Diérèse

des courtisans. Au vers 2, le pronom « chacun » traduit un mouvement collectif et unanime. Le complément de but « pour s’acquitter » révèle l’absence de sincérité des condoléances faites au roi, renforcée par le terme « surcroit » au vers 5. Les diérèses (une diphtongue en 2 syllabes) à la rime des vers 4 et 5 « consolation » / «affliction » semblent accentuer la comédie du deuil des courtisans. Les complément de but « pour régler » et « pour placer » aux vers 9 et 10, renvoient au respect du protocole

Messieurs les Courtisans » (vers 15 et 16). On remarque dans ces vers la présence du registre pathétique installé par le champ lexical de la souffrance : « consolation »(v.4), « affliction » (v.5) – on note que ces noms sont mis en valeur par les diérèses ainsi que par leur place à la rime. Et la morale arrive : « Je définis la cour... ». On croirait une histoire avortée. Fausse piste : tout cela n'était qu'une situation initiale stable, la mort de « La femme du lion » faisant en fait partie d'un

déshumanisation que le poète dénonce au travers de la violence de la guerre. En effet, « Et fait de cent milliers d’hommes/ un tas fumant » montre bien que les hommes sont réduits à néant. La coupure à (8/4) et l’hyperbole « cent milliers d’hommes » avec la diérèse sur le [i] de « milliers » mettent en lumière la multitude de soldats livrés au combat. La deuxième partie du vers « un tas fumant » possède 4 pieds et témoigne du destin des hommes qui sont réduits à néant. L’adjectif verbal « fumant » n’est pas

décasyllabique.  Fable conforme à nos attentes par sa variété. II. Un poème qui s’inscrit dans les critères et exigences du classicisme ? 1) - Désir de plaire : classicisme = grandes valeurs - Raison et mesure Cela est marqué par une diérèse (= une syllabe compte pour 2) Le narrateur souligne des mots qu’il refuse : notion de déséquilibre 2) Il dénonce les vices humains : portée morale Les ambitions : Plaire (par le Bûcheron) et Instruire (par sa morale) 3) - Importance de

L’allitération en M insiste sur la sonorité commune à mer et musique. Le premier quatrain est dominé par l’allitération en V qui crée un lien entre tous les mots. Dans le deuxième quatrain assonances en O, même procédé pour les deux quatrains. Les diérèses semblent éterniser les sons. Le sonnet procède par comparaisons et métaphores qui s’engendrent les unes les autres et marquent l’ambivalence de la musique pour le poète 2) La Musique et le poète Dans le premier agit comme une véritable

inesthétique, la végétation et les constructions sont détruites. L'étendue de terre entouré d'eau n'est devenue qu'un «sombre écueil» (v,2) où persiste uniquement des «murs noircis » par le feu (V7), de plus, le mot «ruines» (v,1) est valorisé avec une diérèse. Il n'y a plus de présence humaine car «Tout est désert» (v,7) «Tout est .. deuil» (v,1), l'instance avec «tout» souligne que l'île est morte. L'impression de dureté est également insistée avec l'allitération en «k» dans le premierere strophe.  ----

mettre en relief le contenu plutôt négatif de cette strophe par opposition au contenu plutôt joyeux des autres strophes. On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans qui commence et termine le poème apparait comme la raison de ses échecs amoureux. La diérèse sur sérieux traduit l'insistance sur cet âge ingrat et naif fait d'illusions, de chimères et de maladresses. Le pronom "on" donne une universalité à sa pensée dans laquelle tout lecteur peut se reconnaitre. Le poème est chargé du champ lexical de

pour persuader, il va continuer à utiliser la contradiction du physique et de l'attitude de Marie. Il va créer dans son dernier vers une chute avec la conjonction de coordination, mais et une insistance sur la dureté du coeur de sa belle avec une diérèse sur le mot lionne pour la décider à lui offrir son coeur. Ce texte apparait d'abord comme un poème romantique ordinaire, mais très vite on se rend compte de l'originalité incontesté qu'il y contient. Pierre de Ronsard nous offre une description

ce qui donne une rime masculine isolée, comme le poète. Le vers est à l’image de la rupture amoureuse. -L’absence de ponctuation favorise la fluidité du poème et son ambiguïté en multipliant les sens possibles. -Un calembour est composé par la diérèse vi-o-lente = vie-eau-lente et évoque la lenteur de la vie qui passe. -« Comme », lui-même a plusieurs valeurs : adv. exclamatif,  conj. de cause, temps, comparaison.   Nous allons voir que le même jeu suggère à la fois un temps immobile et circulaire

complètement son valet sans aucun scrupule. Intérêt : La mise en place du stratagème par don Salluste Notions importantes : drame romantique, alexandrins, stratagème fatale, tragique, situation inversé (stratagème pour perdre qqn ≠ Les Fausses Confidences), diérèse, imposture, cynisme, fin tragique - Analyse de texte - Introduction : Titre : Ruy Blas Auteur : Victor Hugo Date : 1838 Genre : drame romantique Registre : tragique 1°) Présentation générale 2°) Présentation de l'extrait Résumé : Madrid. 1698. Ruy