Dialectique du maître et de l'esclave

problème que reprendront des philosophes. Nous pouvons nous pencher plus précisément sur Hegel et sa dialectique du maître et de l’esclave. En effet « Ces gens, si le maître vient à mourir ou qu’eux-mêmes tombent malades, sont aussitôt mis à la porte. » cette phrase se rapproche beaucoup de la dialectique du philosophe qui dit que l’esclave est aussi dépend du maître que le maître lui-même et dépend de l’esclave. Ils ne peuvent pas vivres l’un sans l’autre, ce qui est aussi le cas des paysans et des nobles

à la dialectique. La dialectique est une méthode qui consiste à confronter, opposer et comparer différentes possibilités pour finalement atteindre la vérité. Marx et Hegel ont des notions différentes de la dialectique. Hegel a une dialectique idéaliste, avec des représentations, et notamment celle du rapport maitre/esclave, dans lequel il identifie un rapport de force. Cette relation de domination peut être remise en cause par une prise de conscience de l’esclave de l’aliénation du maitre à sa

Proudhon 1.7 Révolutions de 1848 1.8 New York Tribune 1.9 Retour aux écrits politiques 1.10 L'Internationale des Travailleurs 1.10.1 Conflit entre Marx et Bakounine 1.11 Fin de sa vie 2 Philosophie 2.1 Matérialisme philosophique 2.2 Dialectique 2.3 Conception matérialiste de l'Histoire 2.4 Mouvement de l'Histoire 2.5 Lutte des classes 3 Économie 3.1 Capitalisme 3.2 Économie 3.3 Travail et propriété privée 3.4 Consommation et production 3.5 Production, distribution et

devient alors le fondement du seul véritable lien social, le commerce et les échanges : la satisfaction de mes besoins dépend d'autrui, mais la satisfaction des siens dépend de moi. Or chacun dépendant ainsi de tous les autres, aucun n'est plus le maître de personne. Si donc nous travaillons par nécessité, cette nécessité permet d'une certaine manière à chacun de se libérer des autres : entre les hommes, les relations qui ont cours ne sont plus de subordination, mais de coopération, au point que les

mes désirs ? Est-ce moi qui les choisis, ou ne faut-il pas bien plutôt dire qu'ils s'imposent à moi au point parfois de me mener là où je ne voudrais pas aller, et même là où je n'irais pas si ma volonté était moins affaiblie, si j'étais davantage maître de moi-même ? I. Contrainte extérieure et contrainte intérieure 1. La contrainte comme absence de liberté Hoc volo, sic jubeo, sit pro ratione voluntas, écrivait le poète latin Juvénal : « parce que je le veux, parce que je l'ordonne, que ma volonté

harmonieuse : l’un n’a pas peur de la mort = maître / l’autre se soumet car il a peur du risque = serviteur. L’un va alors travailler pour satisfaire la volonté de l’autre. Dans le conflit, il y a toujours un vainqueur et un vaincu. Le maître est celui qui est libre. 3 acteurs : Monde, maître, serviteur. Le serviteur est l’intermédiaire entre le maître et le monde. Par mon action, je prends conscience de moi-même. Le maître ne travaille pas, mais l’esclave qui travaille va développer son intelligence

nature puisqu’il dépend d’elle. C’est donc à la fois d’elle et contre elle qu’il vit, lui qui est aussi et d’abord un être naturel. Interprétant la «dialectique du maître et de l’esclave» de Hegel, Marx voit dans la figure du maître celle d’une conscience abstraite qui, n’ayant aucun contact avec la nature, n’a aucune réalité humaine. Se servant de l’esclave comme de son propre corps, ne travaillant pas, il n’impose pas à la nature la forme propre à satisfaire ses besoins: il ne fait que jouir, tout comme

techniques pour se recueillir dans son intériorité (purification, …) pour ce mettre hors du monde en tant qu’étrangeté. Cette dernière est propre aux grands penseurs cités précédemment. Ont les appellent aussi les « maîtres de vérité ». Il y a deux manières très différentes d’être « Maitre de vérité » : (a) isoler l’expérience intérieure, à l’écart du monde (secte, monastère,… retraite, ésotérisme). (b) l’autorité politique (mandarins, prophètes, technocrates). Monicus = seul, solitaire. Donc monastère=

d'êtres vivants. Nous développerons donc dans une première partie l’aspect grégaire de la condition humaine qui a besoin des autres pour vivre, ce besoin pouvant aller jusqu’à l’aliénation de l’esclave à un maître. Puis nous consacrerons une deuxième partie à mettre en évidence le rôle positif du maître pour la vie intellectuelle, morale ou politique de l’homme. 1ère partie : L’homme a des besoins vitaux comme boire, manger, dormir et des besoins spirituels et moraux comme aimer, être aimé

s’inscrit dans la lignée de celle de Hegel et celle de Marx, Hegel dans sa célèbre ''dialectique du maître et de l'esclave'' (une perspective sur les rapports entre les classes dominantes et dominées), nous présente le travail comme la libération ultime du dominé. Sa théorie s’expose en deux parties : premièrement, dans la première confrontation, le dominé qui n'a voulu risquer la mort devient esclave, le dominant devient maître, et le premier va travailler au service du second. Deuxièmement, le dominé