Dictature De La Vertu Robespierre

de 1525-1526) un cursus de droit à Orléans et à Bourges et s’initia aux méthodes de la philologie humaniste sous l’influence indirecte de Guillaume Budé. Il publia en 1532 un commentaire latin du traité De clementia de Sénèque, qui traite de cette vertu royale dans le contexte de l’affirmation de la monarchie absolue. Sa « conversion » à l’évangélisme militant date de 1533-1534. Les motifs déterminants de cette orientation semblent être le choc provoqué par les persécutions exercées en France contre

pouvoirs Dictature, dans la pratique c’est la concentration des pouvoirs entre les mains d’un seul homme, mais il subsiste des organes qui st investi de certaines compétences. Un organe de l’état est investi seul et exclusivement de toute les compétence, un seul pouvoir imprime sa volonté a tous les autres organes. De plus, soumission du pouvoir législatif au pouvoir exécutif. Le pouvoir législatif est complètement subordonné au pouvoir exécutif, ce qui exprime la confusion des pouvoirs. Dictatures de

complique encore avec les incertitudes de vocabulaire car la constitution de 1958 évoque dans son préambule les droits de l’homme ainsi que les droits et libertés fondamentales. On peut définir la liberté comme étant un pouvoir d’auto détermination en vertu duquel l’homme choisit lui-même ses comportements personnels. Le droit abandonne à la philosophie les aspects de la liberté qui lui sont étrangers. Il n’existe pas de liberté privée mais des libertés individuelles car l’obligation faite aux particuliers

n’est pas toujours dans les Etats modérés. Elle n’y est que lorsqu’on n’abuse pas du pouvoir : mais c’est une expérience éternelle, que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il va jusqu’à ce qu’il trouve des limites. Qui le dirait ! La vertu même a besoin de limites. Pour qu’on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir. Une Constitution peut être telle, que personne ne sera contraint de faire les choses auxquelles la loi ne

permettant de définir la règle de droit n’est pas absolu. Certaines branches du droit, dont le constit, avec règles dépourvues de sanction, mais ce sont pourtant des règles juridiques. Fondements de la règle de droit : Système de valeurs : en vertu de quelle idéologie, religion…etc… Deux grands courants : idéaliste, qui essaie de réfléchir aux fondements, considère que le droit positif est soumis à une norme supérieure. Dieu, la nature, ces droits supéreiurs sont des principes immuables

l’apogée de la philosophie des Lumières20. Le mouvement des Lumières trouva alors un certain équilibre, entre la Raison « naturelle » et la reconnaissance de la légitimité du plaisir: "la vie est dans l'élan, l'affirmation de soi, il n'y a pas de vertu sans passion et seule une âme superbement emportée peut mériter la gloire de se dire vertueuse21". "M. de Voltaire", issu de la bourgeoisie, fréquentant les plus grands noms de l'aristocratie règne alors sur la république des lettres. Exilé en Angleterre

souvent cité. Supposons que l’Etat soit composé de 10000 citoyens écrivait JJ, chaque membre de l’Etat a pour sa part, la 10 millième partie de l’autorité souveraine. Les partisans de cette thèse qui se regroupaient en 1789 derrière la figure de Robespierre qui commençait à émerger, ne forment alors qu’une minorité qui n’imposera ses vues que plus tard dans la Constitution montagnarde de 1793 qui proclamait dans son art. 25 de la Déclaration des droits : « la souveraineté des droits réside dans le

social. C. La diatribe anti-démocratique ►ARISTOPHANE : Recherche des causes de la décadence d’Athènes: critique des institutions. Fondation d’une cité idéale entre le ciel et la terre. ►SOCRATE : Critique de l’ECCLESIA : il n’y a de mérite et de vertu que ds le savoir. L’homme politique doit savoir ce qu’il fait. Education au métier du Chef. ►La république des athéniens : pamphlet qui s’adresse aux indécis. La démocratie n’est pas un mauvais régime par dégénérescence mais par essence il n’accepte

milices des fascios, soutenues par les classes dirigeantes et Ivanoe Bonomi, le ministre de la Guerre de Giovanni Giolitti de 1920 à 1921[13]), vont permettre à la dictature de s'installer doucement, de la Marche sur Rome du 28 octobre 1922 à l'assassinat de Giacomo Matteotti le 10 juin 1924 qui va déboucher sur la déclaration de la dictature et la promulgation des lois fascistissimes en 1926. À l'origine, sans réelle idéologie, le fascisme est influencé par les lectures de Mussolini et des opinions

suffisamment significatif. 25. Toutefois, certains auteurs semblent vouloir réserver le qualificatif de « régime d’assemblée », sous la Convention, à celui qui eut cours avant et après la « dictature de Robespierre ». Selon eux, durant cet intervalle, c’est le Comité de salut public qui a « exercé une véritable dictature de fait sur l’Assemblée, et non l’inverse » (C. Leclercq, op. cit., p. 217). 26. Dans la classification des régimes politiques proposée par Marcel Prélot et Jean Boulouis (Institutions