Despotisme

le gvt lui même. Il propose donc de fonder la constitution sur un ppe incontestable : le peuple est bon mais ses délégués sont corruptibles. C'est donc dans la vertu et la svté du peuple qu'il faut chercher un préservatif contre les vices et le despotisme du gvt. Il reprend des ppes issus de la magistrature romaine : spécialité et division des fonctions, interdiction des cumuls et la limitation des durées des fonctions. Les textes adoptés par la convention établi un pouvoir exécutif entièrement

ABIDINE BEN ALI ou ZABA comme on le surnomme aujourd’hui. Cet homme, venu au pouvoir par un coup d’Etat, n’a fait, durant ses 23 ans de règne absolu, que frustrer, persécuter voire éliminer tous ses opposants. Son régime est devenu le symbole du despotisme et de l’autocratie dans le monde arabe et il a transformé le pays en un Etat policier. Le pays est devenu affreusement corrompue, notamment avec la bienveillance de sa femme et de sa belle-famille qui ont placé partout, dans les hautes sphères des

l’exécutif sert juste à appliquer. « Le juge est la bouche de la loi », sauf que la loi doit être interprétée et nuancée par le juge. Pouvoir législatif est la tête et les autres les bras, pieds… La séparation des pouvoirs vient empêcher le despotisme. Néanmoins, selon Montesquieu, le pouvoir législatif est le plus important donc il doit appartenir à plusieurs personnes, de distribuer ce pouvoir entre représentants du peuple et aristocratie [une reproduction de la Chambre des Lords anglaise]

Tocqueville spécula sur le futur de la démocratie aux États-Unis, et sur des dangers potentiels « à la démocratie » ainsi que des dangers « de la démocratie ». Il écrivit de la démocratie qu'elle a une tendance à dégénérer en ce qu'il décrivit comme « le despotisme radouci ». Il observa aussi que le seul rôle que put jouer la religion était dû à sa séparation du gouvernement, permettant un pays laïque convenant aux deux partis. Importance : De la démocratie en Amérique a été publié sous de nombreuses

Dès lors il s'achemina comme son grand-oncle vers le despotisme, s'adonnant, selon certaines sources, à la débauche (on lui prête entre autres une longue liaison incestueuse avec sa sœur Drusilla, qui pourrait trouver sa source dans la volonté d'imiter les mariages consanguins égyptiens et la tentation du despotisme oriental, que l'on retrouve chez Néron). Certains assurent qu'il était en fait déjà atteint psychologiquement avant son avènement, mais que, le pouvoir aidant, il devint vite un empereur

d’innocents. >> [Page 37 ligne 4] Contrairement à Stepan, Yanek ne cherche pas à semer la terreur, il cherche à se sacrifier afin que son peuple vive mieux. Il commet l’acte criminel mais n’est pas un criminel il commet l’acte pour aider afin que le despotisme ne règne plus. Donc, les motivations de Stepan et de Yanek sont assez différentes car pour Stepan, c’était la haine qui le motivait tandis que Yanek c’était son amour pour la vie, l’amour du peuple pour qui il se sacrifia. Ensuite, dans ce paragraphe

est-il qu'en appliquant quelques idées issues des Lumières, Frédéric II entreprend des réformes dont l’éducation, entre autre. Cela fait de ce monarque un ''despote éclairé'', à la fois seul maître de son État mais aussi à son service. Le ''despotisme éclairé'' est une doctrine politique issue des philosophes du siècle des Lumières. Le pouvoir s'y exerce par des monarques absolus, de droit divin dont les décisions sont guidées par la raison. L'action des ''despotes éclairés'' est parfois qualifiée

états qui entretiennent entre eux des rapports politiques ; ainsi, celui d’équilibre européen. En outre, la sécularisation de la politique permet de faire triompher l’absolutisme que ce soit celui de Louis XIV ou le despotisme éclairé de Frédéric II de Prusse. En effet, le despotisme éclairé induit chez le souverain un « état d’esprit laïc ». Tous sont favorables aux doctrines hostiles à la prépondérance pontificale (jansénisme) et tous manifestent une tolérance un peu condescendante) l’égard des

facilité des religieux de tromper un prolétariat si naïf. Tout ce champ lexical de l’illusion est absolument contraire à la raison qui est par la suite évoquée par le Philosophe comme étant ce qui pourrait leur donner la liberté de se rendre compte du despotisme exercé. Les nombreuses énumérations permettent de montrer avec lourdeur ce que subissent les fidèles, ce qui est pleinement intolérable, tout comme la méchanceté du parti religieux qui pillent leurs « trésors », se servent de leur « sang » et endoctrinent

démocratique, un pouvoir peut s'avérer oppressif à l'égard de la minorité (qui a nécessairement tort puisqu'elle est minoritaire !). Il se peut ainsi que la poursuite de l'égalité se fasse au détriment exclusif d'une partie de la population. B) LE DESPOTISME DEMOCRATIQUE Les hommes démocratiques sont dominés par deux passions : l'égalité et le bien-être. Ils seraient prêts à renoncer à l'exercice de leur liberté pour un pouvoir qui leur en garantirait la satisfaction. La tentation d'accroître le