Despotisme

°L’Etat au service de la classe dominante. L’Etat est fonctionnel pour la classe dominante, il n’est pas capable de s’élever au dessus de la société, il est présenté comme un monstre comme une excroissance bureaucratique qui finalement impose son despotisme aux classes dominées. °L’aliénation, l’homme se réalise par le travail, mais il est aliéné par la place que le travail prend au sein de l’économie capitaliste : 
Il est étranger au produit de son travail : il ne maîtrise pas le produit final

hiérarchisés et inégaux : le clergé, la noblesse et le tiers état. Angleterre est un modèle pour certains intellectuels français car elle s'affiche comme un pays libre ou deux révolutions on détruit l'absolutisme, provoquant le libéralisme. Le despotisme éclairé est une doctrine politique issue des idées des philosophes, le pouvoir y est exercé par des monarques dont les décisions sont guidées par la raison. Le contexte économique et culturel Le processus de la Révolution industrielle

exécutive et juridictionnelle) à un organe étatique distinct. Il s’agit d’éviter toute concentration du pouvoir entre les mains d’un seul à l’image de l’absolutisme monarchique. Le principe de séparation des pouvoirs préviendrait donc toute forme de despotisme, permettrait aux différents pouvoirs de s’équilibrer mutuellement et ainsi garantirait la liberté individuelle des citoyens. L’objectif étant: un organe est égale à une fonction. Ce principe est né en Grande-Bretagne au XVIIème siècle avec John

Le choix des personnages dans le théâtre est un élément clé de la mise en scène pour représenter le mal. Dans la pièce de Alfred Jarry, Ubu roi, le personnage principal, le père Ubu, incarne le symbole de l'absurdité du pouvoir, du despotisme et de la cruauté. En mettant en scène un personnage accumulant les pires vices et défauts humains, l'auteur représente ainsi le mal. Tout au long de l'histoire, par les commentaires de « Mère Ubu », ses vices apparaissent. Il sera tour à tour, bête

séparation des pouvoir est une principe qui a été développé et théorisé par Montesquieu. Son but était toutefois d’éviter le pouvoir tyrannique. A- Le principe de la théorie de séparation des pouvoirs : Le type de gouvernement recherché est contre le despotisme et protège la liberté des citoyens. Cette théorie repose sur la séparation des fonctions gouvernementales entre les différents organes politiques. En effet Montesquieu désigne trois pouvoirs : législatif (faire des lois), exécutif (exécuter les

générale. L’Etat est l’incarnation de l’intérêt général c’est-à-dire de l’intérêt de tout un chacun. Toute forme d’obéissance personnalisée est considérée par Rousseau comme de la servitude ou du despotisme politique. Il peut y avoir un despotisme de la majorité (cf Tocqueville et la question du despotisme social). Quelques rappels : Dans la philosophie antique c’est la théorie de l’Etat cité qui prévaut ; on parle d’organisation politique reposant sur la sociabilité naturelle des hommes. Cette

intérêts des parlementaires et de la haute noblesse . Si parlement capable d entrainer derrière eux opinion publique c est car ils défendent libertés provinciales contre l’Etat monarchique qui est envahissant Ils disent former un obstacle au despotisme ( pouvoir absolu ) et les gens les croient. Ils donnent parfois scrupules (inquiétude) au gouvernement quant a la légitimité de son action c est car ils parlent avec les mots de la royauté traditionnelle. Exemple : remontrances du parlement de

exemple, le | | | |conformisme idéologique (moins grave) ou le | | | |despotisme démocratique (plus grave). | 3) Une méthode comparative La méthode de Tocqueville est comparative : toutes les sociologies font des comparaisons entre des sociétés, des configurations sociales, des groupes. Il s'intéresse aux relations

différents types de gouvernements : la république, la monarchie, et le despotisme. Il définit chaque type d'après le sentiment ressenti par l'ensemble des hommes vivant sous chaque régime. La république est organisation plus ou moins égalitaire, elle est donc animée par la vertu et la passion de l'équité. La monarchie est fondée sur l'inégalité et la différenciation, elle est donc animée par la passion de l'honneur. Le despotisme est un régime fondé sur l'égalité de tous dans l'impuissance, elle est

Alexis de Tocqueville, les dangers sont de trois ordres. D’abord, le destin politique des démocraties reste ouvert. La recherche de l’égalité peut se transformer en passion égalitaire. L’égalitarisme conjugué à une apathie politique ouvre la voie au despotisme. Un Etat tentaculaire joue le rôle d’arbitre tout en imposant une « servitude ».La recherche de la liberté à tout prix peut conduire à l’anarchie. De plus, ces sociétés démocratiques sont parcourues de conflits multiples justifiés par la recherche