à porter des jugements de valeur morale sur ses intentions et ses actions. C’est dans ce sens qu’on peut dire qu’on a une bonne ou une mauvaise conscience, ou alors qu’il faut écouter la voix de sa conscience. Dans ce cas-là, elle apparaît comme un juge, qui va soit autoriser soit défendre. Mais pris dans son sens large

La Conscience Qu'est-ce que nous perdrions en perdant la conscience ? Notion première : "Notions d'elles mêmes si claires qu'on les obscurcit en voulant les définir" (Descartes) Conscience immédiate spontanée : Réalité extérieure : perception interne et externe. Conscience réfléchie : capacité de se représenter le monde, se projeter dans l'avenir, dans la mémoire. Conscience mortelle : J'ai conscience d'être mortel en dehors de tout danger qui me menace. Sens moral : La conscience permettrait

solipsisme cartésien :                C’est avec Descartes qu’est formulé pour la première fois le problème de l’existence d’autrui à partir de la constitution fondamentale du sujet, du « je pense ». Descartes, dans l’épreuve du doute, met en question l’existence de toute chose dans la mesure où ceci pourrait n’être qu’illusion. Mais il y a quelque chose qui résiste au doute et dont nous pouvons être tout à fait certain, c’est l’ego cogitans (le sujet pensant) car dès que je pense, je ne peux manquer de

conscience d'être, elle, est nécessairement vraie. Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre le caractère absolument certain de l'existence du sujet pensant : «  je pense, donc je suis  ». Quand bien même tout ce en quoi je crois n'aurait pas plus de vérité que le contenu de mes songes, une certitude demeure, celle que j'existe, et aucun doute, aussi exagéré soit-il, ne peut la remettre en cause. • Descartes fait ainsi du phénomène de la conscience de soi le fondement

Descartes : Du doute au cogito a) Descartes commence par douter de ses sens (nous avons tous été abusé un jour ou l’autre. Or, il est préférable de ne pas se fier à celui qui vous a déjà trompé). Donc puisque mes sens me trompent quelquefois, je décide de faire comme s’ils me trompaient toujours. Je ne peux donc plus me fier à mes sens. Conséquences : je ne suis plus certain de l’existence du monde extérieur, ni de l’existence de mon propre

plutôt complexe et plusieurs savants ont tenté d’émettre des hypothèses concernant la composition de l’être humain. Parmi ceux-ci, le célèbre René Descartes formula une théorie selon laquelle l’Homme est composé de deux substances indépendantes l’une de l’autre et de nature différente. Selon lui, l’être humain possède un corps qu’il considère comme une substance matérielle et corruptible et un esprit ou une âme qui elle est immatérielle et immortelle ou incorruptible. Plusieurs s’opposèrent à cette hypothèse

donc je suis » à « Il est pensé donc il y a un sujet pensant ». La pensée est présentée comme quelque chose d’impersonnel qui n’est pas produite par un individu; c’Est-ce que nous indique la tournure passive. Nietzsche rend la pensée indépendante d’un sujet qui la porterait à la première personne. Nietzsche reproche à Descartes le fait que son cogito postule l’existence d’un sujet qui existerait comme une chose, une substance. (Chez Descartes, le « Moi » est d’abord défini comme une res-cogitans

Conscience spontanée de soi et conscience philosophique de soi. Il est possible d'opposer ce qui est en nous conscience spontanée et ce que nous sommes vraiment. C'est ce que fait Descartes. Cherchant méthodiquement à découvrir une vérité "entièrement indubitable", il décide de se débarrasser de tous les préjugés reçus depuis l'enfance. C'est alors qu'il est conduit à opposer ce qu'il a conscience d'être spontanément, avant sa méditation philosophique, et ce qu'il est vraiment, être dont il ne

: IIème Méditation Métaphysique – Descartes (p25) Para 1 : Rien au monde n'est certain → Déséspoir → Qu'est qui est certain ? → Rêve ? Para 2 : Le Cogito : évidence, certitude → « Pour penser, il faut être » Texte 2 : II ème Méditation Métaphysique – Descartes Question sur son existence : « Mais qu'est ce donc que je suis ? ... » Ligne 1 Ligne 2 = Définition d'une chose pensante Texte 3 : I ère Méditation Métaphysique – Descartes Para 1 : Recherche de la vérité, beaucoup