Dimère

Osmolalité (mOsm/kg H2O) Viscosité à 37° C (cP) Radioselectan 76% Telebrix 12 Na Telebrix 30 M Telebrix 35 2100 640 1710 2100 8,5 1,1 5,2 7,5 14 Responsable médical France/BF/février 2008/PF 0811 Osmolalité et viscosité des dimères de basse osmolalité source : Vidal 2008 Osmolalité (mOsm/kg H2O) Viscosité à 37° C (cP) Hexabrix 200 Visipaque 270 Hexabrix 320 Visipaque 320 370 290 600 290 2,2 5,8 7,5 11,4 15 Responsable médical France/BF/février 2008/PF 0811

(diacides), d’autre part les produits de dimérisation (acides dimères). Les diacides, notamment l’azélaïque ou nonanedioïque, sont utilisés comme les monoacides, pour fabriquer les esters destinés à la lubrification et à la plastification. Ils sont obtenus par ozonolyse d'acides gras insaturé courants : O3,O2 CH3(CH2)7CH=CH(CH2)7COOH ¾® C8H17COOH + HOOC(CH2)7COOH Les acides dimères à 36 carbones sous forme d’esters entrent dans la composition

rayons ultraviolets La plupart des lésions létales engendrées par la lumière ultraviolette sont des dimères entre bases pyrimidiques (T-T ou T-C) dans l'ADN, appelés aussi « photoproduits Ils sont le résultat de l'établissement de liaisons covalentes entre pyrimidines adjacentes sur le même brin. Ces lésions sont le photodimère de «cyclobutanpyrimidine » et le « photoproduit 6-4 ». Dans le cas du dimère cyclobutanpyrimidine, les UV stimulent la formation d’un noyau cyclobutyle à quatre atomes entre

simplification moléculaire lors de la digestion. Celle-ci, par cassure des liaisons, libère des dimères ou des monomères, nutriments absorbables. 2- Les biomolécules énergétiques : les glucides ~ Le polymère glucidique alimentaire le plus consommé, l'amidon, est hydrolysé au niveau des liaisons osidiques, en maltose. Le maltose est ensuite simplifié en glucose, molécule nutriment, pour être absorbé. Les dimères (saccharose, lactose, maltose) et monomères (glucose, galactose, fructose) glucidiques peuvent

dissocie et migre ver PS1. Antenne interne ou proximale associée au cœur du système associée a pp auquel sont associées de la chlorophylle A et des carotènes. Pas de B ici. Centre réactionnel : cté de 2 SU majeur D1 et D2.. ces unités sont cté Un dimère de chlorophyle A qui absorbe a 680 nm qui correspond à chlorophylle piège qui après excitation cède un e à la phéophitine, molécule de chlorophylle ou Mg remplacé par des protons. 42- réaction photochimique Notion de photosynthèse PS2 photosynthèse

pourra observer qu'elle a une structure en chapelet qui correspond en fait à un agencement d'ADN et de protéines. Les petites billes observables au centre des nucléosomes se nomment des histones. On a les histones H2A, H2B, H3 et H4 qui s’associe en dimère H2A/H2B et en H3/H4 et ensuite en octamère. Au centre du nucléosome, on a un octamère d'histones (1,8tour). Ce sont des petites protéines basiques et elles constituent la moitié de la masse des chromosomes eucaryotes. Il y a 5 histones principales:

(Sugiura, 1992). Ces génomes ne sont pas nécessairement organisés en cercles individuels (un génome par cercle). Il a été récemment démontré qu’en plus de la forme circulaire monomérique du plastome, plusieurs formes linéaires organisées en dimère, trimère et même tétramères ont été observées (Bendich, 2004). Il demeure par contre encore incertain sous quelle forme l’ADN plastidial joue le rôle de matrice pour la réplication d’ADN in vivo. Les ADN plastidiaux tout comme le chromosome bactérien

(BER)  3. La réparation par excision de nucléotides (NER)  4. La réparation des mésappariements (MMR)  5. La réunion des extrémités non homologues (NHEJ)  6. La réparation par recombinaison homologue  LA RÉPARATION DIRECTE DE LA LÉSION Dimères de pyrimidine : Action de la photolyase Mécanismes de photoréactivation LA RÉPARATION PAR EXCISION DE BASES (BER)  Mécanisme de réparation d'un dommage au niveau d’une base individuelle de l’ADN  Un tel dommage est réparé par simple

modification de l’ensemble de la structure. Toutes les sous-unités reproduisent à l’unisson la variation de conformation subie par l’une d’elles. 2. Propriétés d’une molécule allostérique Il existe une structure quaternaire (en pratique, entre un dimère et un tétramère) La variation de conformation de la structure dépend du taux d’occupation des sites de liaison. Pour toutes les enzymes allostériques, la cinétique n’est pas michaélienne. Ces molécules jouent des rôles clef dans la régulation du métabolisme

polyhédraux Les trois séries de clusters simples et neutres de boranes sont : – Les nidoboranes BnHn+4 (n est le nombre d’atomes de bore) – Les arachnoboranes BnHn+6 – Les hyphoboranes BnHn+8 Les boranes les plus connus sont : – Le diborane B2H6 (dimère de BH3) – Le pentaborane B5H9 – Le décaborane B10H14 Il existe des dérivés tels que les éthylboranes, dont le triéthylborane Diborane B2H6 Références : - Wikipedia, Borane - B. Crampel, Chimie des constituants des propergols, Note Technique