Despotisme

Dû →implique aussi ma responsabilité →exigible →reçu passivement B/ Le despotisme ou le non respect du droit au bonheur Despotisme :(syn. tyrannie) régime autoritaire qui ne respecte pas les droits fondamentaux des individus. D’après Kant, le bonheur est un idéal de l’imagination. Théorie et pratique : critique du régime paternaliste qui au nom

pas alors, plutôt que d’un conflit de valeurs, de la nature même du régime démocratique, à savoir du mauvais fonctionnement de sa souveraineté ? En effet, la démocratie comme expression de souveraineté n’est pas à l’abri de dérives, telles que le despotisme. Il sera donc bon tout d’abord bon de s’interroger sur ce qu’est l’Etat pour ensuite envisager le cas de l’Etat démocratique et ses dérives possibles. Certains auteurs, comme Kant, penseront l’Etat comme une entité supraindividuelle qui ne se différencie

dominant des sociétés démocratiques est donc le bien-être, ce qui met en valeur les intérêts individuels, chacun étant en compétition, il n'y a plus d'intérêt collectif. Pour tout dire, cette démobilisation peut entrainer ce que Tocqueville appelle un despotisme démocratique ou en ses mots : >, qui expose une réalité catastrophique, où les personnes qui détiennent le pouvoir abuseront en imposant leurs nouveaux pouvoirs. Le développement de l'individualisme peut donc être une menace pour la Démocratie dont

et dénonçait la vérité. Tout comme dans Candide, «  petite digression », écrit en 1766 aborde la question de l’intolérance, des abus, de la bêtise humaine et cætera. Beaucoup de sujet ont déjà été abordé dans Candide, nous pourrions aussi cité le despotisme, la tyrannie. Nous étudierons si oui ou non cet extrait est un apologue, en commençant part étudier l’art du récit et dans un second temps un texte a visée critique pour enfin répondre a la problématique. I – L’art du récit. Texte organisé

déces. « On parle d'une famine organisée par Moscou pour eliminer le type Ukrainien »(l.11-13 doc2) dans cette phrase, l'auteur montre la suspicion qu'il porte envers le gouvernement Russe qui juge les Ukrainien en tant qu' «obstacle de taille au despotisme grand russe »(l.14 Doc.2) cette famine pourrait être intentionnelle.Staline utilise donc la collectivisations pour éliminer ses opposants Ukrainiens, il utilise la violence , la peur du goulag pour terrifier les paysans et il exécute ou envoi

formation : un contrat social engendre la vie civile et le droit ; sa fin est de maintenir l’inégalité tout en aliénant la liberté. Parce que le contrat ne s’est pas attaqué à la racine du mal, les institutions de la société dérivent naturellement vers le despotisme, le pire de tous les maux . Analyse de l’œuvre : 1) Dédicace Dédicace adressée par Rousseau à la République de Genève. Il y trace le portrait d’une Genève idéale et fait implicitement la leçon à ses concitoyens : le Genève réelle

c'est-à-dire un « despotisme éclairé ». Il s'oppose violemment à toute forme d'absolutisme et de tyrannie. · Jean-Jacques Rousseau a des idées plus démocratiques : dans Le Contrat social, il exprime ses principes politiques : autorité d'un peuple souverain qui peut changer ses lois et gouvernants. La loi a autorité et doit être l'expression de la volonté générale. Elle n'est acceptable que si elle est unanime et garantit la liberté individuelle. Il rejette le despotisme et toute autorité d'un

que comme une solution il semblait inévitable à la construction d’un État civil. Nous pourrons voir en premier lieu la réalisation de l’État grâce au contrat social (A), la question des limites du contrat social vient ensuite, comment éviter le despotisme, c’est à dire le sacrifice de l’individu à la toute puissance de l’État (B). A/ La réalité politique du contrat social Les théoriciens du contrat social ont tous en commun une conception juridique de l’État et sont à ce titre des précurseurs

de la protection des droits de l’homme, que les trois pouvoirs qui sont divisés et contrôlés protègent l’homme des « atteintes à ses droits fondamentaux » et donc que cela constitue aussi un obstacle à la « tentation du pouvoir personnel », au despotisme et à l’absolutisme. Néanmoins, comme tout autre principe, la séparation des pouvoirs reste critiquée comme sur la base de la théorie de « la balance des pouvoirs » et résulte de contraintes puisqu’il existe un risque de séparation stricte.

ne doute pas qu'il emmène l'humanité vers un avenir meilleur. Un hommage appuyé aux philosophes des Lumières, à des générations d'exception, remarquables par leur pugnacité, leur intelligence et dont les qualités ont permis de triompher du despotisme et de la superstition à l'issue d'un long combat. éloge et registre épique L'éloge passe par l'emploi de termes mélioratifs pour qualifier les hommes des Lumières : « ces hommes célèbres » ( 3). On note aussi l'emploi de superlatifs