Diction

ARGUMENTATION : La Double Inconstance (A1s4) Marivaux Eléments pour introduction : - Influence du baroque - Comédie en 3 actes de 1723 - Marivaudage : « mélange de termes subtiles et de diction populaire » I Des caractères opposés a) Trivelin, un personnage atrophié - phrases courtes : Sujet + Verbe + Compléments : « Vous ignorez le prix de ce que vous refusez » - impossibilité de terminer ses phrases : ponctuation : points de suspension : « Mais les richesses que vous

introduction et une conclusion  les interventions de chacun doivent être coordonnées | Ne pas lire ses notes |  une prise de distance par rapport aux notes écrites  une aisance d'expression qui nécessite une préparation (qualité de la diction, correction de la langue...) | Un seul élève ne doit pas répondre à toutes les questions |  avant l'oral, réfléchir aux questions qui peuvent être posées et envisager les réponses |

diminuendo » voire « morendo » en guise de points de supension. La voix du poète dans cette chanson est une voix de baryton chaude, chaleureuse, profonde, posée, qui retransmet parfaitement la gravité de la chanson et la tristesse qui l’accompagne. Sa diction est parfaite(roulement des ‘r’, etc…) et ses accents ainsi que l’allongement de la dernière syllabe de chaque quatrain reflètent la sincérité du chanteur et son désir de perpétuer le souvenir de ces hommes.

rôles de femmes, à cette époque, sont tenus par des jeunes garçons encore pubères. Ils sont engagés comme apprentis auprès des comédiens plus expérimentés. Ils sont initiés dès leur plus jeune âge à chanter et à danser. On insiste beaucoup sur leur diction et leur gestuelle, ce qui permet de les rendent convaincants dans les rôles féminins. Cette particularité explique le petit nombre de personnages féminins dans les pièces de Shakespeare. Ce n'est qu'après 1660 que les femmes seront admises pour jouer

de temps rares à l’oral (subjonctif imparfait) B) Cultivé Cyrano prouve sa culture avec sa tirade. Ex : « Enfin parodiant Pyrame en un sanglot »  Culture littéraire Ex : « Est-ce une conque, êtes vous un triton ? »  Culture mythologique C) Diction Hippocampéléphantocamelos II- Une éloquence au service de l’autodérision A) Autocritique du nez Cyrano fait durant tout le long le la tirade une critique de son propre nez B) Sens de la répartie Grâce à son éloquence, Cyrano répond au Vicomte

répliques étaient formulées par ce qui pour moi était juste. Par exemple, la réplique, ligne 3, « Oui, nous voulons faire un grand voyage », devait exprimer l’enthousiasme de la cliente. Les lectures correspondaient davantage à une oralisation ou diction, c’est à dire lire à haute voix un texte sans le jouer. Même si elle demande un temps d’enseignement plus conséquent, je pense qu’une mise en voix du texte me paraît aujourd’hui plus judicieux. En se référant aux travaux d’Annie Lucas ( Théâtre

au château… « La toile blanche avec de fins liserés blancs transversaux » devient le nœud de la conversation. Enfin, Réza donne des indications comme « un seul décor. Le plus dépouillé, le plus neutre possible » et note le rythme de la diction des personnages avec la didascalie : « un long temps où tous les sentiments se traduisent sans mot ». Ainsi, l’écrivain ne se contente pas du texte proprement dit, il se fait metteur en scène lui-même. On peut conclure que l’évolution des didascalies

« sens », il ne s’agit pas d’un sens caché, ni du sens de la pièce ; simplement ce qui est dit en réalité, jusqu’aux choses les plus insignifiantes, comme nous le faisons nous-mêmes tous les jours. Il en est des méthodes de travail comme de la diction, ce n’est pas là l’essentiel et tout doit être parfaitement digéré par le comédien, afin de rester invisible pour le spectateur. D’autre part, la direction principale que l’on doit prendre est celle désignée par le metteur en scène. Il faut tenir

français des XVIème et XVIIème siècles tels un Caravage, un Bernin ou encore le mouvement d’un Poussin, ou d’un Lahyre... Cette chorégraphie particulière demande au comédien un travail rigoureux pour un résultat d’une grande puissance poétique.   DICTION ET DÉCLAMATION La langue que l’on entendait à la cour, au théâtre ou au prétoire était aussi étrange pour un contemporain de Molière ou de Racine que pour le spectateur du XXIème siècle. La prononciation du "r" roulé, du "l" mouillé, des voyelles

« un granit » (20) → synecdoque de la matière (monument de granit = un sphinx) « une vague épouvante » (20) → espace qui cause l’épouvante (métonymie : l’espace pour la cause) → La métonymie condense la signification. Les figures de diction ou de son La rime Rimes plates aux vers 15, 16, 17, 18 Rime « cerveau » / « caveau » (5-6) : cette rime motive l’intégralité du poème Rime « romances » / « quittances » (3-4) : dissonance (réseau de l’argent / réseau