Dialogue Nègre De Surinam

situent dans différents endroits à chaque fois (Lisbonne, Portugal,…). Le titre est éponyme car celui-ci porte le nom du personnage principal (Candide). Le texte est écrit à la première et à la troisième personne du singulier, et comporte de nombreux dialogues. Le narrateur est omniscient mais n’apparaît pas dans l’histoire, hormis au tout début du premier chapitre (« je crois »). C’est ce qui lui vaudra d’être autant haï que vénéré. Candide ne nous enferme pas dans un dogme et des modèles, mais nous apprend

les idées nouvelles qu'elle véhicule par le biais de la critique. Dans son Dictionnaire philosophique, Voltaire y accorde un article sur la liberté de penser. Cette liberté déjà accordée aux Anglais grâce à l' Habeas corpus est mise en avant par un dialogue d'idée entre un Anglais libre et un Portugais privé de liberté de penser. La liberté de penser est débattue entre les deux personnages. Cet échange fait émerger une liberté innée qui apporte paix et bonheur; ce dont les hommes sont privés tout en

partie Voltaire dévalorise le pouvoir de l’argent ; «  un sofa de plumes de colibri ; vases de diamants ». 1er dialogue : sur les guerres d’invasion européennes. Récit : « la conversation fut longue » = Voltaire utilise une énumération pour traduire la longueur de la conversation ; il y a tant de choses a dire sur ce pays. 2ème dialogue : sur les pratiques religieuses, sur la métaphysique Fin du passage : retour sur Pangloss et sa compagnie ; Candide

corrompu, profite de la situation. Ainsi, au désordre extérieur correspond un désordre moral, aggravé par l'inefficacité totale de la parole. Le conte permet en effet de présenter les personnages dans une situation qui rappelle la comédie, mais le dialogue se révèle stérile, inadapté, et ridicule. Le bouleversement de la nature : Les éléments naturels ne sont pas dans leur situation habituelle : plus de stabilité de la terre ; élévation du niveau de la mer qui relève du raz de marée ; aspect et

d'assister à une situation réelle plus perceptible pour lui. Enfin, expliciter des arguments abstraits par des exemples concrets leur donne une valeur de preuve aux yeux du lecteur. Par exemple dans Candide de Voltaire, la scène décrivant le nègre mutilé de Surinam fait apparaître au lecteur de manière brutale la réalité de l'esclavage. A travers le regard naïf et étonné de Candide, c'est le lecteur lui-même qui découvre l'horreur de l'esclavage, qu'il ne peut plus nier. De plus, le registre pathétique

d'assister à une situation réelle plus perceptible pour lui. Enfin, expliciter des arguments abstraits par des exemples concrets leur donne une valeur de preuve aux yeux du lecteur. Par exemple dans Candide de Voltaire, la scène décrivant le nègre mutilé de Surinam fait apparaître au lecteur de manière brutale la réalité de l'esclavage. A travers le regard naïf et étonné de Candide, c'est le lecteur lui-même qui découvre l'horreur de l'esclavage, qu'il ne peut plus nier. De plus, le registre pathétique

d'assister à une situation réelle plus perceptible pour lui. Enfin, expliciter des arguments abstraits par des exemples concrets leur donne une valeur de preuve aux yeux du lecteur. Par exemple dans Candide de Voltaire, la scène décrivant le nègre mutilé de Surinam fait apparaître au lecteur de manière brutale la réalité de l'esclavage. A travers le regard naïf et étonné de Candide, c'est le lecteur lui-même qui découvre l'horreur de l'esclavage, qu'il ne peut plus nier. De plus, le registre pathétique

d'assister a une situation réelle plus perceptible pour lui. Enfin,expliquer des arguments abstraits par des exemples concrets leur donne une valeur de preuveaux yeux du lecteurs. Par exemple dans Candide de Voltaire,la scéne décrivant le nègre mutilés de Surinam fait apparaitre au lecteur de manière brutale la réalité de l'esclavage. A travers le regard naif et étonné de Candide,c'est le lecteur lui meme qui découvre l'horreur de l'esclavage,qu'il ne peut plus nier. De plus, le registre pathétique

de la noblesse allemande. Pourtant, la morale que peut tirer le lecteur de certains épisodes du périple de Candide reste sérieuse : c'est ainsi une vive dénonciation de l'esclavage qui est faite à travers la rencontre d'un nègre mutilé lorsque Candide approche de Surinam. Afin de séduire son lecteur pour mieux l'amener à s'immerger dans le récit, Voltaire mêle donc des éléments de comique au conte philosophique, ce qui permet d'impliquer davantage le lecteur dans le récit, et donc dans l'argumentation

d'assister à une situation réelle plus perceptible pour lui. Enfin, expliciter des arguments abstraits par des exemples concrets leur donne une valeur de preuve aux yeux du lecteur. Par exemple dans Candide de Voltaire, la scène décrivant le nègre mutilé de Surinam fait apparaître au lecteur de manière brutale la réalité de l'esclavage. A travers le regard naïf et étonné de Candide, c'est le lecteur lui-même qui découvre l'horreur de l'esclavage, qu'il ne peut plus nier. De plus, le registre pathétique