Diction

registres opposés : «  Marivaux se fit un style si particulier qu’il a eu l’honneur de lui donner son nom ; on l’appela « marivaudage ». c’est le mélange le plus bizarre de métaphysique subtile et de locutions triviales, de sentiments alambiqués et de dictions populaires » Il le rapproche également d’autres termes tels que le libertinage et le badinage.

comporte des scènes de farce, de comédie, mais aussi de tragédie. • La comédie est visuelle : le comique de gestes, les déguisements, les quiproquos en sont la marque. Les changements de lieux sont permis et impliquent des changements de décors. La diction est souvent naturelle. La comédie-ballet et la comédie-machine Ce sont des spectacles à part entière : le vraisemblable n’est plus la norme ; au contraire, musique, danse, effets scéniques l’emportent.   2 Le théâtre au XVIIIe siècle Le drame

Construire un exposé cohérent L'exposé doit être structuré en deux ou trois parties cohérentes (linéaires ou thématiques), qui doivent être clairement annoncées par le candidat S'exprimer avec clarté et précision Soigner la construction des phrases, la diction (parler de manière audible, en articulant) et le langage (utiliser un vocabulaire spécifique à l'analyse littéraire) Savoir gérer son temps de parole Faire tenir son exposé dans le temps imparti (10 minutes) 

théâtre absurde. Par contre le choix de « l’Africain » comme symbole de l’errance et de l’exil pourrait se discuter. Mais bon sur scène avec le génie des deux comédiens il paraît comme évident le choix fait par les metteurs en scène. Le rythme de leur diction, la particularité de leur accent africain, collant aux personnages, mais aussi le désespoir caché par leur rire fait très bien sonner les mots de Beckett. De plus avec la magnifique tirade de Lucky, interprété par un sublime Jean Lambert-Wild. Cette

mots de reprise ; prévoir des paragraphes pour les grandes étapes ; Mettre en page au traitement de texte, en laissant de l'espace sur chaque page pour les illustrations (travaillées en parallèle en Arts plastiques ?). 4ème étape : Travailler la diction de mon texte (respiration, articulation, rythme, ton, regard...) 5ème étape : Lire devant les enfants de maternelle (à la médiathèque ?), suivi d'un échange oral : quelles histoires vous ont le plus plu ? (distribution de livres en récompense ?)

 problématique et  conclusion).     ● Préparation formelle​  :  il est utile de  s’entraîner  à la présentation orale, tout en insistant sur la  maîtrise  du  temps (ne pas dépasser 10 minutes) et de l’expression corporelle  ainsi  que  sur la  clarté de la diction.        

arguments trouvés: plan du discours 3. Élocution (elocutio) : style, ornementation (les mots et les figures). 4. Mémoire (memoria) : fixer dans l'esprit le discours pour s'en souvenir. 5. Action (actio) : prononcer, jouer le discours (attitude, gestes, diction). Les quatre moments du discours (dispositio) 1. Exorde (exordium) : introduction. a. La « capture » de l'attention des auditeurs (captatio benevolentiae). b. La division (partitio) : annonce du plan. 2. Narration (narratio) : exposé des faits. Elle

réalité qui fait peur. Par feinte· La prétérition : dire ce qu’on a dit ne pas vouloir dire. · L’ironie  : consiste en l’énoncé du contraire de ce qu’on pense. Les figures microstructuralesLes figures de diction · L’allitération  : répétition d’un son consonne. · L’assonance  : répétition d’un son voyelle. · L’homéoptote : répétition des même formes morphosyntaxiques

touchée par la cause des Noirs en Amérique. Le jeu des comédiennes est convaincant puisqu’elles semblent incarnées leurs personnages à merveille. La voix est tout aussi excellente et on n’a aucunement l’impression de manquer de clarté dans leur diction. Elles connaissent très bien leur texte, même si celui-ci est d’origine américaine, et le communique aux publics avec une grande émotion ce qui rend la pièce vraiment captivante. Afin de souligner la ressemblance des demoiselles d’honneur, non

comporte des scènes de farce, de comédie, mais aussi de tragédie. La comédie est visuelle : le comique de gestes, les déguisements, les quiproquos en sont la marque. Les changements de lieux sont permis et impliquent des changements de décors. La diction est souvent naturelle. D La comédie-ballet et la comédie-machine Ce sont des spectacles à part entière : le vraisemblable n’est plus la norme ; au contraire, musique, danse, effets scéniques l’emportent. 2 Le théâtre au XVIIIe siècle A Le drame bourgeois