Diérèse

folie : « bonheur qui me fuit (vers 5), front joyeux et langueur extrême (vers 10), chaud, froid (vers 12) » L’intensité des sensations et des sentiments se révèle dans les procédés d’amplifications : adjectifs hyperboliques comme « furieux » accentué par la diérèse « fatal », « extrême » ou par l’accumulation d’infinitifs comme « rester, songer, penser,…, oublier et ne vouloir ». Les anaphores « si c’est aimer » au début des trois premiers quatrains miment l’aspect obsessionnel et répétitif des atteintes de

religion est extrêmement compromettant pour Tartuffe, car c'est précisément sa dévotion qui maintenait l'admiration et le respect d'Oronte envers lui. Le ton vicieux sur lequel Tartuffe s'exprime est rendu par la récurrence du son « ie » : on note cinq diérèses sur les mots « liens », « conscience », « rectifier », « action », « intention », en plus du mot « science » (v. 1489-1492). Ce ton insidieux est amplifié par l'assonance en « i ». Au vers 1495 , le fait de dire « n'ayez point d’effroi » : révèle

entre la mort et la vie est renforcé par les deux antithèses « Pale/Lumière » (vers.8) et « Chaudement/Froid » (vers.11). Le présent de narration rend le texte plus vivant ce qui intensifie le contraste. Mais la mort est autant mise en relief par les diérèses « jeune », « bouche », « tête », « nuque » qui fait insister une nouvelle fois sur la dimension physique de sa mort, le fait qu’il ne reste que son corps, ainsi que sur sa jeunesse. L’enjambement au vers 9-10 « Souriant comme, Sourirait un enfant

Il apparaît ici, sous les traits du belluaire (gladiateur qui devait lutter contre des animaux sauvages, sans grande chance, par conséquent, d'être vainqueur dans la lutte). Le belluaire est ici seul, mais son rôle est renforcé par l'emploi de la diérèse (4 syllabes pour le mot). - Le poète a pour mission de réveiller les consciences, de dénoncer ce qui doit l'être. Mais il reste discret : il n'est qu'un messager d'une parole divine, toute-puissante. Ce n'est pas Hugo qui a raison, mais Dieu qui

fait-il pour faire céder Cassandre à son amour? I-Il tente dans un premier temps de la faire culpabiliser. A-En effet, il se présente comme fou amoureux d'elle. -Il cherche un amour sensuel comme en témoigne l'expression v4 «amoureuse envie». -v4 diérèse sur l'adjectif «passi/onné» qui met l'accent sur l'intensité du sentiment de R. -verbe «languir» est caractéristique de la passion car il implique une douleur lente. B-D'ailleurs, il insiste sur sa cruauté. -adjectifs v9 «farouche», «fière» et

« passent », « revenir » + négation : répétés Beaucoup de sujets inversés ð mise en valeur du COD Cf. : c’est l’ordre des mots qui fait que la poésie existe - Jeux des temps verbaux : utilisation du présent de vérité générale ð valeur intemporelle - Diérèse : « vi-o-lente » ð mise en valeur du mot, accentuation - absence de rimes ð ce sont parfois des assonances (mêmes sons qui reviennent)   3)      Mouvement du poème   -          Fluidité due à la présence d’un refrain, à  l’absence de ponctuation

989) il nous fait remarquer une fois de plus qu’il veut qu’elle le quitte, ce sacrifice est vital. Cette idée se retrouve dans la phrase au vers 1002 « Malheur à qui me touche » ou encore au vers 1004, « sans le vouloir, je te ferais du mal ». La diérèse sur le mot contagion dans la phrase « fuis ma contagion » (v. 987) insiste encore sur la nécessité de leur séparation. Ensuite, la présence d’une ponctuation forte et expressive accentue la force des sentiments et la volonté d’Hernani. Une anaphore

devant les voyelle (ou un h muet) et en fin de vers. Ex1 : ( le E majuscule se prononce et le e minuscule est muet ) Je te portE dans moi comme un oiseau blessé (Aragon) Ex 2 : TellEs vous cheminez, stoïques et sans plaintes. (Baudelaire) b) la diérèse consiste à séparer deux voyelles habituellement groupées pour respecter le metre du poeme. ex : Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur d'une langueur Monotone. (Verlaine) ici "violons" se prononce Vi-o-lons les

| Allitération en [n] et en [f] | Alors que la nature est vivante et annimée, le soldat ne bouge pas. Cela est accentué pas les sonnoritées apportées. | Vers 9 « les /pieds /dans /les /glaïeuls,// il /dort. // Sou/ri/ant comme » | Diérèse | Une fois encore, l'auteur veut détourner notre attention avec le mot « souriant ». | Vers 9 « Les pieds dans les glaïeuls il dort » | Connotation | Les glaïeuls sont les fleurs que l'on pose sur les tombes. Cela évoque encore ne

de Molière « La terre s’ouvre et l’abîme » - « l’onde souterraine » rappelle les fleuves infernaux (le Styx), ce qui sera confirmé par l’ « obole à Charon » le nocher des fleuves infernaux . - « un sombre mendiant » mythème de Molière acte III + diérèse = mise en valeur - Antisthène : cynique, connu pour son orgueil - « fier » « fort » appliqué au mendiant > renversement de la pièce = punition de Dom Juan - L’aviron renvoie aux deux tableaux de Delacroix, ce qui fait de ce poème une ekphrasis