Despotisme

Révolutionnaires 15 juillet 1801: Le concordat avec le Pape PIE VII. Création de la Légion d'honneur/ Expression publique muselée Rétablissement du Calendrier Grégorien ( 1806 ) La paix d'Amiens ( 27 Mars 1802 ) Sacre Empereur: 2 Décembre 1804 Despotisme éclairé Conclusion: Nous pouvons donc en conclure que les révolutionnaires de 1789, ont oeuvrés contre les inégalités sociales de leur epoque en mettant en place des régimes tel la monarchie constitutionelle fondatrice de la Déclaration des Droits

Bretagne), c'est-à-dire un « despotisme éclairé ». Il s'oppose violemment à toute forme d'absolutisme et de tyrannie. Jean-Jacques Rousseau a des idées plus démocratiques : dans Le Contrat social, il exprime ses principes politiques : autorité d'un peuple souverain qui peut changer ses lois et gouvernants. La loi a autorité et doit être l'expression de la volonté générale. Elle n'est acceptable que si elle est unanime et garantit la liberté individuelle. Il rejette le despotisme et toute autorité d'un

de réforme et à de diverses manifestations politiques suite à la restriction de la liberté des citoyens et au non-respect des lois.Par ailleurs, depuis l’Antiquité, nous avons connu plusieurs formes de gouvernement, à l’instar de la monarchie, du despotisme, de l’aristocratie, de la démocratie, etc. Ces régimes nous proposent chacun un système politique, susceptible de maintenir l’ordre social et de stabiliser la paix. Mais aucun d’entre eux n’est universel ou supérieur à l’autre ; Montesquieu[footnoteRef:1]

première partie, nous verrons la critique politique que Montesquieu fait, d'abord du despotisme, puis de la justice, et enfin de la monarchie de droit divin, associé à la religion. Dans une deuxième partie, nous avons étudié la critique du mode de vie, avec la satire des parisiens et le ridicule de la vie mondaine, ainsi que que les rapports hommes-femmes, et hommes-esclaves. I/ Critique politique 1- Despotisme La principale source de critique politique dans les Lettres persanes est le gouvernement

général. Alexis de TOCQUEVILLE écrit « chacun (…) retiré à l’écart, est comme étranger à la destinée de les autres : ses enfants et ses amis particuliers forment pour lui toute l’espèce humaine .de la démocratie en Amérique. La démocratie un doux despotisme .Par elle , l’Etat vise à contrôler l’esprit des citoyens à leur insu , à se présenter comme un père soucieux du bonheur et du bien –être de tous .Ainsi , par elle ,l’Etat , selon Alexis de TOCQUEVILLE, « ne cherche qu’à les fixer irrévocablement

de taxes indirectes et introduire des impôts directs. Le Sénat refuse cette réforme. Après cet échec, peu à peu Néron abandonne le système du Principat pour imposer un despotisme oriental. Dès 60, il tente d'helléniser les mœurs romaines. Cela ne fait que renforcer l'opposition du Sénat déjà grande du fait de son despotisme, mais aussi celle des milieux traditionalistes , par contre le peuple, combler de jeux splendides, l'acclame. Le règne de Néron outre, ses crimes et ses scandales, sera

Or l'État de droit ne se confond pas nécessairement avec l'État démocratique car l'État de droit peut être "conservateur", qu'il soit dictatorial (Salazar au Portugal), ou démocratique (Méline en France), ou "progressiste" sous les formes du "despotisme éclairé" (Colbert ou Bismarck ou Mutsu Hito) ou de la "démocratie éclairée" (les pays anglo-saxons depuis le XVIIIème siècle) voire "providentielle" (pendant les Trente Glorieuses). Au total si l'État arbitraire n'est pas favorable au développement

réserve de la sphère publique, et doit s’occuper de la société. Puisque le bonheur et la politique sont donc incompatibles, ce bonheur n’est pas en définition pour être la finalité de l’Etat ou de la politique. B/ Le risque du paternalisme : le despotisme bienveillant. Est-il d’ailleurs si sûr qu’ils doivent-être leur finalité ? L’histoire ne nous enseignent-elle pas un effet à chaque fois que l’Etat à voulu prendre en charge le bonheur des hommes, les peuples ont souffert. C’est le sens qu’on prit

jusqu'à la tête; mais je ne puis pardonner les coups de coude que je reçois régulièrement et périodiquement" par exemple. A la lettre 102, Montesquieu décrit l'Etat comme un Etat monarchique « c'est un etat violent, qui dégénère toujours en despotisme, ou en république» . «l'équilibre est trop difficile à garder». Le pouvoir des rois d'Europe est grand mais pas celui de leurs peuples. Montesquieu dénonce également un abus de pouvoir. «l'usage où ils sont de faire morir tous ceux qui leur déplaisent

force est de constater que cette dernière opère au cours de son développement une dérive fort inquiétante en direction d’une interprétation qu’on peut qualifier de pré-jacobine de la volonté générale et de ce qu’il ne faut pas hésiter à nommer le despotisme spirituel de la religion civile. Où nous retrouvons le court-circuit religion / politique tout à fait redoutable que nous signalions plus haut. Ce qui est sûr, c’est qu’à partir de là, Kant va diverger totalement de Rousseau .en posant deux principes