Diérèse

« près d’elle », vers 429 « pour elle ». Mais cet amour absolu est un amour « hors norme » qui ne peut apporter que le désespoir : on le voit avec le vers 440 « sous / l’ha/bit / d’un / va/let, // les / pa/ssi/ons / d’un / roi ». La diérèse sur le mot passion insiste sur le désespoir de Ruy Blas. Il y a une antithèse entre le valet et le roi, et entre l’être et le paraître. Mais cet amour de Ruy Blas pour la reine est impossible à cause du statut social des personnages qui les sépare

1 hexasyllabe  • ralenti le rythme • mise en valeur du tétrasyllabe qui est en dehors de la rime • v 2-3 « et nos amour /faut-il qu’il m’en souvienne » v2 peut se rapporté à la fois au vers 1 et au 3  POLYSEMIE + v16 dierese « violence » qui renvoie au v15 « la vie est lente » PARANOMASE  introduit musicalité  Typographie : • mélange des mètres pairs (strophe) et impairs (refrain) • absence de ponctuation  fluidité du texte qui rappelle le thème de la fuite

possède Néron et prend le dessus sur lui. Elle le fait donc devenir une personne qu'il ne veut pas être car il enlève tout de même Junie pour preuve d'amour. Ces éléments sont des facteurs de la dangerosité de la passion. Avec «curieux» (V.1), la diérèse met en valeur la passion malsaine de Néron. La diphtongue est prononcée en deux syllabes ce qui donne un effet d'insistance sur cette connotation péjorative. Mais c'est à partir du vers 21 avec «Le nouvel amour» que nous pouvons apercevoir la naissance

retrouve ("familier") - Allitérations en "r" (uvulaires) et en "t" (dentales) font sonner durement ce premier vers - Rythme étrange/flou : - nombreux enjambements (v.1, v.3, v.5...) - refus de la césure à l’hémistiche, (v.9, v.13-14..) - diérèses ("inflexion" à prononcer en 4 syllabes vers 14). - Lieu et le temps ne sont pas définis, beaucoup d'éléments non définis (apparence physique v.9, prénom v.10) : la femme est "lointaine" (v.13) => Le rêve est confus : perte de la réalité. 2) Atemporalité

regard amusant sur l’adolescence mais aussi qu’a travers ce poème il y a présence d’une ironie continue. On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans qui commence et se qui se fini par des ses échecs amoureux. On peut donc remarquer une diérèse sur sérieux qui traduit l'insistance sur cet âge que l’on appelle ingrat et naïf fait d'illusions et de maladresses. Le pronom "on" donne une universalité à sa pensée dans laquelle tout lecteur peut se reconnaître. Ici le cadre est banal fait de tilleuls

mentionné au travers du terme fortune et sort. - D’autre part, cette fable dénonce le manque de prudence et l’envie de l’homme de toujours se montrer. La Fontaine inclut le lecteur à la morale par l’expression « défions-nous » (v31) qui porte un diérèse, et qui apporte une universalité au message, valable pour tous.

parallelisme «  l'une est moitié suprement et l'autre subalterne ; l'une est en tout soumise a l'autre qui gouverne » Gradations «  son mari, son chef, son seigneur, et son maitre » Metonymies « votre sexe n'est la... du cote de la barbe » Diereses qui appuye sur certains mots « Le mariage agnes... » « A son superieur... » « lorsqu'il jette sur elle un regard serieux » Il s'appuie sur des exemples repetitifs ( l. 16-17-18 ) accumulation d'exemples. Enfin il s'appuie sur des clichés

dire tous ce qu’il a sur le cœur. Les points de suspensions peuvent donner l’impression qu’il en a le souffle coupé. Les exclamatives aux vers 3 et 5 « Ah ! » sont indicateurs de la colère et de la surprise de Don Salluste. On note également les diérèses qui soulignent l’agacement intense de la part de ce dernier. Le secret qu’il porte quant à sa disgrâce montre qu’il prépare un complot contre la Reine (ver 28 « mais je vais construire et sans en avoir l’air, Une sape profonde, obscure et souterraine

terminent par -es ou -ent. > Heureuse la beauté que le poèt(e) ador(e) ! (Alphonse de Lamartine, « À Elvire ») b- Diérèse et synérèse : Certains mots ont deux sons vocaliques qui se suivent. - On les prononce en diérèse quand on les lit en deux syllabes. > nu-it, mu-et - On les prononce en synérèse quand on les lit en une seule syllabe. > nuit, muet Le choix de les lire en diérèse ou en synérèse dépend du rythme du poème, c’est-à-dire de la longueur des autres vers. Cela permet souvent d’insister

pour Camus. Les actes matériels comme "mange", "bâille" s'opposent mais aussi s'intercalent avec des velléités d'action intellectuelle : "lis". Mais tout est dépourvu d'intérêt : "rien ne me passionne" ; cette expression dans laquelle figure une diérèse met indifféremment en valeur "rien" ou "passionne". L'écoulement de la journée paraît lent et mécanique : une quinzaine de phrases construisent ce texte. La ponctuation ralentit les actes et les juxtapose sans réel enchaînement logique. Les adverbes