Despotisme

dans l’ensemble du public. « c’est cette tendance générale que l’œuvre de Corneille exprime en même temps que l’inclination particulière de son auteur » « C’est miracle déjà que l’œuvre de corneille soit aussi constamment hostile à l’esprit du despotisme » Jeu intéressé des ambitions se manifeste dans le gout pour les intrigues « Tel est d’un tyran le naturel infame S’il ne craint il opprime ; et s’il n’opprime il craint » Heraclius V, 5 Reproche de cleopatre a son frère, roi d’Egypte

et ses incertitudes, le seul système qui assure la liberté politique et religieuse de la société dans sa diversité. L’objection qui se fait est que la démocratie était établie pour dénoncer publiquement toute forme de despotisme et l’Islam légitime l’autocratie et le despotisme. Pour répondre à cette objection, il faut remonter aux sources théoriques et aux références historiques pour mieux comprendre l’origine de cette analogie. Sachant que ces références sont vues sous un angle autre que les

l’égalité, de liberté, de démocratie et de recherche du bonheur. Les principes : égalité des hommes droits inaliénables : vie, liberté, bonheur garantir les droits des gouvernés le pouvoir vient des gouvernés droit de rejet du gouvernement si despotisme En 1787, ils adoptent une constitution, deviennent un état fédéral et une république Un régime de gouvernement qui se pose comme un modèle et une solution de rechange au modèle monarchique  La monarchie parlementaire et la république deviennent

disent les personnes sur ce qu'elles font, de leurs propres visions. I. La démarche de Tocqueville A. Le rejet de prénotions Tocqueville rejette la prénotion selon laquelle le despotisme est dû à une inégalité des conditions. C'est un à priori car selon lui c'est plutôt l'égalisation des conditions qui mène à un despotisme. En effet, dans le chapitre 5 du livre I, Tocqueville écrit : « La Révolution n'a point été faite, comme on l'a cru, pour détruire l'empire des croyances religieuses; elle a été

plébiscite, qui accentuait les pouvoirs de Bonaparte en le nommant consul à vie. De plus, l'ancien militaire décida la déportation des Jacobins, la création du livret ouvrier et l'interdiction du droit de grève et des syndicats. Ici on se rend compte du despotisme naissant chez l'homme d'état * Centralisation et unification du pays Deux priorités s'imposèrent alors à lui : la réorganisation de la France et la lutte contre la seconde coalition. Sur le plan intérieur, Bonaparte réforma profondément

des idées libérales initiées en Angleterre lors de la deuxième révolution anglaise qui vit la chute du gouvernement de droit divin et l’instauration d’une monarchie constitutionnelle. La folie du pouvoir, l’hégémonie sans bornes, l’accusation de despotisme se font de plus en plus fréquentes dans les titres de pamphlets. Le « machiavélisme » des politiques intérieures et étrangères, la ruine des populations notamment paysannes, les excès de la cours et Versailles sont tour à tour incriminés. Plusieurs

critères combiné: - celui de la nature du gouvernement. - "Son principe d'action" l'idée étant que chaque enture du gouvernement repose sur un principe d'action qui lui est propre. IL va distinguer 3 fome : lla rep la monarchie le despotisme La République: il l'a défini était comme le gouvernent ou e peuple ou bien une partie du peuple détient le pouvoir. Il distingue deux variantes: la république démocratique , c'est lorsque le peuple dans son ensemble détient le pouvoir.Le principe

Corruption Honnêteté  Socrate aimerait que le gouvernement soit moins corrompu, pense que ceux qui prennent des décisions importantes doivent être influençable dans l’intérêt du peuple + instruits(principe du despotisme éclairé*) et doivent pouvoir se faire leur propre opinion  * Despotisme éclairé: c'est une doctrine politique issue des idées politiques des philosophes des Lumières, la Raison = faculté de l'esprit humain qui permet de distinguer le vrai du faux, doit etre le principe de l'organissation

de l’aristocratie.” Enfin, Montesquieu pointe deux risques majeurs pour la démocratie : “ l’esprit d’inégalité, qui la mène à l’aristocratie, ou au gouvernement d’un seul ; et l’esprit d’égalité extrême, qui la conduit au despotisme d’un seul, comme le despotisme d’un seul finit par la conquête. Et maintenant la question qui se pose consiste à savoir comment opérer la division ?" B-La relation entre les pouvoirs : Avant 1958, la loi n’avait pas de bornes : elle pouvait intervenir dans

importantes ont été faites en dépit du langage. Un Dante était obsédé par ce qu’il avait à dire, non par le dire. Depuis longtemps, depuis toujours, serait-on tenté de soutenir, la littérature française semble avoir succombé à l’envoûtement, et au despotisme, du Mot. De là sa ténuité, sa fragilité, son extrême délicatesse, et aussi son maniérisme. Mallarmé et Valéry couronnent une tradition et préfigurent un épuisement... » (Cioran, Exercices d’admiration, 1986). Vous commenterez et discuterez ces propos