Deshumanisation

déshumanisés dans les 3 textes, mais Baudelaire s'attache quand même aux personnages, il fait par exemple une ode aux petites vieilles. Par l'écriture poétique, Baudelaire transfigure un vieillard usé par la vie en monstre infâme, ce qui amène à sa déshumanisation. Les sept vieillards : v25 : « D'un quadrupède infirme ou d'un juif à trois pattes ». Il utilise la même pratique dans « les petites vieilles » v6 : « monstres brisés, bossus » et dans « Le cygne » : v48 : « Aux maigres orphelins séchant comme

  comme  un  monstre  +  allitération  de  «m»   b.La  déshumanisation  des  enfants   -­‐VH  oppose  les  enfants  soumis  au  travail  -­‐-­‐>  Définition  de  l’enfant  par  «doux  êtres  pensifs»  +  adverbe   «sous»  répété  2  fois  +  comparaison  enfant/outils   -­‐entreprise  de  déshumanisation  et  de  destruction  de  l’homme  -­‐-­‐>  clexical  destruction

sans que le livre ne se transforme en roman d'horreur! Mais aucun, je dis bien aucun détail n'est mentionné dans ce livre, si bien que l'on ne se rend plus vraiment compte que des personnes sont tués pour le seul plaisir des spectateurs. La déshumanisation des prisonniers, pourtant innévitable dans ce contexte, à a peine évoquée, et apart l'amaigrissement et la baisse de moral décrite par l'auteur, le lecteur ne constate pas de réel changement entre l'avant "Concentration, et le pendant! Sans parler

La déshumanisation Un de thèmes principaux que Stanley Kubrick utilise dans ses films est la déshumanisation de ses personnages. Par exemple Alex et ses compagnons dans A Clockwork Orange qui font des actes de violence extrême et y prennent plaisir, Jack Torrance dans The Shinning qui devient fou jusqu’à vouloir tuer sa femme et son fils. Ce qui est étrange, c’est que malgré leurs nombreux actes impardonnables, on s’attache quand même à ces personnages, car Kubrick ne tente pas de nous dire que

Séance 2: apporter un témoignage historique Support:Si c’est un homme , extrait du chapitre 2, Primo Levi, 1947 I. Entrer dans le texteDans le premier paragraphe, on retrouve un « on » très impersonnel qui semble désigner le lecteur « Qu’on imagine maintenant un homme » ; l’écrivain en appelle à l’imagination et à la réflexion du lecteur, il le rend actif afin qu’il comprenne mieux ce basculement qui s’opère dès l’arrivée des prisonniers dans les camps. Dans

héroïque ». Cette conception horrible est transcrite dans la deshumanisation du paysage et des « acteurs » de l’extrait. En effet, Bardamu décrit son supérieur comme un « monstre », mais transforme également ses compagnons de combats en des « fous ». Mais Bardamu transforme aussi les sentiments de ceux qui l’entour. Par exemple, il transforme ses compagnons qui on la rage de vaincre l’ennemi, en des « chiens enragés ». Mais cette deshumanisation donne un ton quelque peu humoristique à la scène. Dans

Mais traduisent l'absurdité de la condition humaine pour Beckett. a) Les poubelles Les poubelles traduisent la déshumanisation de Nagg et Nell, réduits à l'état de déchets humains dont on peut se débarrasser facilement comme les ordures. Les poubelles sont tapissées de sable -après l'avoir été de sciure- comme pour des animaux, tout est fait pour accentuer la déshumanisation de ces deux personnages dans l'esprit de Hamm. D'ailleurs Clov ricane en regardant à l'intérieur des poubelles dans le

sentiments mais seulement pour éviter leur déshumanisation. Les personnages sans sentiments ne peut pas avoir la liaison vrai avec le lecteur. Par exemple dans la série de Commissaire Maigret (1931-72) de Georges Simons, le personnage principal a sa marie, ses collègues ou ses amis, et son pipe. Sa technique d'investigation le aussi fait spécial. Tous ensembles, le lecteur a devant lui en homme qui pourrait être proche vers lui. Nous avons parlé de la déshumanisation des personnages. L'absence des sentiments

démembrement C) déshumanisation progressive on n'entendait que , il semblait que les ténèbres fussent on ne distinguait rien, = perte des sens pas une parole // les bruits prenaient une sonorité rauque = personnification = perte de la parole, langage laissé à l'environnement (bruit des pioches) tout retombait  = le pronom indéfini = généralisation, l'individu a disparu halètement des poitrines, grognement de gêne et de fatigue = assonances en « ent et i » insistance sur la déshumanisation (devenus

management plus humain. Il souhaite repenser le management en critiquant les bases et en proposant d’autres possibilités. L’objectif principal d’un manager est de maximiser les profits de l’entreprise. Cela a été le facteur déclencheur de la déshumanisation de l’économie. La place accordée à l’être humain au sein de l’entreprise est au cœur des théories managériales. Cependant, selon ces dernières l’importance accordée est différente entrainant une remise en question du management classique avec