Dialogue Argumenté

d’interaction est le commentaire, ce qui limite les modes des participations possibles. - 25% des blogs des 500 plus grosses entreprises (selon le classement Fortune), selon Forrester Research, sont “ennuyeux, inintéressants et ne stimulent pas le dialogue”. -70% de ces blogs ne parlent uniquement de l’activité de l’entreprise, ce qui témoigne d’un manque d’ouverture des sujets alors que les consommateurs souhaitent réagir sur des thématiques plus vastes. - 56% se contentent seulement de republier

interdépendants. → Souffrance partagée physique et morale => pieds et cauchemars → Rapport difficile aux paroles => Focalisation sur lui même (Estragon) => Cœur parler, cherche la communication (Vladimir) => Parole logorrhée (Lucky) Dialogue de sourd: mais le langage est indispensable.

solitude profondément tragique et affirme une forme de résistance et déclare : “Je ne capitule pas !”. Premièrement, les personnages du logicien et du vieux monsieur s’engagent dans un dialogue sur les syllogismes, coupé par un second entre Jean et Bérenger sur la situation humaine et le devoir humain. Cela crée un dialogue de sourd, une situation comique et montre d’ores et déjà un problème d’incommunicabilité entre les hommes. Il y a également une incompréhension total du spectateur, qui est perdu et

réduit à presque rien dans certaines pièces ultérieurs : « BOUCHE » in Pas moi. Les relations entre les personnages Dans ces œuvres sans véritable intrigue, les personnages dévident des paroles inconsistantes qui donnent lieu à un semblant de dialogue. Le rapport à autrui[12], nécessaire, svt cruel, légitime des conversations apparemment décousues et absurdes. Ainsi les personnages fonctionnent-ils par couple. Cf. évidemment les deux couples de Fin, mais aussi Vladimir/ Estragon et Pozzo/Lucky

pour le lendemain, et du lendemain quelquefois pour le reste de la semaine. Je n’estime pas ces originaux-là. Introduction : Le neveu de Rameau est un dialogue philosophique entre Moi, le narrateur et Lui, Jean-François Rameau, neveu du célèbre compositeur Jean-Philippe Rameau. Moi est à la fois celui par qui s’opère le dialogue et le narrateur qui relate l’entretien des deux hommes. Notre extrait se situe au tout début du livre, il s’agit de l’incipit du roman. Le narrateur et personnage

temps le pouvoir de penser. Pensée et Langue s'escomptent l'une de l'autre (compter l'une sur l'autre et s'échanger). S'il y a corrélation et symétrie il n'y a pas superposition. (voir H.Keller) La pensée est un langage et la pensée est un dialogue de l'âme avec elle-même. (L'amitié est véritable : du sage envers lui-même). « Penser, c'est parler à part soi » Leibniz SI les Deux sont ensemble, ils ne sont pas pour autant égaux ou équivalent. C. Relation du langage et de la pensée

réactions des personnages dans la pièce L’Atelier de Grumberg. A la scène 5, l’un des personnages, le Presseur, interroge un autre personnage, Simone, sur son passé et sur le départ de son mari déporté pendant la seconde guerre mondiale. C’est un dialogue assez difficile pour Simone car elle espère que son mari revienne alors que le Presseur essai de la persuader qu’il ne reviendra pas. A la ligne 156, Simone dit : « Comment vous pouvez être sur ? » de manière plutôt neutre alors que dans la représentation

La reformulation (exercices) Reformuler la pensée de l’autre, c’est la restituer sans aucune déformation. Afin de bien restituer cette pensée, il est nécessaire, au préalable, de bien l’écouter ou de bien lire son discours même si nous ne partageons pas le point de vue de l’autre... Nous sommes parfois tellement centrés sur nous-mêmes que la pensée de l’autre est mal comprise ou mal entendue. Les gens, très souvent, ne s’écoutent pas, car chacun est plongé dans sa propre pensée. La première

car il se rattache au vécu, à l’intime, seules ces dernières comprennent le sens de ce dialogue silencieux qui va bien au-delà des mots. Celles-ci se connaissent tant qu’elles peuvent se permettre de se taire ensemble, et d’arrêter tous ces bavardages qui ne servent qu’à se cacher à l’autre...ou à soi. En effet, le bavardage ruine la parole, l’écoute de l’autre et même la pensée, le bavardage ruine le dialogue. Dans la continuité de cette réflexion nous pourrions évoquer Platon qui affirme que

" Je vois dans le tableau une chose prononcée ; combien dans l’esquisse y supposé-je de choses qui sont à peine annoncées " (Salon de 1765 ; à propos de La Mère bien-aimée de Greuze, Paris, Garnier, p. 542-44). Grimm est le destinataire premier. Le dialogue épistolaire impose un ton particulier : le discours épistolaire tend à imiter la conversation orale entre deux amis, deux hommes de bien. Il requiert un ton familier et un style simple : " Je ne sais comment je me tirerai de celle-ci ; encore moins