Descartes Sujet Pensant

de la perception du sujet : l’homme peut-il se saisir lui-même ? Selon Hume, l’homme n’est-il qu’une suite de perceptions, sans unité qui lie le tout : ainsi la «res cogitans» (chose pensante), comme l’énonce Descartes dans Discours de la méthode, n’existe pas. L’auteur commence d’abord par énoncer sa thèse : l’homme est une suite de perception sans unité. De plus Hume évoque l’idée d’un être capable se saisir lui même, antithèse défendu par des philosophes comme Descartes. Ces philosophes affirment

Chapitre 1 le sujet. -La conscience / l’inconscient/autrui La conscience est l’intuition plus ou moins claire et complète qu’un sujet possède de ses états ou de ses actes. C’est à la foi pensé, savoir que l’on pense et être capable de se rapporter à soi-même la totalité de ce qu’on vit. L’homme découvre que sa dimension physique n’est pas existentielle, c’est par la pensée que l’homme accèdera à la connaissance. « Dans la nature rien ne pense » Il n’y a que l’homme qui pense alors la pensée n’est

qui tient pour bonne part au statut du sujet : le Je est à la fois le sujet de tous mes actes (pensées, actions, imagination) mais c’est un sujet que je ne saurais objectiver sans le dénaturer : car ce que j’atteins comme objet, ce n’est jamais le JE sujet. Or, le corps peut être atteint comme un objet puisqu’il est matériel et se donne sous l’aspect de l’objectivité. C’est ce que montre bien la science qui s’empare du corps. Ce même corps peut-il être sujet, avoir le statut de JE ? Ce corps n’est-il

(« j’ai conscience DE quelque chose » ). Il existe plusieurs consciences : · De nous : conscience réflexive · D’un objet extérieur · Une conscience morale : l’intuit° du bien et du mal Sujet  : personne à l’origine d’une connaissance ou d’une action. Opposé à l’objet. Liberté  : capacité de l’homme à choisir, à s’autodéterminer, à agir selon sa volonté. · Usage politique

Il est mis en cause car il pense que l’homme peut tout maîtriser et ne voit ainsi que sa Grandeur. Pascal vise ici Descartes et Epictète. Selon Descartes, l’homme peut arriver à la vérité par la Raison seule. Sa conception du corps comme animal-machine et sa mise en évidence de l’homme comme être pensant (cogito ergo sum) influence Pascal, mais ce dernier reproche à Descartes de parvenir à des constations théoriques abstraites qui font un absolu de la Raison et flatte la présomption de l’homme

expérience, son existence ne peut pas être déduite de son concept. Correction de la théologie rationnelle : Kant répond à Descartes qui affirme un siècle avant lui, qu’il est possible de déduire l’existence de Dieu à partir de son concept rationnelle. En effet la théologie rationnelle consiste à affirmer que Dieu peut s’éteindre par la raison donc par la démonstration. Descartes considère que l’un des objectifs de ses M.M.P est de donner des nouvelles preuves rationnelles de l’éxistence de Dieu. Il

Le sujet - La quête d'identité I/ Le statut du sujet 1/ le sujet désigne tout être vivant ou individu (être envisagé dans sa particularité) doué des facultés propres a tous les êtres de la même espèce => La conscience, la raison 2/ Etre conscient, c'est en même temps se découvrir dans son aptitude a penser, a douter : la voie de Descartes => Le cogito : « je pense donc je suis » - Telle est la vérité du sujet pensant : Penser exister, être sont indissociables 3/ Le pouvoir de

CORRECTION DISSERTATION Sujet : La conscience est-elle source d’illusions ? On définit généralement la conscience comme une connaissance, la connaissance que nous avons de nous-mêmes, de nos pensées, de nos états et nos actions. Elle apparaît donc comme une faculté propre à l’homme, qui lui permet de réfléchir sur lui-même et sur le monde qui l’entoure. On voit donc mal comment la conscience pourrait être source d’illusions, dans la mesure où l’illusion désigne ce qui relève de l’apparence

(trans) de tout ce qui est (ens), et que, comme tels, ils ne sont pas définissables : il ne s'agirait pas alors de les comprendre, mais de les saisir directement par une intuition immédiate. 1. Quel sens donnons-nous habituellement à la vérité ? Descartes remarque que l'on définit couramment le vrai comme ce qui n'est pas faux, et le faux comme ce qui n'est pas vrai… Ici, les contraires se définissent les uns les autres, et la définition, circulaire, est purement « nominale », c'est-à-dire qu'en fait

m’analyse et c’est par rapport à ces données de la conscience que je vais me définir. Je suis aussi un être pensant et j'ai conscience de ma pensée. la conscience réfléchie, qui depuis Descartes est censée avoir un privilège avec le cogito,  si il y a une identité entre conscience et être. D'apres Descartes : « Je suis un être pensant dont toute la nature est d'exister » Descarte va au dela de son raisonnement en impliquant, l'imagination. Parce que Je suis le seul à avoir la capacité de savoir