Dionysiaques

a une France diurne, héroïque, dualiste, cartésienne qui n'a rien à voir avec la France du foyer (la petite maison, le petit jardin, la gastronomie, le vin, l'amour de la nature), et il y a une France révolutionnaire ( en 1789 et en mai 1968), dionysiaque. Une France Hercule, une France Pantagruel et une France Robespierre. On peut en dire autant de l'enseignant, et de l'apprenant, dont l'âge joue ici un rôle capital. Il y aurait donc avantage à tabler sur les archétypes fondateurs, qui sont universels

avec une autre). Le volcan, comme la coupe,  c’est la cuve, le contenant. La coupe contient les fruits de la Terre, de Bacchus tandis que le volcan contient les entrailles de la Terre, c’est à dire le chaos, le désordre [Bacchus-Dyonisos ( ordre dionysiaque contraire de l’ordre d’Apollon]. C. La figure de la Terre-Mère, associé à deux termes opposés : la Terre et le Ciel On a l’image du volcan qui désigne la force tellurique (= de la terre). Au vers 12, il y a allusion de à l’ « argile »

sur scne. Se rjouir de ce spectacle dsolant il faut une force vritablement dionysiaque pour en tre capable. Le philosophe tragique sera un philosophe dionysiaque. b. Lternel retour Lide de lternel retour est lide que ce monde plein de mal et dabsurdit reviendra ternellement. Cette ide rconcilie devenir et ternit, et surtout elle permet de mesurer la force dun esprit le vritable immoraliste, le vritable philosophe dionysiaque sera celui qui est capable de supporter cette pense, de vouloir lternel retour

sérieux que la pensée, « il met à l’épreuve de la souffrance son sujet, il est ce grand jeu sérieux qui ébranle le sujet dans la totalité de son existence tandis que la conceptualité ne joue qu’en superficie » . On comprend dès lors que la dualité dionysiaque – apollinienne reste entière dans l’art et que chacun se doit de l’affronter en personne. Cette dualité explique aussi la pérennité de l’art. L’art recommence toujours avec chaque forme de vie. L’apollinien renvoie à la belle apparence, à la mesure

cortège s'adapte parfaitement à ces scènes puisque madame Tim est suivie des nourrices et tient des grappes d'enfants, elle paraît comme déesse de la joie, de la fête, elle comporte une dimension divine par sa fécondité mais aussi une dimension dionysiaque puisque les enfants sont associés à des grappes, ce qui peut rappeler le vin (thématique des vendanges présente dans le texte, par le biais de la "cuve" également). Cette dimension est appuyée par sa position surplombante et par l'idée que les

* Dire oui à l’ivresse = dire oui à l’explosion de la vie car c’est ainsi qu’elle se présente * Ce qui était glorifié dans tragédie (perdu avec conception chrétienne) -> dialectique philosophique du monde * Alliance du délire Dionysiaque, violent avec belle forme, apparence réglée, hybris sublimée cad figure Apollinienne * Alliance exaltation, débordement, nécessité du beau rêve => pas d’avantages pour l’un ou l’autre => de cette alliance que sort le plaisir * Vouloir

transmission orale, qui se faisait dans des récitations publiques, à la fin des repas communautaires. Le théâtre antique aurait eu pour fonction de réactiver sa performance, de le reconduire à sa profération collective et à sa mise en jeu, dans le rite dionysiaque. Le texte écrit, lui, n'en serait que la trace, et il servirait de canevas à de nouvelles représentations sociales. Il n'était pas conçu comme un objet esthétique, mais comme le support d'un événement rituel. Ainsi la littérature naîtrait lorsque

cérémonie à la fois religieuse et civile, représentée dans des théâtres en plein air, où se réunissaient tous les citoyens, riches comme pauvres. Son origine est mal connue. Aristote la rattache aux chants phalliques accompagnant les cortèges dionysiaques. Si Épicharme est le premier auteur comique attesté, la comédie grecque est connue principalement par Aristophane, Une pièce entière de Ménandre, le Dyscolos, a été retrouvée en 1956 (ap. J-C). 2) La farce médiévale La Farce

place, nécessairement, à la volonté pour permettre à l’œuvre de se concrétiser et de s’apprécier. A. La dualité de l’œuvre d’art se retrouve dans la conception nietzschéenne de la tragédie : Nietzsche (La naissance de la tragédie) : principe dionysiaque (le désir) et principe apollinien (la volonté). La tragédie est symbolique de l’art en général qui est tension entre la démesure et la mesure, entre le désir et la volonté. L’art naît de cette tension, l’un sans l’autre ne peuvent se concevoir.

[détail des éditions] [lire en ligne], Iphigénie en Tauride [détail des éditions] [lire en ligne], Oreste [détail des éditions] [lire en ligne]. Hygin, Fables [détail des éditions] [(la) lire en ligne] (XCVIII ; CXX ; CXXI). Nonnos de Panopolis, Dionysiaques [détail des éditions] [lire en ligne] (XIII, 107). Ovide, Métamorphoses [détail des éditions] [lire en ligne] (XII, 24–38). Pausanias, Description de la Grèce [détail des éditions] [lire en ligne] (I, 43, 1 ; II, 22, 6-7 ; III, 16, 7). Chants