Détonation

lecteur, abordant cette scène du point de vue de l'un des villageois qui voyait la scène au loin, ne sait pas ce qui se passe réellement "ils eurent l'air de se mettre d'accord, une fois de plus, l'homme et lui, sans paroles" puis "il y eut une grande détonation et l'homme tomba. Langlois lui avait tiré deux coups de pistolet dans le ventre; des deux mains, en même temps". Par la suite, Langlois démissionnera, prétendant avoir négliger l'entretien de son arme ce qui a provoqué cet "accident " regrettable

ses voyageurs, et pousse le train qui flambait depuis déjà une demi-heure. Ce convoi, qui comptaient 13 voitures, franchit les stations Belleville (Couronnes jusqu’à l’entrée de Ménilmontant) ; là, le drame se précipite : un court-circuit, des détonations formidables effraient les employés, qui s’enfuient par l’arrière du convoi en courant dans le tunnel, vers la station Couronnes, distante de 450 mètres. Là, est stationné un train de 4 voitures qui a recueilli les 300 personnes évacuées de deux

2 (de « La foule reflua » à « Assassins ! », p. 33-34, l. 106-145), relevez le champ lexical du bruit et de la violence. La description de la manifestation et de sa répression au chapitre 2 est caractérisée par le champ lexical du bruit – « des détonations claquèrent », « des gens couraient en tous sens en hurlant » (p. 33) – et celui de la violence – « crosses s’abattirent », « la rouant de coups de galoche », « volée de gifles », « ses doigts brisés » (p. 33), « la brutalité du choc » (p. 34). L’auteur

l'étonnement que lui inspirait la vue de cette femme étrange, il le trouva étendu sur l'herbe et comme mort. Monsieur d'Albon déchargea son fusil en l'air pour appeler du monde, et cria : Au secours ! en essayant de relever le colonel. Au bruit de la détonation, l'inconnue, qui était restée immobile, s'enfuit avec la rapidité d'une flèche, jeta des cris d'effroi comme un animal blessé, et tournoya sur la prairie en donnant les marques d'une terreur profonde. Monsieur d'Albon entendit le roulement d'une

est créée en septembre 1895. Les premier mai 1890 et 1891 illustrent parfaitement l’aggravation du mouvement. Déjà, entre 1870 et 1890, le mois de mai est celui qui fournit le plus grand nombre de grèves. Mais l’année 1890 se distingue par la détonation que produit le premier mai : si la région parisienne ainsi que certaines grandes villes ne se sont pas trop mobilisées, la plupart des espaces miniers, dans le Nord-Pas-de-Calais, ou de textile, se mettent en grève. Ainsi, lors de l’apogée des grèves

de neige tombait. Le temps était froid. Une sorte de brouillard pesait sur Richmond. Il semblait que la violente tempête eût fait comme une trêve entre les assiégeants et les assiégés, et que le canon eût voulu se taire devant les formidables détonations de l’ouragan. Les rues de la ville étaient désertes. Il n’avait pas même paru nécessaire, par cet horrible temps, de garder la place au milieu de laquelle se débattait l’aérostat. Tout favorisait le départ des prisonniers, évidemment ; mais ce

inférieure à cause des pertes de charges). Brevet d’Initiation Aéronautique 28 / 46 Connaissance des aéronefs 2.2.3 Les essences : L’essence doit avoir un pouvoir calorifique élevé pour fournir beaucoup d’énergie et une bonne résistance à la détonation pour éviter de détériorer le moteur. Pour qualifier les essence on utilise un « indice d’octane » : • indice 0 : extrêmement détonant • indice 100 : très peu détonant Un indice d’octane de 80 signifie que le carburant a le même pouvoir antidétonnant

Titre : La vie après la grève 2ème Partie : « Devant la grille…n’avancez plus » Titre : La grève sur le tas et la révolte 3ème Partie : « Toutes les maisons…la porte » Titre : Le mépris des nègres par Isnard 4ème Partie : « Au bruit des détonations…sans haine » Titre : Une fin victorieuse mais triste B. Etude des personnages de l’extrait  Personnages principaux Lahbib : Après la mort de Doudou, le secrétaire de la fédération des cheminots était devenu le premier responsable n°1 du

loin du corridor, sont arrivés à pied, ont encerclé les Frci, avant d’ouvrir le feu sur tous ceux qui ont eu le malheur d’être présents à cet endroit. C’était la débandade. Du sang partout…ils tiraient sur tout le monde. On entendait des cris, des détonations, des tirs, des pleurs, des gémissements partout. Tout le monde s’est terré chez lui, les gens allaient dans tous les sens ». Si l’on en croit M. S.Y.B, un syndicaliste opérant dans cette gare avec qui nous avons échangé au téléphone, également,

qu’elle ait été détruite lors de l’impact soit pour d’autres raisons. Dans ce cas, on est dans l’incapacité d’identifier la balle. Il faut alors rechercher de la douille (l'enveloppe de la cartouche). En effet celle-ci aussi est unique, à chaque détonation, une arme laisse sur le culot de l’étui, des micros-stries qui lui sont propres, permettant d’individualiser une arme. 1) Balle