Dictature De La Vertu Robespierre

plus virulents. Les plus célèbre sont Hotman, Théodore de Bèze et Julius Brutus. Ces derniers vont développer un contrat originel qui aurait été conclut entre les gouvernants et les gouvernés. Ce contrat social est l’acte fondateur de la société. En vertu de ce contrat, chacune des parties est engagées envers l’autre on parle donc de contrat synallagmatique. D’un coté le peuple doit respect et soumission au roi et ce dernier doit gouverner selon la justice d’équité et les lois divines. Mais les monarchomaques

analyse les différentes formes possibles de gouvernements. Il retient trois formes: Monarchie, Aristocratie, République. République: La souveraineté, le puvoir de décusion, appartient au peuple (Res publica= chose publique). Elle est fondée sur la vertu, c'est à dire le civisme (= actuellement attitude citoyenne). Pour Montesquoieu, la République n'est pas un bon régime, car elle est davantage fondée sur l'égalité, l'égalité des masses, que sur la liberté individuelle. Dès lors, les gouvernants seront

sont donc jugés par leur pairs et non par des roturiers par ex. Les clercs pendant longtemps ont eu le privilège du for (forum en latin → tribunal), ils sont jugés par des tribunaux ecclésiastiques (contraire de laïques) composés de clercs, en vertu du droit canonique. En matière pénale, le clerc ne peut subir aucune peine corporelle (peine de mort n'existe pas dans ce droit) contrairement aux nobles et roturiers. La procédure était différente : délais différents, modes de preuves différents

s'agit d'opérer des réformes profondes de la société. Le tiers-état est acquis aux idées nouvelles. Il est constitué majoritairement de membres de la bourgeoisie fortunée. Les hommes de lois dominent, notamment les avocats (Barnave, Le Chapelier, Robespierre notamment). Le tiers-état compte également deux transfuges : un de la noblesse (Mirabeau) un du clergé (Sieyès). Le clergé n'a que peu de membres ouverts aux idées nouvelles (parmi eux Talleyrand). La noblesse est plus ouverte et un tiers de

immédiates mais elle reste un problème. Elle ne forme pas un bloc comme l’avait dit Clémenceau sous la IIIème République, elle connait au moins 2 phases. Il y a d’abord une grande rupture dans la révolution française, c’est la chute de Maximilien ROBESPIERRE (comité de Salut public) en juillet 1794 Thermidor An II. De 89 à 94 c’est une phase d’accélération et de surenchère de la révolution sur ces propres principes puisqu’en effet dans cette période qui va de Mai 89 au 27 juillet 1794, elle va connaitre

méfie du peuple on méprise donc les coutumes. A la place des juristes et coutumes il faut un despotisme légal cela veut dire on réforme le tout et notamment l’idée est d’aller vers la codification, la loi écrite codifiée. Pour eux cela n’a que des vertus, une loi connue de tous, il faut des lois rationnelles qui seront donc simples à comprendre. Grace à cela pour les Lumières il y aura une simplification générale d droit qui sera enfin compréhensible de tous les hommes. Comme on offre à la société

Le 18 brumaire, Bonaparte prend le pouvoir. Affirmant que « la Révolution est finie », il se présente comme « le sauveur de la France », le réconciliateur des partis. Le régime qu’il crée est-il une dictature de Salut public, un despotisme éclairé ou une dictature militaire ? Le Consulat et l’Empire fondent-ils l’État moderne ou ne sont-ils qu’un épisode durant lequel se trouve glacé le mouvement démocratique né en 1789 ? Les historiens disputent aussi sur les causes et les effets d’une guerre presque

constitutionnelle Chapitre 3: La Republique révolutionnaire C'est une Rep qui existe en oubliant volontairement d'appliquer la C°. Cette Rep fonctionne jusqu'à la Terreur jusqu'au moment où certains rev ont pensé que Robespierre allait les faire guillotiner et ont donc décidé de faire guillotiner Robespierre. Ils ont continué le régime de la REP en modifiant ce régime. Chapitre 4: le régime du Directoire Sont instituées deux chambres. On a voulu se protéger contre les failles des autres systèmes. Le régime

les autres partis de la Résistance. Il a accepté de se faire l'instrument de leur vengeance, en commençant par leur abandonner la tête de Pucheu. Il leur a livré discrétionnairement l'honneur, la liberté et la vie de leurs adversaires politiques, en vertu de cette monstruosité juridique, qu'il avait proclamée dès novembre 1940 à Brazzaville, à savoir que le gouvernement du Maréchal n'existait pas. Pour complaire à ses nouveaux compagnons de route, il a fait litière de ses plus solennelles promesses

(plutôt de droite) -les jacobins 136 députés qui eux aussi veulent l’application de la constitution, certain sont royaliste, beaucoup sont républicains et ils sont d’accord sur une chose : si le roi ne respecte pas la constitution il sera déposé. (Robespierre, Danton) -Le marais : 344 députés, les indépendants qui n’ont aucun avis et siège au bas de l’assemblé. L’assemblée veut des changements mais louis 16 ne bouge pas. La situation en France inquiète les monarchies européennes. Paragraphe