Dialogue Argumentatif Bonheur

sentence de la Justice. Cette œuvre, publiée en 1829, est une œuvre de jeunesse de Victor Hugo, qui n’a, à l’époque, que 26 ans. Le texte qui suit est un extrait de la préface de 1832 du Dernier jour d’un condamné. Ici, sous la forme d’un faux dialogue qui ferait entendre la voix des partisans de la peine de mort et celle de ses opposants, Victor Hugo présente en réalité un réquisitoire contre ce type de décision de Justice qui ne sera abolie, en France, qu’en 1981. Ceux qui jugent et qui

Il n’y a que les utilitaristes pour avoir tenté de faire de la décision majoritaire le seul principe légitime. « La procédure majoritaire est fondamentalement (pour eux) la meilleure puisqu’elle fait adopter la solution qui correspond au bonheur du plus grand nombre ». Mais en justifiant que des individus soient sacrifiés au bénéfice d’autres, l’utilitarisme dérogeait au libéralisme égalitaire. L’utilitarisme est discrédité par son inégalitarisme. Rousseau a justifié « l’exigence d’unanimité

"extraits" ou "texte intégral" - légende éventuelle de l'illustration (auteur, date, lieu d'exposition) - code barre, catégorie de prix, date de dépôt légal, date d'inscription à la Bibliothèque nationale (ISBN) - éléments argumentatifs : les éléments argumentatifs sont constitués par un ou deux textes qui prennent des formes différentes : publicité pour la collection, présentation du contenu, commentaire mêlé à du résumé, ou jugement d'un auteur connu. On peut enfin avoir simplement un extrait

roman picaresque et le roman sensible (mémoire fictive). 3ème genre : le roman épistolaire (Les lettres portugaises). Ces lectures sensées être vraies fleurissent => création de codes. On assiste à l’émergence de l’individu et à la recherche du bonheur ds la société. On va faire entendre des voix particulières ds les romans. L’Abbé Prévost 1697-1763, Histoire d’une Grecque Moderne, 1740 L’Abbé Prévost : auteur de L’Histoire du chevalier de Grieux et de Manon Lescaut et de L’Histoire d’une

séquences 3 et 4 s’appuient sur des genres que les élèves ont déjà abordés au cours des années précédentes : roman, théâtre. En axant sur la question du personnage, la séquence 3 permet d’approfondir le travail sur la description et les paroles (dialogues). Quant à la séquence 4, elle montre la diversité des sous-genres au théâtre, et considère, conformément à la prescription du programme, le théâtre comme un art reposant sur un lien nécessaire entre verbal et visuel. La séquence 5 se situe dans la

: 597-604 note critique SARTRE LE MAÎTRE DU SOUPÇON CRITIQUE DE L’ÉTUDE SUR NIETZSCHE ET SARTRE : LE NIHILISME EST-IL UN HUMANISME ? * Simon Bouchard Faculté de philosophie Université Laval, Québec ______________________ utre les dialogues plus explicites avec Marx et Freud, Nietzsche fut sans aucun doute l’un des maîtres du soupçon les plus présents dans la pensée de Jean-Paul Sartre. Bien que ses œuvres philosophiques semblent témoigner du contraire, ses œuvres littéraires comptent

produit sont effectivement vrais. Cette confiance du lecteur de l’annonce publicitaire se base sur la loi en faveur du consommateur qui garantie la véridicité de la publicité, qui permet de faire croire quelque chose au lecteur. L’acte directif (argumentatif), qui s’ajoute à l’acte constatif, est un acte subterrain, implicite qui consiste à toucher les cordes de l’inconnu de l’acheteur pour qu’on produit en lui une mise en valeur de l’objet, pour qu’il soit persuadé que l’objet a une valeur, pour qu’il

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 La parole théâtrale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 Les jeux du dialogue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 La délibération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

succèdent de courtes scènes qui font intervenir des individus, qui peuvent être alternativement une fille, un garçon, deux filles, une fille et un garçon, une grand-mère et sa petite fille. Dans ces courtes séquences alternent chaque fois monologues et dialogues. Chaque personnage apporte une réflexion personnelle sur différents thèmes : le temps qui passe la relation intergénérationnelle la relation fille / garçon le vieillissement physique la peur du changement… etc… Une écriture rythmique et poétique

et l’incompréhension mère-fille : deux nouvelles se font écho, et mettent en pa- rallèle les relations mère-fille entre Sido et Minet-Chéri, et Colette et Bel-Gazou. Il s’agit de « Le curé sur le mur » et de « La couseuse ». Dans les deux cas, le dialogue est bloqué du fait de l’emploi inapproprié d’un mot : « presbytère » dans la première et « pour dépendre » dans la seconde. Mais les raisons de l’incompréhension sont différentes : à l’imagination enfantine de Minet-Chéri, qui construit un monde