Diérèse

religieuse très pieuse, d’une mère très aimante. Précurseur du symbolisme. * Inspiration : le recueil contient ce sonnet très important : que l’on peut considérer comme Art poétique pour le symbolisme. II] Expression Effets sonores= fricatives, diérèse… III] Problématiques Importance d’un tel sonnet pour le symbolisme. Thèmes : I) Démarche II) Expérimente la démarche IV] Commentaire 1) Démarche poétique qui repose sur deux perceptions/ constats * Le comportement

se / ra / co / mme / la / nuit (V. Hugo) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Attention, le poète peut faire prononcer en deux sons ce qu'habituellement on ne prononce qu'en un seul : c'est une diérèse. Oh ! / que / de / soirs / d'hi / ver / ra / di / eux / et / char / mants (V. Hugo) 2. La strophe Une strophe regroupe plusieurs vers entre deux espaces blancs. Le quatrain est un strophe de quatre vers, le tercet en compte trois et le distique

fragilise. Cependant, la femme est double, derrière son apparente douceur, elle reste néanmoins dangereuse. *danger « Charme » : étymologiquement --} envoutement, un envoutement maléfique. A cela s’ajoute le terme : « Mystérieux », renforcé par la diérèse sur le « i ». Mise en relief d’un deuxième versant chez la femme, caché, d’où le danger. Enfin le nom « traître » rappelle l’ancien testament, et le péché originel. C’est donc une « nouvelle Eve », qui tend à égarer l’homme, une femme synonyme de

 Mais lors du retour d’exil de celui-ci, Phèdre se rend compte → tous ses efforts sont vains. Tout cela → « vaines précautions » vers 301 →désarroi sur lequel appuie la diérèse→ elle ne peut pas y échapper : une force supérieure s’acharne sur elle.  Ajoute « cruelle destinée » →2 exclamatives → très touchée par ce qu’elle vit.  « Par mon époux lui-même à Trézène amené, j’ai revu l’ennemi que j’avais éloigné » → rechute  Comme elle le dit à la fin de l’extrait, vers 305 et 306, je cite : «

poème. C'est une déclaration d'amour avec : -Aimer (répéter deux fois dans le même vers) = le thème de l'amour est bien présent dans ce poème. - « à peine » = jusqu'à la douleur. - « mon mal est délicieux » = car il peut l'exprimer, le poétiser + diérèse = plaisir trouver dans la douleur. - « Automne » = amour fini. - « livre ancien » = histoire d'amour finie II ) Élégie et thème du temps. A) L'inéluctable écoulement du temps : -«soldat » : référence à la guerre

indomptable et sauvage » on n’entend pas le E de plainte, on prononcera : plai-tein-domp-ta-ble. 8. il n y a qu’une synérèse dans ce poème, chaque sons est prononcés comme ils le doivent, il n y a pas besoin de faire de diérèse pour respecter les douze syllabes de l alexandrin.

manuscrit et sa transcription sont les accents et la ponctuation car dans le texte manuscrit il n’y a presque pas de ponctuation et d’accents alors que dans sa transcription il y a de la ponctuation a chaque fin de vers. 5) Il y a des e caduc et des diérèses. Je pense que le copiste a voulu garder les vers de 8 syllabes pour rester dans la tradition. Question 2 : Ses Lais sont dédiés à un homme. Elle le décrit comme un homme voulant la séduire et prêt à tout pour elle. 4) Elle se place comme le personnage

puissance culmine au v.13 avec « tout à coup » Mots deviennent encore plus violents « furie » « affreux hurlements » cloches comparées à des esprits errants geignent sans fin Caractère déchirant de cette plainte et du gémissement accentué par la diérèse (opini/âtrement) sonorités soulignent la souffrance assonances en an traduit caractère lancinant de cette plainte assonance en i traduisent caractère aigu de cette plainte allitérations en k t p traduisent la violence de la crise L'Esprit est vaincu

peut s'apparenter à de l'ironie renforcée par les 1er mots « à la fin » : étonnant pour le premier c'est du poème; Ce 1er vers ancre d'emblée le poème dans la modernité  le poète ouvre son poème sur la lassitude du monde ancien mit en valeur par la diérèse, reprend en apparence une forme poétique ancienne  - « les tramways feux verts sur l'échine musiquent au long des portées de rails leur folie de mâachine», La Chanson du Mal-Aimé -> Le néologisme « musiquent » transformé ici le symbole de progrès

«déjà»  montre que le temps a passé trop vite – Mallarmé à 51 ans - avec la première place au banquet qui devient la dernière. Poliment, il laisse la place aux autres, avec un compliment : «Vous» au début du vers, une métaphore valorisante : «fastueux», en diérèse, l’allitération en [v], et l’harmonie vocalique qui leur donne finalement toute la place : ils se développent en enjambement sur 2 vers, avec les deux gutturales sourdes claquant en rappel à l’ordre. Les convives forment un groupe heureux, à l’abri