Diérèse

tristesse, Baudelaire sombre. L’auteur montre sa souffrance pour la première fois à la ligne 9 (mais aussi à la ligne 6) « Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige, ». Celle-ci est mise en avant phonétiquement par la diérèse du mot violon. L’allitération en –s est présente et donc, montre la souffrance et le désespoir du poète. Charles Baudelaire utilise un langage poétique musical et symbolique. Il y ajoute beaucoup de métaphores et de comparaison

souligne la relation entre l’odorat et des qualités d’ordre moral.Il faut voir au-delà de la nature et de l’éveil des sens.« Ayant l’expansion des choses infinies » V12, les parfums mènent à l’élévation de l’esprit.L’expansion est mise en valeur par une diérèse, nous obligeant à prononcer en 2 syllabes (si-on et non sion).« qui chantent les transports de l’esprit et des sens » V14 est une proposition subordonnée relative qui complète « l’ambre, le musc, le benjoin » V13. Il y a comme une transcendance (dépassement)

paraphe. Une odeur de charbon qui brûle et d'eau qui bout, Tout le bruit que feraient mille chaînes au bout Desquelles hurleraient mille géants qu'on fouette ; Et tout à coup des cris prolongés de chouette. ce sont les e muet ce sont les dierese Que me fait tout cela, puisque j'ai dans les yeux La blanche vision qui fait mon coeur joyeux, Puisque la douce voix pour moi murmure encore, Puisque le Nom si beau, si noble et si sonore Se mêle, pur pivot de tout ce tournoiement, Au rythme

la première personne « mon », « ma » associé à des termes très forts : « mon ange et ma passion » (plusieurs procédés visent à mettre en valeur cette apostrophe : la position en fin de strophe, le parallélisme dans la construction ainsi que la diérèse qui accentue le dernier mot passi-on, v. 40). Ces figures de style accentuent, là encore, le décalage ironique : ces formes précieuses et raffinées sont déplacées dans un contexte aussi malsain. En outre, l'ironie sera à son comble à la fin du

Bilan : Discours éloquent et travaillé (subordonnées, phrases complexes, vocabulaire soutenu, images, périphrases poétiques, hyperboles…) B) Le discours du roseau Réponse courte et habile car ne s’oppose pas au chêne. V18-19 ironie ; diérèse à « compassion ». Le GN occupe ½ du vers ; le roseau se moque de l’excès de bons sentiments du chêne. Le roseau est sur de lui : V20 sorte de présent de vérité générale. V21 « Je plie et ne romps pas. » Opposition entre « Je » et « Vous ». Le roseau

l’empire d’Alexandre, on peut comprendre que pour les épicuriens, il est primordial d’apprendre à se contenter de peu afin de ne pas être malheureux d’autant plus que la nature pourvoit déjà fort bien à nos besoins élémentaires. Ainsi, la double diérèse dégressive est la suivante ; les plaisirs naturels et nécessaires sont ceux que l’on ne peut mettre de côté et qui sont simples. On peut penser alors à manger, dormir, boire, etc. Quant aux plaisirs naturels et non nécessaires, qui sont pour notre

nous enferme II – Un tableau macabre A / Un lexique et des sons au service du morbide Animaux et mots… Tout ceci amène tristesse (Spleen). + jeux sur sons : assonances pour cloches, expressions difficiles à prononcer (affreux hurlement), diérèse inélégante sur opiniâtrement. B / Un enterrement symbolique L’image dépeinte est celle d’un enterrement, mis en avant par le tiret annonçant la dernière strophe. Enterrement symbolique, défilé : la lenteur du poème serait la lenteur du cortège

éloigne comme l'eau sépare les deux côtés du pont ; impératifs "restons" et insistance sur leur union avec les répétitions "mains dans les mains" - opposition entre lenteur et violence : allégorie avec l'Espérance et insistance sur la douleur avec diérèse dans "violente" -> effort sonore qui montre une intensité - difficulté à ce que la plaie se referme : évocation de sa souffrance amoureuse -> structure particulière et important registre élégiaque II ) Poème incantatoire A) Musicalité

20), « catin et escrocs » (vers 24) et « voleurs » (vers 25). Cet important champ lexical montre la dangerosité de la nuit à Paris. Baudelaire insiste sur la Prostitution. D’abord en utilisant un synonyme « catin » (vers 24), puis en mettant une diérèse, afin que le lecteur ne puisse pas passer à côté de ce mot, et de son mal dans Paris. La comparaison au vers 16 « comme une fourmilière » parle encore de la prostitution e nous fais comprendre qu’elle envahi totalement les nuit de Paris. Au vers 18

impressionniste 1) Un paysage - champ lexical de l’hiver - description d’une plaine enneigée - comparaison entre « les chênes » et « nuées » -> insiste sur l’atmosphère sombre et opaque : atmosphère d’hiver. - « buées » et « nuées » placé à la rime + diérèse : insistance - « poussive » et « maigres » vocabulaire péjoratif -> insise sur le fait que les conditions de vie des animaux en hiver dures. 2) Un paysage flou - La lumière n’est pas vive : atténuée - image du sable affadit la luminosité - lune