Diagnostic Financier Du Groupe Renault

valeur de signe du produit ou service (capacité du produit à refléter l’image de soit). ✦ Risque perçu : le niveau d’implication dépend aussi du risque perçu, c’est à dire de la perception que les csq d’achat pourrai être négatives. risque perçu (financier, physique, temporel, psychologique, social) .Niveau d’implication va varié d’un consommateur à l’autre. ✦ Complexité perçue : de la décision va être corrélé avec la complexité technologique du produit. En fonction des différents attributs qu’il le

la stratégie marketing Il existe 3 niveaux de stratégie: le « corporate »( groupe), le DAS (entreprise) et le niveau fonctionnel . Le Corporate: la question fondamentale est de savoir dans quelle activité le groupe doit être présent et quelle stratégie de développement doit il adopter. Il s’agira donc d’allouer des budget, de faire des choix de diversification ou de concentration de croissance interne ou externe. Le groupe répond généralement de ses performances devant des actionnaires. Ex.: Lou Gerstner

Abdulraouf | L’adoption de la démarche d’audit par les Business Risks : le cas de la Syrie | 17 juin 2010 | Université Paul Verlaine - Metz | François Meyssonnier | Elie Salameh | L’impact des normes IFRS sur le contenu informationnel des états financiers des PME cotées | 10 juin 2010 | Université Bordeaux IV | Serge Evraert | Inès Bouden | Contribution à l’étude des incorporels acquis lors des regroupements d’entreprise | 25 mai 2010 | Université Paris Dauphine | Jean-François Casta | Annelise

Problématiques liées aux ressources naturelles, à l’écologie, la pollution, aux risques naturels • L’environnement culturel ⇨ Très difficile à appréhender…il s’agit de repérer un système d’idées et de valeurs partagées par les membres d’un même groupe. ⇨ Religions, sujets tabous, croyances… ⇨ Vers la fin du marketing arrogant ? ⇨ Les composants de la culture : - Les différences socioculturelles illustrent les écarts de perception entre la culture du marché source et celle du pays cible. -

dans l’élaboration de cette troisième édition. Merci également aux directeurs de communication qui acceptèrent de se livrer au jeu des interviews, je pense notamment à Patrick Bessy (Alstom), Yves-Marie Dalibard (Total), Marie-Françoise Damesin (Renault), Bernard Emsellem (SNCF), Pascale Giet (Europ Assistance), Caroline Mille (France Telecom), Pierre-Emmanuel Richard (Natixis Financement), Laurent Sacchi (Danone), Antoine Sire (BNP Paribas), Jacques Suart (Elior). Merci à tous les auteurs qui acceptèrent

P R O J E T D E D E V E L O P P E M E N T D E L ’ U N I T E C O M M E R C I A L E I. ANALYSE COMMERCIALE DE L’UNITE COMMERCIALE A. ANALYSE DE L’UNITE COMMERCIALE DANS LE CONTEXTE DE SON RESEAU 1. CLESTRA GROUPE : UN RESEAU INTEGRE FICHE D’IDENTITE DU GROUPE CLESTRA : Leader mondial du cloisonnement de bureau Segment de clientèle : b to b XXX Millions d’euros de chiffre d’affaire en 2006 (+XX% par rapport à 2005) 1100 salariés Présent en Europe, en Asie, au Moyen-Orient, en Inde

PARTIE 2. DIAGNOSTIC INTERNE I. LE CONTEXTE DE L’AUDIT A. Situation économique de l’entreprise Lorsque nous effectuons l’audit complet d’une entreprise, il est essentiel d’appréhender et d’analyser la situation économique de cette dernière. Cette phase est déterminante car elle apporte des éléments essentiels liés à la performance et au dynamisme de l’activité de l’entreprise. De manière générale, la situation économique de l’entreprise est performante et dynamique. PSA demeure

veut produire une plus grande quantité de biens en réduisant leur coût unitaire. La place de la fonction production et de l’ingénieur est grande : c’est la domination de la technique et de certaines formes organisationnelle (TAYLOR). Le responsable financier a aussi un grand pouvoir car l’entreprise a besoin de capitaux pour investir et produire en masse. Dans ce type d’entreprise, la fonction commerciale est subalterne, elle est subordonnée à la fonction production et à la fonction financière, ce qui

L’économie d’adaptation (2000) O > D - plus de produit que ce que l’on peut consommer Prépondérance du besoin - intérêt pour le besoin du consommateur Multiplicité des entreprises - concentration (rachat pour des entreprises beaucoup plus grosses -> Renault-Nissan, Peugeot-PSA, etc.) Adaptation de l’offre à la demande - on s’intéresse d’abord aux consommateur pour fabriquer Hommes de marketing pour adapter l’offre à la demande Entreprise décentralisée et adaptable - structure par produit, par zone

de la vie de l'entreprise. Au-delà des propriétaires et des actionnaires (directement intéressés par le développement de l'entreprise et sa réalisation de profit), il convient de tenir compte des salariés, des fournisseurs, des distributeurs, des groupes de pression, c'est-à-dire de l'ensemble des acteurs directement et indirectement impliqués dans la création de la valeur de l'entreprise. Ces acteurs sont appelés parties prenantes. C. Deux définitions actuelles de la stratégie d’entreprise.