Despotisme

démontre le despotisme de la majorité et qui démontre qu’un organe de presse ne peut contester et critiquer ces décisions sans faire courir un risque pour ses propres journalistes car la majorité tyrannique s ‘impose à tous y compris aux critiques. II- Les risques de la société démocratique : le danger de la toute puissance d’un état De Tocqueville nous fait comprendre que nous devons être vigilants quant au danger de la toute puissance de la démocratie qui peut mener au despotisme. Ce risque

policiers ; le poids de l’opinion publique suffit amplement. Le second danger est celui du despotisme démocratique. Par ce terme, Tocqueville désigne un régime politique paternaliste, c’est-à-dire un gouvernement qui s’occupe directement du bien-être de ses sujets, qui fait tout pour leur faciliter la vie et qui n’exige d’eux qu’une chose : qu’ils obéissent. Ce despotisme démocratique est un despotisme doux, dans le sens où ceux qui lui sont soumis vivent dans une sorte de cage dorée. Ils n’ont

occupés à satisfaire leur bien être matériel, les hommes délaissent les affaires publiques et laissent à l'Etat le soin de régler tous les problèmes d'ordre général. Le pouvoir se centralise. Le risque qui est ici pointé du doigt est l'émergence d'un despotisme démocratique avec l'assentiment de la population. En plus de ce désintéressement, la classe moyenne est un groupe important qui en chérissant l'égalité produit une uniformisation des gouts, des façons de penser etc... L'émergence de contre-pouvoirs

pouvoir). Ceci se produit, le plus souvent, quand trop de pouvoir est concentré dans trop peu de mains, sans assez de place pour le débat politique, la critique publique, ou d'autres formes de pressions correctives. Des exemples de tels régimes sont le despotisme, la tyrannie, la dictature, etc.Le pouvoir politique est un type de pouvoir qu'une personne ou un groupe de personnes exerce dans une société. C'est la souveraineté, soit le pouvoir de fixer les règles qui s'appliquent à la population sur un territoire

dérivant de la nature des choses. La loi devient, chez l'homme, une règle voulue, instituée pour assurer la sécurité et la liberté (" loi positive "). La loi " positive " est donc une spécification de la loi dans sa signification étendue ; • le despotisme, qui désigne la Souveraineté absolue exercée par un seul homme : " Un seul, sans loi et sans règles, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices " (L'Esprit des lois) ; • la république : " Le gouvernement républicain est celui où le peuple

dilemme de taille : faut-il quand même poursuivre la mission, prendre la vie de ces deux jeunes innocents ou les épargner, tandis que, le même jour, des milliers d’enfants meurent de faim, victimes du despotisme? jusqu'où faut-il s'enfoncer dans le mal pour faire triompher le bien et abolir le despotisme? La tension monte entre les terroristes : Stepan qui place son idéal abstrait de justice absolue au-dessus de tout et de la vie même, qui pense qu'il n'y a pas de limites à l'action révolutionnaire

offre son regard moqueur. INCIDENT : Le professeur devient dictateur, ne laisse plus les autres avoir d’opinion personnelle. Tout au long de ce conte philosophique, Voltaire dénonce et condamne les abus de pouvoir. Il utilise le vocabulaire du despotisme « chef, juger souverainement, dictateur, maître, infaillibilité de leur maître ». Le fanatisme : je prétends savoir, j’ai des fidèles, j’accède au pouvoir (savoir = pouvoir), je m’en mets plein les poches (L 8-9) Conséquences : malheurs, discordes

Bretagne), c'est à dire un « despotisme éclairé ». Il s'oppose violemment à toute forme d'absolutisme et de tyrannie. • Rousseau a des idées plus démocratiques : dans Le Contrat social, il exprime ses principes politiques : autorité d'un peuple souverain qui peut changer ses lois et gouvernants. La loi a autorité et doit être l'expression de la volonté générale. Elle n'est acceptable que si elle est unanime et garantit la liberté individuelle. Il rejette le despotisme et toute autorité d'un homme

démocratie libérale qui tend « à résoudre l’antagonisme entre le pouvoir et la liberté » (Lexique Juridique Dalloz). Un antagonisme qui pourrait être résolu grâce au principe de séparation des pouvoirs ayant pour but de prévenir toute forme de despotisme. Peut-on pour autant dire que le principe de la séparation des pouvoirs est nécessaire à une démocratie libérale ? Et au-delà de la nécessité, lui est-il suffisant ? En effet, s’il apparaît que le principe de la séparation du pouvoir soit nécessaire

ne dépend pas du pouvoir exécutif. La séparation des pouvoirs, théorisé par Montesquieu dans « De l’esprit des lois » de 1758, explique que les pouvoirs doivent être divisés afin d’empêcher leur concentration par un individu et ainsi éviter le despotisme. Les pouvoirs doivent donc être divisés entre le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire. Le premier pouvoir lois est détenu par le Parlement, constitué par le Sénat et de l’Assemblé nationale. Il dispose du pouvoir de