Diérèse

"deviser" suggère un élégant badinage amoureux, dans la tradition galante de la société française du XVIIIème siècle, élégante et frivole. Verlaine est un habile utilisateur de l'hyperbole, il introduit ici l'adverbe "délicieusement" qui avec la diérèse "ci—eu", et ses six syllabes, amplifie l'idée qu'il porte, l'idée centrale du poème, celle d'un plaisir intense et délicat dans ce qui apparaît comme des frivolités. L'emploi du verbe "lutiner" qui signifie poursuivre une femme de ses baisers ou de

classiques de l’écriture. En effet, en faisant de la Beauté un être pouvant s’exprimer, il se penche vers l’imaginaire tout en gardant la forme originelle du sonnet et des vers réguliers, ici les alexandrins. Et pour ce faire, il fait intervenir une diérèse dans le mot « muet » (v.4) et le mot « poète » (v.9), un enjambement aux vers 9 et 10 et des rimes riches et suffisantes. Mais, au croisement du parnassien et du symbolisme, il se lie à la théorie de « l’art pour l’art » de Théophile Gautier et souhaite

répétition de l'adresse à la femme aimée «  toi, toi que j'ai tant aimé », placent le poème dans la tradition de l'élégie. De plus, le vocabulaire de l'amour est fortement présent, avec « amour », « cœur » , ou encore « mal-aimé ». D'autre part, la diérèse dans « mélodieux » insiste sur le caractère musical, qui associé à « délire » suggère une sorte de transe poétique. Es assonances en [I] provoquen ainsi une stridente qui mine la souffrance du poète. Ces arguments relève du lyrisme amoureux. Nous

dans cette fable a. La structure du récit. - v1 et v2 : esquisse de la situation. - v3 et v4 : départ du rat. N'utilise pas de mot de liaison. - v5 à v8 : 1ère expérience du vaste monde : naïveté prétentieuse du rat marquée par l'utilisation de la diérèse 'spac(i)eux' (prononciation noble) avec un commentaire du narrateur : "la moindre taupinée était monde à ces yeux" - v13 à v16 : l'auteur dégonfle la prétention du rat - v21 à v33 : disparition physique du rat puis rideau : pas de mot de liaison.

Personnification ; Anaphore ; Assonance ; Métonymie ; EnumérationTexteAnalyse À la fin tu es las de ce monde ancien --Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin --Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et romaine--Ancien : diérèse Objet de la modernité entouré de monuments anciens : tour Eiffel Ponts = moutons Tu = lecteur ~ Tour EiffelAntiquité : monuments + poésie| Rejet du passé3 monostiches ; Désir de poésie moderne : assez de poèmes lyriques ou classiques, assez de traditionIci

grâce à elle qu’Agamemnon a découvert son rôle de père. « Seigneur » elle a conscience du rôle de roi de son père, mais contraste le rôle du roi avec le « doux nom de père ». Elle lui rappelle que le rôle du père est censé être doux. On remarque une diérèse sur le verbe « remercier », en effet cela permet de mettre en avant toute l’admiration qu’Iphigénie avait son père. Elle adore les dieux, ce qui est ironique car ce sont les dieux qui exigent le sacrifice d’Iphigénie. Double sens de sang « lien du

rage" : périphrase qui désigne le loup - tutoiement du loup : marque une hiérarchie , manque de respect du loup - emploi du futur catégorique: nous laisse entrevoir que le loup va inexorablement exécuter sa menace - diérèse "châtié": marque une forte insistance la volonté de "punition" du loup - assonnance + allitération [t] et [é] : tout est fait pour mettre en relief ce vers réponse de l'agneau: - Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté Ne se mette

lui confère une habilité. En outre on remarque 2 césures à l’hémistiche qui montre que la parole du roseau a autant d’importance que celle du chêne. Les pronoms « je » et « me » ne servent qu’à signaler la présence du roseau et non à l’imposer. La diérèse appuie la compassion et montre que le chêne n’est pas charitable. Il y a un peu d’ironie dans ce nom. Le vers 21 met en avant la véritable force du roseau « je plis et ne romps pas » (vers 21). Le roseau installe une incertitude au vers 25. B Une

amours conséquences de la guerre. * Etat Initial : on retrouve pas la paix * La Fontaine => la guerre est un désastre que le vainqueur ne devrait pas se glorifier (v.30) * => leçon pour louis XIV : appel a la prudence (v.31) * Diérèse 3) La Fortune * V.29 : renvoie au v.24 « fatal retour », au sort au v.31 et il s’agit de la fatalité. * Ce n’est pas une question de destin, ce sont les hommes qui travaillent a leur perte. Conclusion : Une fable classique ou La Fontaine

différents personnages (l’agneau et surtout le loup qui est présenté de façon héroïque au vers 29). Mais la remarque du garde « On l’a eu » (vers 29) est vulgaire et cela ne semble pas important « Rien à mettre à la une de son journal » (vers 38/39). La diérèse montre que tout individu peut être cruel par nécessité mais la double morale rappelle qu’il ne faut pas la banaliser et que l’Homme doit s’efforcer de faire le bien. Par ailleurs, nous pouvons donc rappeler que cette fable respecte avant tout les