Dihydrogène

formule est H+ + Cl-. 2. L’acide chlorhydrique réagit avec le fer L’acide chlorhydrique réagit sur le fer en produisant u dégagement de dihydrogène très inflammable noté H2. Il se forme également des ions fer II notés Fe2+. 3. Bilan de la réaction Le bilan de la réaction entre l’acide chlorhydrique et le fer est : acide chlorhydrique + fer  dihydrogène + chlorure de fer II H+ + Cl- + Fe  H2 + Cl- +Fe2+ V. Pile

4332,7 j - période de rotation : 9 h - inclinaison de l'équateur sur l'orbite : 3° - diamètre : 142 800 km - températures : · extrêmes : 17°C et -125°C · de surface : -110°C -température des nuages les plus hauts : -110°C - atmosphère : 78% de dihydrogène, 20% d'hélium, 2% de méthane, traces d'oxyde de carbone, d'éthane, d’acétylène et de phosphine, nuages d'ammoniac et d'eau - à la surface se forment des tempêtes gigantesques capables d'engloutir la Terre - densité réelle : 1,3 - champ magnétique :

0 mol. Et l’avance- Exemple 2 : soit la réaction du dioxygéne avec le dihydrogène qui produit de l’eau. Le tout en phase gazeuse. → 2 H2 O(g) O2 (g) Équation de la réaction 2 H2 (g) + quantités de matière en mol X=0 1, 5 1 0 État initial −1 État final X = Xmax 0 2, 5 × 10 1, 5 Tableau 2: Qui est le limitant ? Le tableau 2 page 5, descriptif de l’évolution du système chimique montre que le réactif limitant est le dihydrogène car nH2 f = 0 mol. Remarque : ce n’est pas parce que l’un des réactifs est

d'accéder au pourcentage massique. Les ions hydrogène sont obligatoirement en excès. 3) Le zinc est en défaut, nous avons donc : n(Zn)i - xmax = 0 donc xmax = n(Zn)i 4) a - Le volume de dihydrogène formé correspond à celui déplacé d'eau donc nous avons : V(H2) = 2,10.10-1 L b - La quantité de dihydrogène formé est donnée par la relation suivante : n(H2) = V(H2) / Vm = 2,10.10-1/ 24,0 = 8,75.10-3 mol c - D'après le tableau d'avancement, nous avons : n(H2) = xmax = n(Zn)i = m(Zn) / M(Zn) m(Zn)

alchimiste est balayé par Lavoisier (1743-1794), physicien et révolutionnaire français. 1808 : un chimiste anglais, John Dalton, démontre en 1808 que deux gaz quelconques se combinent toujours dans des proportions de masses simples. Ainsi 1 g de dihydrogène réagit avec 8 g de dioxygène pour former 9 g d'eau. Selon Dalton, ces résultats s'expliquent si l'on suppose que la matière est constituée des petites particules indivisibles imaginées par les Grecs. À chaque élément chimique correspond un et un

cathode où se produit une réaction électrochimique de réduction (menant à la consommation d’électrons) ) Comme une pile classique, elle consomme son oxydant (ici le dioxygène O2) et son réducteur (ici le dihydrogène H2). Elle continue de fonctionner tant qu’elle est approvisionnée en dihydrogène et dioxygène. Au sein de la pile à combustible se produisent des réactions d’oxydoréduction : À l’anode, a lieu la réaction d’oxydation suivante : 2H2 -> 4 H+ + 4 e- La membrane, imperméable à

: il se dégage qui gaz qui brûle avec une faible détonation ou explosion : c’est le dihydrogène. - A l’anode ; l’électrode relié au pôle positif : il se dégage un gaz qui entretient la combustion. - Le volume de dihydrogène est le double du volume de dioxygène : VH = 2 VO Conclusion : l’élément hydrogène et l’élément oxygène sont deux constituants de l’eau. Relation importante : eau  dihydrogène + dioxygène 18 g 2g 16 g 2. Synthèse de l’eau a) Définition Faire la synthèse

réactifs. c) Qu’arriverait-il à la concentration de chacune des substances de la réaction ? [HCl] Diminution. [O2] Augmentation. [H2O] Aucun changement de concentration, mais diminution de quantité. [Cl2] Diminution. 3 On peut produire du dihydrogène en faisant réagir de l’eau avec du monoxyde de carbone. Après un certain temps, l’équilibre suivant est atteint : CO(g)  H2O(g) CO2(g)  H2(g) Si on injecte du monoxyde de carbone au système, qu’arrivera-t-il à la concentration de chacune

réservoirs de la fusée Ariane V contiennent 24.6 t de dihydrogène et 150 t de dioxygène. Le moteur Vulcain propulse l’étage principal de la fusée, il est alimenté en dihydrogène et dioxygène, dont la combustion produit de la vapeur d’eau. Les énergies de liaisons sont — DO=O = 498 kJ .mol−1 — DO−H = 463 kJ .mol−1 — DH−H = 436 kJ .mol−1 a. Écrire l’équation de la réaction se pro- duisant dans le moteur Vulcain en partant d’une seule molécule de dihydrogène. b. Déterminer la quantité de matière de di- hydrogène

d’amener une grande quantité de chaleur dans le milieu réactionnel. Cet apport d’énergie se fait « in situ » en ajoutant de l’air au mélange CH4/NH3 pour provoquer la réaction suivante : 2 H2 + O2 2 H2O ∆rH° = - 392 kJ.mol-1 (le dihydrogène est issu de la première réaction) On suppose que cette addition d’air n’entraîne pas d'autres réactions. 2. Colonne de lavage (D) Après réaction, les effluents gazeux passent dans un échangeur de chaleur (E1) puis dans une colonne de lavage