Didascalie

« au fond, une grande cloison vitrée », « large porte également vitrée sur une longue galerie (…) qui traverse tout le théâtre », « immenses rideaux ») -Informations tirées de la scène 1, acte I (avec délimitation) : L’espace est très vaste (didascalie « il sort par la porte du fond. Don Salluste va à la fenêtre ») *Le contexte -Informations tirées du prélude didascalique à l’acte I : L’action a lieu à la fin du 17ème siècle, du temps de la monarchie (« Ameublement magnifique dans le goût

sont les liens des deux personnages de la scène 1 puis présentez celui de la scène 2. 2 • Quelles informations apprenons-nous sur la vie de famille du couple Martine-Sganarelle ? 3 • Quel est l’objet de leur querelle ? Quelle est la fonction de la didascalie initiale ? 4 • Qu’apprend-on sur le personnage de Sganarelle ? A-t-il un lien quelconque avec un médecin qui pourrait expliquer le titre ? 5 • Quel est son comportement à l’égard de sa femme et de sa famille ? à l’égard de son voisin ? 6 • Quels

Roxane qui multiplie les questions d’abord pour identifier son interlocuteur (1ère et 2è) puis pour exprimer un sentiment négatif : « c’est vous ? » est prononcé «  avec dédain  » comme l’indique la didascalie. · Cyrano est là pour encourager Christian en répétant : « Bien. Bien. » et lui donner un conseil quant à sa manière de parler tel un metteur en scène  : « Presque à voix basse. »

prononces sur scne sont entendues du public, elles ne le sont pas toujours des autres personnages. Ce mcanisme se manifeste avec le plus dvidence dans les aparts. Dans le texte A, la didascalie bas Mathurine indique que les paroles de Dom Juan ne sont pas perues par Charlotte (et rciproquement avec Bas Charlotte). La didascalie part des textes B et C indique que les propos tenus ne sont entendus que du public. Ceci cre un forme de complicit avec le spectateur, plac dans une position de supriorit vis

avec les Vieux : le colonel, la dame, la belle, le photograveur, l'empereur, des journalistes. : A propos du cadre spatiotemporel, l'action se déroule dans l'habitation des Vieux, une maison isolée sur un île. On le met en évidence grâce aux didascalies sur le bruit des barques qui arrivent et sur le son de la mer. On imagine qu'on se trouve dans la salle principale de cette habitation qui va être à l'origine d'un comique de situation. Comme il est indiqué sur le schéma du décor, la pièce se présente

« Il tourne sur lui-même, hagard, va vers le miroir. » Cette situation est d'abord révélatrice de sa solitude puisqu'il a fait le vide autour de lui et que, faute d'avoir quelqu'un vers qui aller, à qui parler, il se tourne vers son miroir. Les didascalies, comme ses paroles, le soulignent bien : « il recule un peu, revient vers le miroir » de même que les jeux de scène qu'il effectue face au miroir comme s'il était face à quelqu'un : « il tend les mains vers le miroir », « je tends mes mains et c'est

l’utilisation de l’impératif : « Ecrivez » l.16 ; « Ah! Signez » l.32 ; « Ecrivez » l.46 ; « Signez de votre nom » l.49. Les didascalies montre que Don Salluste est bien le maître du jeu, il dirige le valet : « Il fait signe à Ruy Blas de s’assoir à la table ou sont les plumes et les écritoires. Ruy Blas obéit » « Il fait signe à Ruy Blas de se rasseoir à la table » Les didascalies nous montres aussi la soumission et la peur qu’exerce le maître sur le valet : « Ruy Bals obéit » « Ruy Blas, après avoir

Page 222-225 I. 1) Les principaux procédés utilisés par les auteurs pour commencer leur pièce dans ces trois scènes 1 sont dans les textes A et B sont les didascalies internes et dans le texte C sont les dialogues. Celles qui me semblent les plus efficaces pour intéresser le lecteur ou le spectateurs sont les didascalies car elles nous permettent de mieux visualiser la scène. 2) Ces rêves ont pour principale fonction d'informer le lecteur ou le spectateur car ce sont des scènes initiales

théâtre. Le théâtre est un genre littéraire. Il existe comme texte, il est né à l’écrit, et écrit par des écrivains. b) Il ne peut pas exister du théâtre sans paroles. S’il n’y a pas de dialogues, il existe un texte à lire. Même si c’est de la didascalie. Peter Handke, Le pupille veut être tuteur c) Il y a des œuvres qu’on peut difficilement représenter. Elles sont trop longues ou l’auteur même ne les considère pas adéquats pour la mise en scène. Victor Hugo, La préface de Cromwell. II.- LE

| |2. Le comique de mots |Des jeux de mots, des plaisanteries, un langage déformé ou inventé suscitent le rire. | |3. Le comique de gestes |Les didascalies de l'auteur ou les inventions du metteur en scène imposent aux acteurs des mouvements | | |comiques. Le lecteur ne peut que les imaginer, alors que le spectateur a la chance de les voir. | |4. Le