Dialogue Théâtral Passion Tragique

fois littérature et spectacle. La littérature car sa base est un texte écrit, divisé en actes, eux même divisés en scènes. Le spectacle parce qu’il est représenté dans un espace concret appelé communément la « scène ». Ainsi le texte théâtral est composé de dialogues, monologues et de didascalies (notes rédigées par l’auteur à l’intention des potentiels acteurs, lecteurs et metteurs en scène, donnant des indications scéniques). Une autre caractéristique du théâtre est qu’il utilise le principe de

spectacles dans lesquels des acteurs, mis dans les circonstances et les situations créées par un texte et la vision d'un metteur en scène/réalisateur, incarnent des personnages pour un regard extérieur (le public), dans un temps et un espace limités. Les dialogues écrits sont appelés pièces de théâtre, mais il peut y avoir également du théâtre sans texte écrit ou même sans aucune parole. Dans la création contemporaine, les frontières entre les différents arts de la scène (théâtre, mime, cirque, danse...) sont

(faire rire ou pleurer…). Les registres sont d’abord associés à certains genres (le tragique à la tragédie, l’épique à l’épopée, le comique à la comédie…).Mais ils dépassent les frontières de ces genres qui ont parfois disparu (L’épopée disparaît en tant que genre au XVIIIème siècle mais le registre épique est encore présent dans le roman, la poésie…) On distingue les registres sérieux (épique, pathétique, tragique, lyrique, polémique, didactique, épidictique, fantastique) et les registres plaisants

elles doivent plaire et instruire, nous pouvons alors affirmer que la portée du récit est didactique. Comique : le registre comique par définition amuse, le comique peut être un comique de mots, de caractère ou de geste, comique de répétition (dialogue de sourds par exemple, répétitions d’expressions, de situations), il est associé au genre de la comédie et peut donc prendre plusieurs formes. Pathétique : Le registre pathétique cherche à provoquer l’émotion du lecteur, il fait pitié et donne

Document réalisé par Mme Anne-Noellia Carrols, professeure agrégée, lycée Cocteau à Miramas Séquence « Spectacle et comédie » (Le théâtre du XVIIè au XXIè siècle). Explication linéaire n°1 : Molière, Le Malade imaginaire, Acte II, scène 5 Cléante. […] Belle Philis, c’est trop, c’est trop souffrir, Rompons ce dur silence, et m’ouvrez vos pensées, Apprenez-moi ma destinée, Faut-il vivre ? Faut-il mourir ? Angélique répond en chantant. Vous me voyez, Tircis, triste et mélancolique, Aux

scène des personnages illustres confrontés à la fatalité de leur destin. Les objectifs de la tragédie. La tragédie met en scène une crise à l’issue fatale. Les personnages sont conduits à la catastrophe par leurs actions, dictées par les passions. L’action théâtrale parvient ainsi à exciter la terreur et la pitié du spectateur devant les faiblesses de l'être humain. Les dramaturges de tragédies s'efforcent alors de respecter ces règles. Deux dramaturges obtiennent la reconnaissance du roi et de la

la Foire Saint Germain, fondé par les Frères Alard. Il y eu par la suite six autres théâtres de foire. Cependant, la comédie française y voit une grande concurrence, et après plusieurs procès, les pièces de la foire ne doivent plus comporter de dialogues. Pour faire face a cette contrainte, les acteurs font des monologues, parlent à des muets, avec des écritaux, ou bien même à des animaux. En 1917, la comédie-française, aidée de l'opéra, obtient la suppression de tous les spectacles forains, hormis

intérieurs de l'âme. Ses comédies reposent (si basano) sur l’accumulation d’obstacles à surmonter. Il met en scène des gens ordinaires avec leurs passions et leurs limites. Il veut plaire et en même temps instruire. Corneille n’a jamais aimé les règles classiques. Il joue sur le suspense dramatique. Corneille recherche les sujets qui remuent fortement les passions et il les trouve surtout dans l'antiquité romaine. Ses œuvres: pour Le Cid il s’est inspiré des légendes espagnoles de Don Rodrigo Diaz de Vivar

Histoire du théâtre La naissance du théâtre à l'Antiquité En Grèce au Vème siècle avant J.-C., lors des fêtes de Dionysos (dieu de l’ivresse de la création) des représentations théâtrales étaient données. Ces cérémonies de théâtre avaient alors un enjeu religieux, social et éducatif. Deux grands genres existent alors : - La tragédie. Les héros des tragédies grecques étaient des rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée. La tragédie est un drame. Il y avait les acteurs

dcsvfhsjbcidfvbjfhgsdjhgvhjfdsjhfbdnhcvbnfdchjds hvdsbvhgcvdshvcdshvfbsdfbcfzrebdsfhchsdhcd Les dialogues et les situations des quatre scènes que nous allons étudier sont toutes peu réalistes. Cette invraisemblance empêche-t-elle pour autant l’installation de l’illusion théâtrale ? Alfred de Musset ouvre sa pièce On ne badine pas avec l’amour écrite en 1834 par une scène qui peut paraître absurde sur plusieurs points. La présence d’un personnage nommé « Le Chœur » est théâtrale par essence, simple intermédiaire entre le monde de la scène