Deuxième concile de Nicée

l’histoire du droit canonique, jusqu’au XXe siècle : les canons, émis par les conciles les décrétales, émises par les papes les collections canoniques, qui compilent les 2 précédents Viendront s’ajouter à ces 3 types de documents d’autres sources du droit canonique, notamment le droit romain. Paragraphe 1 : La législation conciliaire au IVe et Ve siècles. Concile, du latin « concilium », signifie « assemblée ». Les conciles sont des assemblées qui regroupent des dignitaires ecclésiastiques, dont

Mérovingiens (Clovis, Dagobert, Childéric) : le premier Childéric né en 457 et le dernier va décéder en 751) Cette dynastie n'a pas survécu à cette idée de patrimonialité du pouvoir il y a eu un premier partage du Royaume de Clovis en 551 et un deuxième en 561. On va aussi parler des rois fainéants, par opposition à Clovis qui était un guerrier. Dans cette dynastie existe quand même des points positifs : on peut relever que les Mérovingiens, pour renforcer leur légitimité vont progressivement s'allier

obstacles à franchir. Le premier est d’ordre méthodologique. L’histoire des religions suppose l’appropriation des concepts et des approches actuellement utilisés par les spécialistes de ce domaine, dans une perspective anthropologique en particulier. Le deuxième, d’ordre quantitatif , vient accentuer le premier: c’est un lieu commun de présenter l’Afrique antique comme « un creuset » ou un « carrefour » des civilisations où se mêlent des apports berbères, égyptiens, proche-orientaux, grecs et romains. Toute

économique, sociale, intellectuelle… Une datation flexible… De la chute de l’Empire Romain d’Occident en 476, à la chute de Constantinople en 1453 ou à la fin du XV° avec les grandes découvertes. Du point de vue religieux : de 476 à la Réforme ou au concile de Trente (1545-1563). Période non unie, âge intermédiaire, construction tardive des humanistes italiens (Pétrarque). Débat sur le rapport de la raison et de la foi, grandes inventions (imprimerie…), grands penseurs (Abélard, saint Thomas…)

des constitutions anciennes pour les mettre en harmonie avec l’évolution du droit au 6e siècle (correction, adjonction…). Ces modifications sont appelées des interpolations. Le Code a été publié en 529. Une 2e édition sera publiée en 534. La deuxième compilation de Justinien est la plus importante et la plus originale : le Digeste (=pandectes). Cette compilation concerne la jurisprudence romaine. Le Digeste est un recueil méthodique de fragment de jurisconsultes de l’époque classique. La commission

contient cinq livres qui racontent l’histoire sainte, et donc symbolique, du peuple d’Israël, de la Création du monde, la Genèse, jusqu’à la mort de Moise. Moise descend d’Abraham, qui est le premier à contracter une Alliance avec Dieu, et ce au deuxième millénaire avant Jésus-Christ. Le Christianisme et l’Islam se revendiqueront de la filiation d’Abraham. Il convient d’étudier la relation entre ce judaïsme et le politique. Le royaume d’Israël selon la Bible. Il s’agit ici d’un royaume en grande

République romaine 1. Les leges rogatae : des lois votées Résultat d’un vote accompli dans le cadre d’assemblées populaires qui sont de deux sortes : - comices, assemblées regroupant les citoyens en fonction de critères géographiques et fiscaux) - les conciles de la plèbe, -287 décisions assimilées à des lois on parle de leges rogatae. Lois sont les + nombreuses sous la république au départ préparées par les magistrats qui émettent un projet de loi qui doit être validé par le sénat. Les citoyens peuvent

texte des constitutions anciennes pour les mettre en harmonie avec l’évolution du droit au 6e siècle (correction, adjonction…). Ces modifications sont appelées des interpolations. Le Code a été publié en 529. Une 2e édition sera publiée en 534. La deuxième compilation de Justinien est la plus importante et la plus originale : le Digeste (=pandectes). Cette compilation concerne la jurisprudence romaine. Le Digeste est un recueil méthodique de fragment de jurisconsultes de l’époque classique. La commission

que le pape Grégoire IX créa Le Tribunal d'Inquisition, placé sous le contrôle de l'ordre des Dominicains. D'abord présentée comme un organisme judiciaire temporaire, l'Inquisition a été transformée en établissement régulier et permanent par les conciles du Latran (1215) et de Toulouse (1229). Toute personne pouvait être poursuivie sur simple dénonciation, l'essentiel pour les juges étant d'obtenir l'aveu des inculpés, ce qui, à partir de 1252, les amena à utiliser la torture. Par son action brutale

Selon l'école traditionnelle et même dans l'apologétique récente[180], cette séparation serait esquissée dès les premières dissensions apparues au cours d'une réunion décrite dans les Actes des Apôtres, qui sera nommée rétrospectivement le « premier concile de Jérusalem », réunion qui admet l'adhésion des non-juifs sans les circoncire, et écarte de fait l'application littérale des lois mosaïques au moins pour les prosélytes (voir Christianisme ancien). L'histoire de la séparation se réunit autour de