Despotisme

Bretagne), c'est à dire un « despotisme éclairé ». Il s'oppose violemment à toute forme d'absolutisme et de tyrannie. • Rousseau a des idées plus démocratiques : dans Le Contrat social, il exprime ses principes politiques : autorité d'un peuple souverain qui peut changer ses lois et gouvernants. La loi a autorité et doit être l'expression de la volonté générale. Elle n'est acceptable que si elle est unanime et garantit la liberté individuelle. Il rejette le despotisme et toute autorité d'un homme

qui se définit comme étant un gouvernement où l’autorité politique est nulle, le totalitarisme où le pouvoir réside dans les mains d’un seul homme qui abuse de son autorité en légiférant un droit de prise de pouvoir, qui se rapproche d’ailleurs du despotisme. Les philosophes ont montré à travers l’hypothétique état de nature, que la mise en place d’une autorité légitime est nécessaire. Mais l'Etat moderne est caractérisé par la democratie. L'Etat moderne se substitue à l'organisation du pouvoir politique

ces deux valeurs peut s’avérer incompatible, en particulier parce qu’il y a une passion plus forte que l’autre : c’est l’égalité. En effet, les individus préfèrent l’égalité dans la servitude à l’inégalité dans la liberté. C) Le despotisme démocratique Despotisme démocratique : il se caractérise par un gouvernement arbitraire et absolu. Poussés par leur passion pour l’égalité, par l’individualisme et par la montée de la tyrannie de la majorité, les hommes sont conduits à accepter un état protecteur

pysiocrates s'opposent à l'interventionnisme prôné par les mercantilistes. Ils sont convaincus que le progrès économique peut-être entravé par l'arbitraire ou la gabegie de l'État. Comme le dit Quesnay (article « Homme» de l'Encyclopédie) : « Le despotisme des souverains et de leurs préposés, l'insuffisance et l'Instabilité des lois, les dérèglements de l'administration, l'incertitude de la propriété des biens, les guerres, les impositions désordonnées détruisent les hommes et les richesses des souverains

point de constitution ». Cette conception dogmatique de la séparation des pouvoirs constituant un des axiomes du libéralisme politique concrétise l’effort du peuple en vue de limiter l’absolutisme du pouvoir royal. Cette préoccupation d’éliminer le despotisme exprimée par Locke dans Traité sur le gouvernement civil relatif au régime Britannique au 18ème siècle, fut éclipsée par la théorie de Montesquieu qui sans L’esprit des lois de 1748 en son chapitre VI intitulé « de la constitution d’Angleterre »

en épurer les résultats, et devenir l’explication et l’apologie la plus éloquente de cette liberté sociale, qu’ils n’ont pas imprudemment réclamée ; si ce grand homme avait à la fois recommandé le patriotisme et l’humanité ; s’il avait flétri le despotisme d’un opprobre aussi durable que la raison humaine ; s’il avait montré ce lien de politique qui doit rapprocher tous les peuples, et changer le but de l’ambition, en rendant le commerce et la paix plus profitables que ne l’était autrefois la conquête

d'élections présidentieles. Tocqueville a souligné que le risque de voir la majorité agir en s'accordant une toute puissance dont elle abuse, risquerait d'aboutir à une nouvelle force de despotisme c'est à dire que la souveraineté serait exercée par une autorité unique qui dispose d'un pouvoir absolu. Le despotisme impliquerait un pouvoir tyrannique sur tous ceux qui lui sont soumis, soit la minorité. Ce système fait naître de nombreuses injustices entre la majorité et la minorité. Mais le plus fort

est le premier à systématiser le « bon » gouvernement, la fin c’est l’instauration d’un gouvernement modéré, et les moyens avec la séparation des pouvoirs. pour lui bon système => gouvernement monarchique pour lui républicain = abus du peuple, despotisme= abus du privé. Qu’a-t-il pensé, voulu dire ? Qu’est-ce qu’un régime libre pour Montesquieu ? Chez Montesquieu, le mot « séparation des pouvoirs » n’apparait pas, ni « régime parlementaire », ni « régime présidentiel ». En revanche,

marquants au niveau politique au XVIII siècle [pic] Dans la deuxième moitié du XVIII siècle, s’est imposé Dans une grande partie de l’Europe le despotisme illustré, une nouvelle attitude politique qui a surgit du désir de concilier l’absolutisme avec la nécessité de réformes. Le despotisme illustré : Au XVIII siècle s’est développée l’idée d’un « despotisme éclairé ». Diderot et Voltaire voulurent ainsi utiliser l’absolutisme monarchique pour gouverner selon l’esprit nouveau de la philosophie des

la masse et de se replier sur la sphère privée et consacrer l'essentiel de son temps à l'amélioration de sa condition et de son bien être .Ils abandonnent tout soucis publiques, désintéressement à la vie politique = à long terme pouvoir central = despotisme démocratique. _ La tyrannie de la majorité : Tout régime démocratique estime que la majorité a raison , une partie de la population peut être systématiquement pénalise par la volonté général . . La tyrannie de la majorité c'est tout d'abord le