Dilemme Inflation Chômage

soutenu par D.J. Harmatuck (1996), S.H.P. Lau et C.Y. Sin (1997), B. SanchezRobles (1998) et K. Button (1998). De telles considérations avertissent du danger des coupes budgétaires, i.e. le risque d’une dégradation d’un instrument de croissance. Ce dilemme est souligné par la Banque Mondiale (1994) concernant de nombreux pays en développement, qui ont souvent été dans l’incapacité, à l’issue d’une période d’ajustement, de relancer la croissance en raison de réductions budgétaires significatives. Cette

groupe des pays pauvres très endettés 166 Tableau F. Principaux documents relatifs aux données 168 178 Encadré A1. Hypothèses de politique économique retenues pour les projections Liste des tableaux 183 Production mondiale (Tableaux A1–A4) 184 Inflation (Tableaux A5–A7) 191 Politiques financières (Tableau A8) 196 Commerce extérieur (Tableau A9) 197 Transactions courantes (Tableaux A10–A12) 199 Balance des paiements et financement extérieur (Tableaux A13–A14) 205 Flux de ressources

on regarde la gravité des dégâts, on voit tous les murs qui s’écroulent, on constate la mise en place de tout les plans sociaux des entreprises, chacun à tendance à défendre ses propres intérêts. C’est la crise économique et le développement du chômage. Donc moins de croissance, moins de rentrée fiscale et plus de dépenses. • La crise sociale, c’est la révolte, car certains seront plus pénalisés que d’autres. Lors de crises comme-celle là, se sont les pauvres qui supportent plus la crise que les

soutenu par D.J. Harmatuck (1996), S.H.P. Lau et C.Y. Sin (1997), B. SanchezRobles (1998) et K. Button (1998). De telles considérations avertissent du danger des coupes budgétaires, i.e. le risque d’une dégradation d’un instrument de croissance. Ce dilemme est souligné par la Banque Mondiale (1994) concernant de nombreux pays en développement, qui ont souvent été dans l’incapacité, à l’issue d’une période d’ajustement, de relancer la croissance en raison de réductions budgétaires significatives.

destinations sont devenus abordables. Cependant la baisse du pouvoir d’achat corrélé à une mauvaise conjoncture économique (inflation, déflation) et un manque d’investissement participe à une récession de croissance du marché touristique.Les embauches d’emploi qualifient une hausse du moral et un pouvoir d’achat plus conséquent pour le tourisme. Cependant à l’inverse le chômage ne permet pas de garantir les loisirs ou autres activités touristiques. 1.1.3 Culturel L’ethnie, l’histoire du pays, les

inégalités, inefficience, frustrations et partant stimulation à la fraude et à l‟évasion. Ceci, d‟une part. D‟autre part, les agents économiques ne cessent de déplorer le niveau excessif de la pression fiscale subie. Et on se retrouve alors devant le dilemme suivant : « Les taux des impôts au Maroc ne sont pas des plus élevés, alors que sur les seize contraintes au développement au Maroc, le niveau élevé des impôts est toujours cité parmi les cinq premières. S’agit-il d’un mode de pensée réfractaire,

cachée s’explique aussi par l’aveuglement des autorités de supervision, des mécanismes de contrôle interne de gestion des risques dans les instituions financières. Cette crise a stoppé la croissance des pays développés, a provoqué une hausse du chômage, de l’inflation et a ralenti les investissements et le commerce entre pays, tandis que les déficits se creusent. La crise a été accentuée avec la hausse des prix du pétrole (147 dollars le baril en juillet 2008, due aux besoins d’énergie des économies

proposer de nouvelles choses, se dépasser pour les entreprises. Notons la stratégie Belgacom qui n’est pas au point pour lutter contre la concurrence. En téléphonie, les concurrents font tout pour que les offres ne soient pas vraiment comparables. ‐ Inflation des budgets commerciaux On dépense de plus en plus dans la promotion, mais on peut voir que malgré tout ca n’augmente pas assez les bénéfices, bataille entre marketing et financiers, les financiers essaient de rationaliser le département marketing

de la récession est fondée sur la notion de demande globale de biens et de services par les consommateurs, les investisseurs et les gouvernements, et non pas sur la variation des prix. Puisque, selon Keynes, l’insuffisance de la demande accroît le chômage, il faut, pour y remédier, que les entreprises augmentent leur niveau d’investissements et que les pouvoirs publics dépensent davantage, par le biais du déficit budgétaire : selon Keynes, la politique économique volontariste peut donc compenser les

développement classés par région, par position extérieure nette et appartenance au groupe des pays pauvres très endettés Encadré A1. Hypothèses de politique économique retenues pour les projections Liste des tableaux Production mondiale (tableaux A1–A4) Inflation (tableaux A5–A7) Politiques financières (tableau A8) Commerce extérieur (tableau A9) Transactions courantes (tableaux A10–A12) Balance des paiements et financement extérieur (tableaux A13–A14) Flux de ressources (tableau A15) Scénario de référence