Diérèse

du monde chrétien. Les monuments romains, couverts de fresques et de dimensions imposantes, doivent émerveiller les visiteurs mais Du Bellay les rejettent. Dans le GN, le « front audacieux » au vers 10, fait entendre une forme de mépris à travers diérèse qui détache « au-da-ci-eux ». De même, la géo de la ville est rejetée et Du Bellay en profite pour revendiquer son particularisme inscrivant la France dans son Gallicisme à savoir (« mes aïeux », « gaulois », « l’ardoise »). 2. Les valeurs morales

thème est en fait l'aspect tragique de la mort qui est relativisé par la chaleur humaine. Effectivement, l'allitération en -m ainsi que les mises en œuvre des sons « en » et « é »évoque cette chaleur qui relativise la mort. On distingue également la diérèse au vers 12 essuyant qui régule le rythme, c'est signe d'apaisement. Le rythme est très régulier, il suggère contrairement au début du poème un profond apaisement dut à l'entourage amical.On peut voir un rythme 2/4/2/4 qui marque une certain dignité

existence. Les yeux de l’amour représentent ceux de la femme qu’il a rencontrée. En un regard, tout va changer pour lui. La flamme représente le 4e élément , le feu, qui fait son apparition et va éclairer sa vie. Ce poème en décasyllabe contient 2 diérèses qui sont mises en parallèles. « Affections » et « perfections » interviennent à ce moment du texte pour des raisons qui vont expliquer mon développement. Elles vont montrer le résultat positif que l’amour a sur sa vie et viennent donner une vision

description précise de la femme Rapprochement entre la femme et le lieu v.6 à 12 Oxymore v.7 + rapprochement paradoxal de l’idée de lumière et de celle de larmes v.12 V.9 à 12 : caractéristiques de cette femme « charmes », « mystérieux », « traitres » Diérèse + enjambement Ambigüité de la relation Rapprochement mystérieux Ambigüité de cette femme, insaisissable Fascination du poète pour une femme insaisissable Mise en valeur du mot « mystérieux » Un lieu indéfini, irréel, intemporel

il précède un mot commençant par une consonne ou par un h aspiré ainsi qu’à l’intérieur d’un mot [muvəm˜ɑ]. • En fonction du mètre les sons [j ], [je], [jœ], [jε]… se prononcent en une seule syllabe (synérèse -ion-, -ier-…) ou en deux syllabes (diérèse -i-on-, -i-er- …). • La césure est la coupe principale du vers. Elle n’est ni fixe ni obligatoire dans les octosyllabes. En revanche, elle est obligatoire pour les décasyllabes (4//6 ou 6//4) et pour les alexandrins (6//6, dite césure à l’hémistiche)

symétriques avec la succession du passé composé ou passé simple et du futur. Le second tercet rebondit sur une nouvelle image « blessure/ guérison » thème traditionnel de la poésie amoureuse. Nouvel oxymore «scorpion utile », mise en valeur par la diérèse « scorpi-on ». L’auteur va se servir des erreurs de sa jeunesse pour enrichir sa vie à venir. Conclusion : Nous avons étudié la construction du poème qui est donc composé d’une forme orthodoxe et d’une construction binaire. Nous avons observé

« passent », « revenir » + négation : répétés Beaucoup de sujets inversés ð mise en valeur du COD Cf. : c’est l’ordre des mots qui fait que la poésie existe - Jeux des temps verbaux : utilisation du présent de vérité générale ð valeur intemporelle - Diérèse : « vi-o-lente » ð mise en valeur du mot, accentuation - absence de rimes ð ce sont parfois des assonances (mêmes sons qui reviennent)   3)      Mouvement du poème   -          Fluidité due à la présence d’un refrain, à  l’absence de ponctuation

obsédante: ennuis, nuits, plafonds, araignées, cerveaux, cloches, esprits, corbillards; - les adjectifs et les adverbes marquent l'étirement, la durée, l'expan¬sion: longs ennuis, immenses traînées, vaste prison, longs corbillards; opiniâtrement (diérèse expressive), lentement; - les participes présents, assonant avec quand, participent du même effet, en suggérant la durée d'une souffrance sans fin. 3. Un combat allégorique a) La dernière strophe organise cette confusion mentale en un com¬bat:

syllabes prononcées en tenant compte de trois particularités : Le e muet : le –e ne se prononce que s’il est suivi d’une consonne. Il ne se prononce donc pas devant une voyelle et en fin de vers Ex : « J’ai rêvé dans la grott(e) où nage la siren(e) »La diérèse : elle permet de prononcer séparément deux sons habituellement groupes, pour respecter le mètre du poème Ex : Li/on au lieu de lion La synérèse : elle permet au contraire de prononcer en une seule syllabe deux sons habituellement prononces de manière

« Hélas ! » = désespoir « Frappe » v.707 déstructuré = trouble Enjambements v.707-708-709 b. Phèdre réclame sa mort (conséquence du a.) Multiplication d’impératif « venge-toi ; frappe » Champ lexical de la violence v.699  chef d’accusation dans la diérèse « odi/ieux » - suscite la haine - jeux de mot Au Dieux (qui sont la cause de son amour) v.703 métaphore où Phèdre se présente comme monstre-objet. c. Phèdre devient de plus en plus pressante v.704 Quasi mode d’emploi = comme si elle traçait une