Despotisme

lois et des mœurs il n’était pas seulement conduit par la fantaisie » * L’opposition Platon/Aristote : un long sommeil jusqu’au 18ème siècle. * Les 3 types de gouvernement : la république : le peuple gouverne ou une partie du peuple. Le despotisme : gouverne totalement comme il l’entend sans limite. La monarchie : une seule personne gouverne, mais il y a des règles que même le Roi ne peut pas enfreindre. * Influence du climat sur les lois et les mœurs. Quand le climat est chaud, les

quatre sens jusqu’à ce qu’un conflit, provoqué par l’un des membres vienne troubler cette quiétude. Ce récit allégorique présente les attraits du conte, est l’expression d’un combat philosophique contre l’intolérance, les conflits religieux et le despotisme mais aussi celle d’un certain scepticisme. * Définition : du latin digressio, signifiant action de s’éloigner. Est une figure de rhétorique qui consiste en un changement temporaire du sujet dans le cours du récit ou du discours pour évoquer

politique, autrement dit le pouvoir d’agir sous la protection des lois et non de veiller au bonheur de ses sujets. L’amour de l’Etat pour le peuple est, au premier abord, séduisant. Mais l’histoire montre que le paternalisme est, au fond, l’alibi du despotisme. Le bonheur est une affaire personnelle. Il appartient à chacun de le chercher dans la voie qui lui semble être la bonne, pourvu qu’il ne nuise pas à la liberté d’autrui. Le bonheur étant une chose subjective, l’Etat ne peut décider en quoi consiste

contraire au juge de se passer de loi pour juger exactement et, par suite, justement chaque cas. Comment protéger cependant la collectivité de la tyrannie d'un seul si l'on ne distingue pas comme ici le juge et le législateur ? Comment éviter le despotisme, après le rigorisme ? Appartient-il à la même personne de faire et d'appliquer les lois ? II. Un juge n'est pas un législateur Les lois peuvent parfois se passer de juges selon Montesquieu, mais jamais de législateur ni de jurés. Sa lecture de

la comparaison de l’époque avec la lumière donne à penser la manière dont l’esprit parvient à l’intelligence – et ce depuis Platon : comprendre, c’est voir clairement. C’est donc se délivrer de l’obscurantisme des préjugés, des illusions et du despotisme. Kant ne cherche pas dans ce texte à définir historiquement la philosophie des Lumières : il cherche à savoir comment l’homme éclairé peut accéder aux Lumières, comment il est possible à l’humanité de sortir de la nuit des préjugés. Seul l’usage

climatiques de 1788-89 n’arrangent rien, les récoltes sont maigres, la pénurie va se faire sentir; en témoigne l’inflation du prix du pain (nourriture de base du peuple): 4 sous en 1787, 15 sous en Avril 1789. C’est dans ce climat de crise économique, de despotisme total, de famine généralisée et, à contrario de folies dépensières de la cour, que vont s’ouvrir les Etats généraux du 5 Mai 1789. b. Les exemples anglais et américains En Angleterre, deux textes limitent le pouvoir royal: La déclaration

Séance 1 – ÉTAT, CONSTITUTION, SÉPARATION DES POUVOIRS Document 1 : La SP et le constitutionnalisme, Jean-Philippe Feldman Montesquieu, De l'esprit des lois, met en place une théorie selon laquelle, au sein de l'Etat, et afin que tout despotisme soit écarté, devrait se trouver trois « pouvoirs » confiés à des personnes ou à des corps distincts. Ils devraient être rigoureusement « séparés », afin que la même personne qui fasse la loi, ne puisse l'exécuter et rendre justice. Il apparaît alors comme

pas sa préférée: Roxane utilise plusieurs fois le verbe croire. Cette dernière portait un masque, était un personnage: "Tu me croyais trompée". La lettre nous apprend l'exactitude de leur relation. Ce passage est également un plaidoyer contre le despotisme. Usbeck trouve qu'à l'étranger le pouvoir d'un seul n'est pas bien (voire Lettre XXXVII par exemple), il se montre libéral, seulement dans sa vie privée il n'est pas capable de laisser la liberté, même celle de l'amour puisque Roxane emprisonnée

réagir.  Dans  son  texte,  il  parle  de  l'opinion  et  de  l'ignorance  du  peuple  ;  il  explique  que  l’ignorance  amène  à   la  soumission  des  peuples  :  “L’opinion  est  fondée sur l’ignorance, et l’ignorance favorise extrêmement le despotisme.”  L’auteur  utilise des  moyens  comme  le  champ lexical de  l’aveuglement (tenant le bandeau sur  les  yeux,  leur  voilant,  leur  cachant…),  la  multitude  de   petits  paragraphes  (permettant  de  présenter  de  manière  claire  ses  idées)

idéologies politiques comme le capitalisme, le libéralisme, le socialisme ou d’autres. Ainsi, la rencontre entre le despotisme (régime dont le chef règne de manière absolue sans grand respect à l’égard des lois) et l’idéologie philosophique des lumières (prônant entre autre la séparation des pouvoirs) aboutit à la naissance du despotisme éclairé, une forme plus modérée du despotisme et obéissant à la raison que l’on retrouve, par exemple, dans le gouvernement prussien de Frederic II au XVIIIe siècle