Diérèse

14 (« plus », « partant », « plus »). La deuxième partie, le discours du Lion, est marquée par l’hypocrisie. En effet, le Lion représentant le Roi, la critique vise dans cette partie Louis XIV, le roi de l’époque. Cette partie commence sur la diérèse du mot « Lion » (v.15) ; qui marque que l’animal qui prend la parole est important, elle insiste sur l’énonciateur, mais le Roi tente de se placer au niveau de son auditoire, avec des modalisateurs comme « je crois » (v.16) et « peut-être » (v.20)

le rythme de plus en plus. Cette voix, seule trace concrète que de cette femme, s’en va de plus en plus loin. La femme s’échappe de plus en plus jusqu’à ce qu’on dise au dernier vers que les voix se sont “tues”, donc que la femme est morte. La diérèse donne en plus une impression d malaise. Néanmoins, on peut également lire cette mort comme un simple départ ou des adieux ou encore à une rupture. Si on se fie à la vie du poète et son son amour non partagé pour sa cousine Elisa, cette seconde hypothèse

montrait attentif à la spécificité des matières et des techniques, célébrait le verrier, le céramiste, la brodeuse, l'imprimeur, le relieur, le récitant et la cantatrice, le graveur et le sculpteur, ou bien encore rêvait sur la diction des vers, la diérèse, la poésie chinoise, les concerts Lamoureux, la mer, l'«infini esthétique». Il n’oublia pas la peinture : ‘’Préambule’’, qui ouvrait en 1935 le catalogue d'une exposition de cinq siècles d'art italien, oppose à la futilité anxieuse et fébrile de l'art

Majuscule en début de vers. * Retour à la ligne à la fin. Ex : Un/liè/vre en/son/gite /son/geait… * « e » muet est élidé (non prononcé) devant une voyelle. Ex : Jean/ne/me/tient/au/ssi/dans/les/li/ens/d’a/mour *2 voyelles se suivent = diérèse = dédoublement de 2 syllabes b) Les différents vers. 1 = monosyllabe | 2 = dissyllabe | 3 = trisyllabe | 4 = quadrisyllabe | 5 = pentasyllabe | 6 = hexasyllabe | 7 = heptasyllabe | 8 = octosyllabe | 9 = ennéasyllabe | 10 = décasyllabe

l'ancienneté. Il veut préserver la religion même s'il est pour la modernité. Champs lexical de le religion : « pape » « église » Christianisme » « confesser » Paradoxe : mise en relation de deux choses qui s'opposent. → 1\19\20 nbrs de pieds : 11 (avec diérèse)/12\12\12 De plus vers 1/19/20 nous avons la présence d'alexandrin, il s'agit donc de « trace » de la poésie classique.

lecture que vous en avez compris les subtilités. Pensez à parler assez fort, de manière audible, à ne pas utiliser un ton monotone et à bien respecter la ponctuation. Dans le cas d'un poème, respectez le rythme des vers. Attention aux e muets, aux diérèses, aux enjambements.

rejets (v.4,6,13) ; et un contre-rejet (v.13) ; tout est improvisé, décousu et traduits par des alexandrins dissymétriques, mal découpés, parfois boiteux comme le dernier alexandrin du premier tercet dont la longueur n'est sauvé que par une double diérèse douteuse, ti/è/de et colo/ri/é, par des rimes inhabituelles croisées ABAB au lieu d'embrassées ABBA pour les quatrains d'un sonnet, par un vocabulaire très familier " ce fut adorable", "celle-là", "tétons énormes". 2-Un bonheur simple Tout, dans

1 – La nature 2 – La jeune fille Partie I : Présentation d’Ophélie dans son cadre : 1 – Une vision en noir et blanc • Opposition des couleurs → (nuit/ciel étoilé) •Blanche Ophélia = héritage du clair obscur → Romantisme. Ophéli « a » = Diérèse (diphtongue) • Point Lumineux, les étoiles reflétées dans l’eau. Ophélie assimilé aux étoiles ! (Ophélie peut-être dans le ciel et non dans l’eau ?) Ophélie comparé au Lys pour sa blancheur + Contraste : Blancheur d’une morte dans une nature sombre

lecture que vous en avez compris les subtilités. Pensez à parler assez fort, de manière audible, à ne pas utiliser un ton monotone et à bien respecter la ponctuation. Dans le cas d'un poème, respectez le rythme des vers. Attention aux e muets, aux diérèses, aux enjambements. 3. le développement (avec des parties) • je repère :                • qui parle dans le texte?, qui voit la scène?                • les temps des verbes                • la structure logique du texte (mots de liaisons

Tous, sans exception, regardent sa tanière ; ».Le vers 17 montre au lecteur la marche fatale des victimes vers leur mort certaine étant donné que l’emploi du pronom indéfini « tous » en position anaphorique suivi de la diérèse et de l’hyperbole « sans exception » insistent sur le caractère inéluctable de cette marche comme si les animaux étaient hypnotisés, fascinés par le lieu de leur perte. Ainsi, le lion a pu dévorer un certain nombre de ses sujets à l’exception du