Descartes Sujet Pensant

de l’humanité, et en quoi cela le différencie de tous les autres êtres vivants . Il répond à ce problème en défendant la thèse selon laquelle c’est la conscience de soi qui définit la condition humaine : l’homme a conscience d’être un sujet, une personne morale. Pour défendre sa thèse, son argumentation se divise en trois parties. Dans la première partie, (L 1 à 6 ), il affirme que le pouvoir de la conscience de soi est propre à l’homme et assure sa supériorité sur les choses et les autres

Thème 1: Le SUJET chap.2 :LA CONSCIENCE Notion qui renvoie à celle de la connaissance. La conscience est la faculté mentale d'appréhender de façon subjective les phénomènes extérieurs (exe, sous forme de sensations) ou intérieurs (tels que ses états émotionnels) et plus généralement sa propre existence . La conscience= la connaissance plus ou moins claire qu'un sujet possède de ses états, de ses pensées et de lui-même. La conscience n'est pas de naturel matériel mais au contraire, serait

d'autres philosophes, pour le domaine de la philosophie, mais c'est aussi valable pour les autres domaines: les mathématiques par exemple. Dans sa première phrase, Descartes admet cela, il la débute par « Il faut », la lecture de ces ouvrages serait donc indispensable. Il illustre cette affirmation par un premier argument, pour Descartes, c'est un bénéfice de disposer de ces écrits, nous pouvons donc appuyer notre futur raisonnement sur ce qui était supposé vrai à l'époque, et qui l'est encore. La

LE MYTHE D’UNE VIE INTÉRIEURE PROPRE À CHACUN. On dit souvent que le fait de placer au centre de la réflexion philosophique la notion de conscience au sens psychologique est une des caractéristiques de la pensée philosophique moderne depuis Descartes. De fait, les Grecs de l’Antiquité n’avaient pas de mot correspondant exactement à ce que la langue française appelle « conscience ». Il ne faudrait pas en conclure hâtivement que les Grecs n’étaient pas conscients de ce qui leur arrivait et encore

à nous poser la question suivante, qui est, nos pensées sont-elles en notre pouvoir ?Le sujet nous interroge alors sur le verbe « pouvoir » sur la capacité que l’on peut avoir de penser, de réfléchir. Nous sommes capable de penser et c’est ce qui nous distingue des animaux . Ce qui nous amène à parler de la théorie métaphysique de la conscience, nos pensées relèvent de notre moi . Je pense, je suis (Descartes) .Puisque pour penser il faut être , le verbe être, être, exister donc penser . Pour autant

un contexte historique déterminé par des pensées et des études concrètes, et pour se faire, nous nous concentrerons sur deux sources d'époque: la Conférence sur l’expression générale et particulière de 1698 et le traité des Passions de l'âme de Descartes de 1649. Au XVIIe siècle, le corps est appréhendé comme extrêmement scientifique. En effet, l'héritage du XVIe siècle a créé de nouveaux imaginaires mécaniques où le corps est perçu comme une machine où le muscle a une efficacité et une fonction

Tout d’abord, pour être le même, il faut d’abord prendre conscience de soi. Mais cela soulève un problème : Suis-je moi parce que c’est une certitude ? Ou suis-je moi parce qu’autrui me définit comme tel ? C’est l’une des questions à laquelle Descartes répond avec son cogito. Selon lui, penser c’est être. Et être, c’est exister. De plus, le doute introduit la pensée. C’est parce que je doute de tout que je pense. C’est donc par la remise en question totale de l’environnement que je peux exister

L’entreprise de Descartes consiste à remettre en cause tout ce qui nous donne un sentiment de certitude (le vrai) et de faire semblant de le rendre faux. Il met en doute systématiquement tous les fondements sur lesquels ses anciennes croyances sont édifiées pour repartir d’une nouvelle base et fonder un savoir d’une certitude absolue (la vérité). Il porte le doute sur les sens (nos expériences sensibles) et sur les mathématiques qui donnent tous deux l’impression de vérité. Il ira au bout

connaissance (approche épistémologique ou gnoséologique), du point de vue plus concret de la vie telle qu’elle est vécue (approche existentialiste), et du point de vue moral. I. Approches épistémologiques A. Le cogito (Descartes) 1. La révolution cartésienne René Descartes (1596-1650) introduit une révolution considérable en philosophie. Il faut dire qu’il est né à une époque propice. Le Moyen Âge avait été une période de ralentissement en termes économiques, artistiques et intellectuels. Les

Analyse : « qui suis-je ? » : le sujet pensant en général / le sujet personnel, le moi / csc-incst / « je » : le sujet // l’objet, Le sujet = liberté, en devenir, pas essence figée, « suis » : verbe être, définition de qqch, délimitation (peut-on définir un sujet comme on définit un objet ?) « réponse exacte » : absence de doute, certitude, savoir objectif, vérité scientifique, ce qu’on peut prouver par la raison, réponse unique // différentes interprétations Sorte de mise en abime : que