Diérèse

roi. Ce dernier est tellement vieux qu’il ne ressemble plus à rien. Le deuxième adjectif « goutteux » ne s’applique qu’à l’homme noble qui mange trop, les deux adjectifs se trouvent de part et d’autre de la césure et sont donc mis en opposition. La diérèse sur le mot « Lion » qui sert à souligner la majesté du roi s’oppose à l’expression familière « n’en pouvant plus » qui démolit l’image du Lion. La Fontaine utilise le champs lexical de la maladie (gouteux, remède...) pour évoquer l’éternel illusion

structure (le cercle) et l’effet (la lumière). Les uns et les autres exercent sur l’«esprit» du poète des «charmes», le mot ayant ici son sens fort, classique, d’«attraits magiques», accentué encore par l’adjectif pour lequel il faut d’ailleurs faire la diérèse : «mystéri-eux», qualificatif déjà employé dans ‘’Ciel brouillé’’ pour les yeux. Ces yeux sont séduisants même si, ou d’autant plus que, ils sont «traîtres», mensongers, comme le sont aussi les «larmes». Le poète, trahissant peut-être sa misogynie

dénouement. -La situation finale évoque la mort de l’Ane en un seul HEMISTICHE (le second de l’alexandrin) ; « on le lui fit bien voir ». Cet euphémisme succède à des expressions hyperboliques « rien que la mort », « expier son forfait » souligné par la diérèse « expi-er ». L’effet de chute en est d’autant plus souligné.

front. Par ailleurs, cette souffrance provoque l'inquiétude du poète envers Lou. L'auteur se fait du souci. En effet, au vers 2, le mot « Mystérieux » est mis en relief: d'une part par sa place à la fin du vers et d'autre part car le poète créé une diérèse; ce qui rend le sens du mot encore plus fort. Le poète perçoit une intrigue à travers les yeux qui sont des « obus » appartenant à Lou, ce qui traduit l'infidélité de Lou par une seconde référence à La Grande Guerre avec le mot « obus ». Pour ce

opposition/contradiction femme aimé toujours inconnu malgré la répétition du rêve -Les allitérations en [r] et en [t] mettent en valeur le premier vers - nombreux enjambements (vers 1, vers 3, vers 5...) -refus de la césure à l’hémistiche, (vers 9, 13-14..) -diérèses ("inflexion" doit être prononcé en 4 syllabes vers 14) - Vers 9 -10 -> Identité non connu donc pas réel => Doute entre rêve et la réalité et contradiction dans les propos du poète * CONCLUSION Dans ce sonnet Verlaine parle

hurlement », personnification des cloches qui représentent le cri de douleur absolue lancé par le poète. -V.15/16 : Plainte du poète rendue par les allitérations en –R et –S. Le poète est harcelé par la douleur du Spleen ( « o-pi-ni-â-tre-ment », diérèse, effet d’insistance). La quête du salut pour Baudelaire inséparable de l’idée de libération du Spleen et de la condition humaine -V.17 Le tiret qui marque chez Baudelaire un changement radical de thème : celui de la mort et de l’enterrement : la

leur indépendance, il fait un portrait péjoratif de ces “femmes d'aujourd'hui qualifiées de “coquettes vilaines”, et de leurs “fredaines”, c'est-à-dire leurs aventures amoureuses avec les “jeunes blondins”. Le terme “mariage” est amplifié par la diérèse (vers 695) et associé à “d'austères devoirs”, repris au vers 714 : “Son devoir aussitôt est de baisser les yeux”. Le mariage n'est donc qu'un ensemble de contraintes pour l'épouse. Pour appuyer cette conception, Arnolphe fait appel à l'éducation religieuse

femme et le poète (on note les occurrences du pronom « nous ») dans un univers onirique Relatif au rêve.. Cet équilibre est fragile (« aux branches incertaines »). Le poète monte vers un idéal poétique. L’évocation de Diane, mise en valeur par la diérèse, déesse de la chasse cruelle, n’est pas la Diane mythologique mais la Diane pastorale que Vigny a trouvée chez Shakespeare.

dégradation physique Au vers 15 : V.H utilise la figure de style de l'euphémisme puisqu'il ne dit pas clairement qu'il va mourir : "je m'en vais bientôt, au milieu de la fête". Le vers 16, dernier vers est doublement mis en valeur par le dernier mot en diérèse. CCL : La faune et la flore survivront au temps qui passe en restant toujours semblables. L’homme ne peut rien devant la grandeur de la nature et l'écoulement du temps. Le ton de ce poème est mélancolique, Victor Hugo veut nous dire que

ce qui donne une rime masculine isolée, comme le poète. Le vers est à l’image de la rupture amoureuse. -L’absence de ponctuation favorise la fluidité du poème et son ambiguïté en multipliant les sens possibles. -Un calembour est composé par la diérèse vi-o-lente = vie-eau-lente et évoque la lenteur de la vie qui passe. -« Comme », lui-même a plus