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hymnes. On lui donne aussi plusieurs sens (expérientiel, symbolique, imaginaire, psycho-culturel, affectif…). Pb : Comment peuvent apparaître les dérives de la mémoire ? I°) dérives justifiées ou justifiables : l’avènement de la mémoire a) Du devoir de mémoire au travail de mémoire: les enjeux de la mémoire collective -La société, et en particulier les jeunes générations, a l’obligation de se souvenir des persécutions passées. Paul Ricœur (L’histoire, la mémoire et l’oubli) distingue la mémoire

pensez-vous que pour progressez et affronter le futur, une société a besoin de s'affronter du passé ? 1. Il ne faut pas oublier le passé si l'on veut préparer l'avenir Le devoir de mémoire, un impératif moral Le XXe siècle a été tellement sanglant qu'il est impossible de l'oublier. Ce serait même une faute morale, tant les totalitarismes ont toujours parié sur la dissimulation et la négation de leurs crimes — qu'il s'agisse du nazisme, du stalinisme ou du fascisme. Prenons par exemple la

époque ex : Serge Klarsfeld est un avocat. Il créé l’association des fils et filles de déportés juifs de France. On commence à écrire beaucoup et a beaucoup témoigné. La république française s’y intéresse et la mémoire de la Shoah devient un devoir de mémoire. Devoir de mémoire : Correspond à la nécessité de transmettre des témoignages afin de ne pas oublier. Organisation de série de procès pour juger les responsables des génocides. Le procès de Claus Barbie a lieu en 1987. Les historiens sont parfois

l'humanité, la connaissance du passé est-elle un devoir de mémoire ? "La lutte de l'homme contre le pouvoir est la lutte de la mémoire contre l'oubli." Cette formule de l'écrivain Milan Kundera nous indique que l'exigence de transmission est l'expression d'une exigence fondamentale de la conscience humaine. En effet l'ignorance du passé, l'ignorance des drames humains, serait un profond signe de mépris : le devoir de mémoire est aussi un "devoir d'humanité". Pour des raisons éthiques, pour répondre

Français, sont obsédés par un nouveau culte, celui de la mémoire ». Nous serions donc devenus des « hypermnésiques », des maniaques de la mémoire, des adeptes de la « boulimie commémorative ». On peut se poser la question si notre affirmation d’un « devoir de mémoire » n’est pas allée trop loin et s’il ne faut pas laisser le « travail de mémoire » aux historiens? Ainsi, il arrive que le droit français emprunte non seulement les habits de l’histoire mais le dépossède de sa matière en lui imposant une

bien l’urgence que l’écoulement inexorable du temps : Papon est le dernier des survivants et la lutte entreprise par la justice contre le 3 temps est nécessairement vouée à l’échec. Ici, la prise du temps semble l’emporter inexorablement sur le devoir de mémoire et de justice. 5. Comment a évolué la position du chef de l’état sur la question de la responsabilité de l’état français dans le génocide ? Il n’y a pas de reconnaissance de la responsabilité de la France dans le génocide jusqu'à Chirac

Manouchian à sa femme ; Louis Aragon au groupe des 23 ; Sympathisants aux 23 (épitaphe) ; Louis Aragon aux lecteurs dans la dernière strophe. Conclusion : Ce poème est un éloge funèbre et le rappelle d’un sacrifice. Un poète qui cherche à entretenir le devoir de mémoire.

arbitrairement, s’est vu « humilié », accusé d’illusion, de superficialité, d’être manipulé par des forces inconscientes, par la pensée des chercheurs et intellectuel du XIXème, se voit substituer par le Moi. D’autre part, il porte un regard critique sur le « devoir de mémoire », devenu un « impératif catégorique » de nos sociétés actuelles. Ricœur préfère parler d’un nécessaire « travail de mémoire » qui autorise le deuil. Par son analyse, il donne à l’oubli la place apaisante qui permet à la mémoire de devenir

plus durement d’un point de vue physique pour les hommes. Lévi accorde une place importante au devoir de mémoire. On peut diviser ce texte en 4 grandes parties : -> Du vers 1-4 : L’auteur fait allusion à la vie confortable et tranquille des « civils ». -> Des vers 5-14 : L’auteur confronte la vie confortable des « civils » à la vie des déportés hommes et femmes. -> Des vers 15-20 : Lévi appelle au devoir de mémoire -> Des vers 21-23 : Lévi lance la malédiction finale à l’égard de ceux qui ne veulent

est impossible à ignorer : si certaines personnes préfèrent ne pas en tenir compte, par haine, dégoût, ou par honte, d'autres s'en souviennent. Au délà des mémoires, il y a les souvenirs physiques tels que les monuments. Il existe même le terme de "devoir de mémoire" qui exige la transmission des évènements passés à ses descendants, car autant le passé éclaire notre personne d'aujourd'hui, le passé historique éclaire l'humanité d'aujourd'hui, et ce dans le but d'en reconnaitre les causes et de les