Despotisme

nouveau type, encore balbutiante, l'avenir des sociétés modernes: individualisme, volonté viscérale d'égalité, nivellement des conditions et des valeurs. Tocqueville craint un «despotisme mou», défendu par les citoyens eux-mêmes au nom de la liberté et de l'égalité. Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans le monde: je vois une foule innombrable d'hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs

destructrice d’elle-même » (=elle ne se détruit paselle-même) Lignes 4-7 : Que produit l’indépendance ? Quelles sont ses conséquences ? Dans cette partie Rousseau tire les conclusions de ce qu’il vient de dire. L’indépendance ne produit que le despotisme etson corolaire, l’esclavage. Pourquoi ? En faisant ce qui me plaît, « ma volonté », je ne « règle » pas sur la volonté d’autrui : je me place dans une position du « supérieur », du « maître » et...ar ceux-ci s’opposeraient à la liberté de leur

caractérisées par l’égalité des individus) - dans les monarchies modernes, qui reposent sur l’inégalité des conditions : c’est cette inégalité des conditions qui fait que le pouvoir n’est pas déstabilisé et n’est pas obligé de verser dans le despotisme pour se maintenir. Mais pour Tocqueville la liberté moderne ne peut être fondée sur l’inégalité, elle doit être assise sur la réalité démocratique de l’égalité des conditions, et sauvegardée par des institutions dont il a cru avoir trouvé le

aussi que cela aboutit de façon inexorable à la naissance d’un despotisme démocratique. S’il se veut bienveillant il n’en demeure pas moins néfaste car supprime petit à petit autonomie et liberté et évince les citoyens de l’activité politique. Question 3 Ici, Alexis de Tocqueville craint qu’à force de retrait dans la sphère privé, l’individu n’abandonne la sphère publique et sa gestion à l’Etat, contribuant à l’avènement d’un despotisme démocratique. Ce qu’il redoutait à finalement vu le jour, notamment

citoyens. Mais d’autre part, ne serait-ce pas laisser la politique intervenir dans toutes sortes de domaines et d’en subir les inconvénients, et rester passif. Enfin, tout attendre de la politique ne serait-ce pas solliciter une certaine forme de despotisme démocratique comme le dit Tocqueville ? I/ Tout attendre de la politique si elle répond aux attentes importantes A/ La politique doit procurer bonheur : Si l’homme est avant tout un animal politique qui a besoin de ses semblables pour vivre

paire avec la liberté politique, seule la Démocratie est capable de réaliser la liberté, il faut combattre le despotisme dans l’ordre juridique ou politique. Despotisme : Pouvoir centralisé et l’interventionnisme étatique. Il faut décentraliser : participation réelle des citoyens à l’action collective et limiter le pouvoir social de l’État car pour lui cette intervention c’est le despotisme. Quand l’État intervient il impose un dogme commun, fait prévaloir une idéologie ce qui est une atteinte

qu’il a du bon monarque. Ainsi, on peut se demander comment en encourageant les individus à se servir de leur raison Kant s’attaque-t-il au despotisme sans pour autant rejeter la monarchie et les autres institutions telles que l’Eglise. Tout d’abord, intéressons nous à l’état de minorité dans laquelle se maintiennent les hommes, ce qui soutient le despotisme. Puis, voyons comment Kant encourage chacun et notamment le « savant », c'est-à-dire celui qui fait partie de l’élite éclairée, à faire un usage

(intelligence, ambition), donc les inégalités se renouvellent. 3- La tension entre la liberté et l'égalité: L'individu doit choisir entre l'égalité et la liberté. Le sacrifice de la liberté peut se faire par le despotisme démocratique et la tyrannie de la majorité. 4- Le despotisme démocratique: Les individus limitent leurs liens sociaux et privilégient leur affaire personnelle. => individualisme apparaît => État-centralisé limite la liberté (les individus se détournent des affaires

aux philosophes Les valeurs communes aux philosophes sont en autre le despotisme ( : pouvoir absolu ) de l'Eglise dont il faut rejeter l'idée; ils combattent pour la tolérance, la confiance en la raison humaine, la foi dans le progrès de l'humanité, le droit au bonheur. Conclusion: Combats des Lumières: - contre l'esclavage - pour l'éducation - contre la guerre - contre l'intolérance - contre le despotisme Noms à retenir: Dumarsais, Condorcet, D'Alembert, Buffon, Voltaire,

there existed “a depraved taste for equality… [which] reduces men to prefer equality in slavery than inequality with freedom.”2 Alexis de Tocqueville believed that the most modern paradigm of the liberal democratic societies is one of a new form of despotism at the hands of the majority. The ‘tyranny of the majority’ is a term used by de Tocqueville to explain this state of affairs. In order to more fully understand this concept, one must explore the social mores of the United States at the time of de