Diérèse

la tristesse de Baudelaire devient angoisse au vers 10 et on en trouve une image dramatique du soleil. Enfin, à la quatrième et dernière strophe du pantoum on trouve un contrepoint rassurant et lumineux : souvenir et lumière intérieure. Enfin la diérèse « le vi-o-lont » semble traduire un déchirement affectif.

Rimbaud fait une critique de ses aventures amoureuses d'adolescent encore bien naif. La nature propice aux sentiments On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans qui commence et termine le poème apparait comme la raison de ses échecs amoureux. La diérèse sur sérieux traduit l'insistance sur cet âge naif fait d'illusions, de chimères et de maladresses. Le pronom "on" donne une universalité à sa pensée dans laquelle tout lecteur peut se reconnaitre. Déjà dans "les réparties de Nina" on notait un décalage

du père sévère * Chapitre * Rapidité ce cet amour Juin à aout Construction cyclique : le poète est avec ses amis Le poète est amoureux Le poète est avec ses amis au café * On n’est pas sérieux quand on a 17 ans * Diérèse * Négation * Généralisation ON : Rimbaud + tous ceux qui ont 17 ans. Conclusion : Ce poème est un poème lyrique Rimbaud nous parle des amours de l’adolescence avec émotion et humeur. Rappel : Phrase verbale : La phrase verbale est

« Or, su un mont,or dans une vallée, Or, près d'une onde à l'écart recelée, » Nous pouvons comprendre que le chevreuil est toujours en mouvement grâce à ces différents lieux, et grâce au dernier vers de cette deuxième strophe où la diérèse à « pied » et le pronom cod « le » suivit du verbe « conduit » permet de mettre un relief ses déplacements incessants. Dans cette strophe, la représentation de la vie du chevreuil est associée au rythme et au mouvement, cependant nous allons voir

" sont réunis comme pour nous suggérer à prononcer d'un seul tenant. "Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse"(diérèse au niveau de majestueuse, la femme est "tueuse") Les vers 3 et 4 prolongent cet effet d'allongement par l'enjambement du vers sur le vers 4 et produisent un effet de balancement qui imite la démarche très étudiée de la passante. "fastueuse"(diérèse). Dans ce vers tout est harmonie, symétrie (soulevant et balançant, participe présent) et également par les groupes nominaux

leur condition ou la fête qu’est la splendeur de la nature. Le dernier vers souligne l’insignifiance de l’être humain par rapport à la magnificence du «monde», opposition qui est appuyée par les deux diérèses qu’il faut prononcer : «ri-en» pour l’insignifiance et «radi-eux» pour la magnificence, diérèses par laquelle l’alexandrin est en quelque sorte allongé. Musset s’est moqué de l’importance donnée par Victor Hugo au théme des «soleis couchants» : «Monsieur Hugo va voir coucher Phébus le blond

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Vérification du travail demandé. Ecoute de la chanson de Jean-Louis Aubert. Mise en commun du travail demandé : - 2 quatrains en alexandrins ; diérèse de « bohémi-en » ; Une diérèse : fait de prononcer en 2 syllabes un groupe vocalique qui forme une seule syllabe. - 5 sens : l’ouïe (auditif) ; la vue (visuel) ; le toucher (tactile) ; le goût (gustatif) et l’odorat (olfactif) ; - une sensation : émotion # sentiment :

"l'autre jour" + "j'étais" => indication tempo + imparfait => évenement passé - où ? = en hat d'un escalier ("degrès" dans le texte) - rencontre (v2) isotopie du regard : "avisas" "vue" "yeux" ... => élément déclencheur de l'amour - v13 "victorieux" diérèse => allusion phonique "yeux" - regard + "éblouis" => luminosité => coup de foudre + v4 "en sursaut" = surprise/rapidité (rapport avec la foudre) - cham lex de amour "âme"*3 => amour très fort => émouvant C- Manifestation phys & morale de l'amour

la sensation »selon Épicure -le vieillard semble insister pour une idée de justice (V.5) -absurde , il refuse de voir l’évidence -selon la mort, plus de plaisir à vivre. b) -V.33 , la vie est comparée à un Banquet = tranquillité -V.34, diérèse Re/mer/ci/ant , on doit être reconnaissant Conclusion :

métaphore pour suggéré son gigantisme. Il s’agit en effet selon Théramène d’une montagne faite humide. Par la suite, la description fais de ce craquene envoyé par Neptune est des plus épouvantable, puisqu’il est présenté comme un monstre furieux v.18. La diérèse sur l’épithète suggérant la folie qui c’est emparé de ce monstre et que rien peut arrêter. Théramène décrit ici un monstre des plus menaçants, doté