Diploïde

mère de la lignée germinale diploïde à 2n chromosomes à quatre cellules filles haploïdes à n chromosomes qui donnent les gamètes. Il s’agit pour l’organisme de produire des gamètes (spermatozoïdes ou ovules) qui ne délivrent que la moitié de l’information génétique nécessaire à un individu. Par fécondation entre deux gamètes haploïdes, la cellule-œuf récupère n chromosomes du gamète mâle et n chromosomes du gamète femelle : il y a retour à diploïdie 2n. Diploïde = Se dit d’une cellule qui possède

-Toutes nos cellules (sauf cellules reproductrices) sont diploïdes = chacun des chromosomes est en double exemplaire. Humain possèdent 23 paires de chromosomes homologues. Chaque chromosome porte un certain nb de gènes ; chaque gène occupe une place bien précise sur ce chromosome (locus). -Différentes versions d’un même gène : allèle Les allèles sont crées par les mutations de la séquence de leurs nucléotides. Dans cellules diploïdes : Si chromosomes homologues portent tout les deux même allèle :

fécondation sont deux phénomènes cellulaires à l’origine de la diversité des individus. L’analyse des résultats de croisements chez des organismes diploïdes (caryotype à 2N chromosomes) permet de comprendre comment sont brassés et transmis les différents allèles des gènes.Des gènes déterminent la couleur du corps et la longueur de l’aile chez la Drosophile diploïde. La couleur du corps chez la Drosophile est gouvernée par un gène (le gène « ebony ») porté par les chromosomes n°3

les gamétanges mâles et femelles Retentions du zygote et de l’embryon pluricellulaire en développement, le jeune sporophyte. Sporange pluricellulaire formées d’une enveloppe stérile et d’un tissus sporogène interne. Sporophyte diploïde pluricellulaire. Sporophyte diploïde permet d’accroitre le nombre de méiose et spore d’UNE MÊME fécondation. Production de tissus par un méristème apicale. Méiospores dont les parois contiennent de la sporopollénine. Voir figure 16.3

Deux études : HYBRIDATIONS chez les animaux et végétaux en GENETIQUE CLASSIQUE. ARBRES GENEALOGIQUES chez l’Homme en GENETIQUE HUMAINE. TP. Hybridation chez le Sordaria, champignon haploïde. Hybridation chez la Drosophile, insecte diploïde. → mise en évidence de BRASSAGES* d’ALLELES, pendant la GAMETOGENESE (méïose) et la FECONDATION. *brassage = mélange donc nouveaux assortiments d’allèles. Attention : seuls les individus hétérozygotes pour un gène polymorphe, sont

nord-ouest de l'océan pacifique. On la trouve le long du littoral nord de la mer du Japon . La Laminaria montre une alternance de génération, c.-à-d. la génération de sporophyte alterne avec la génération de gamétophyte. La plante du sporophyte diploïde (2n) est une grande macroalgue multicellulaire, tandis que les gamétophytes femelles et mâles microscopiques haploïdes (1n) ont une ou quelque cellules. La Laminaria montre un héterothallisme. Comme mentionné plus haut, la laminaire japonaise est

un vrai zygote. Il y a échange de noyaux haploïdes dont la fusion rétablie la diploïdie. • Accolement au niveau du péristome à les macronucléus dégénèrent. • Les micronucléus subissent une division équationnelle è deux cellules à noyau diploïde. • Une division réductionnelle à deux cellules à quatre noyaux haploïdes è Les pronucléus. • Trois pronucléus par cellule dégénèrent. Le quatrième subit une mitose et donne deux noyaux haploïdes par cellule : ce sont des noyaux de fécondation

exemplaire de chaqu'une des paires de chromosomes (23) -> sont le résultat de la division d'une cellule diploïde par méiose -> fécondation = rencontre entre un ovule haploïde et une spermatozoïde haploïde pour former un œuf -> zygote qui sera diploïde b) la méiose: - à lieu dans les gonades = organes sexuelles - permet de passer de 1 cellule diploïde a 4 cellule haploïde - se réalise en 2 division successives -> pas d'interphase entre

chevauchement de générations - division du travail (=polyéthisme) -les mâles meurent rapidement après l’accouplement Mâles haploïdes (œuf non fécondé) -femelles fertiles= reines -femelles stériles= ouvrières Femelles diploïdes (œuf fécondé) -polymorphisme : reines/ ouvrières/mâles Exemple des abeilles : le phénotype reine ou ouvrière dépend de la qualité et de la quantité de nourriture donnée aux larves (gelée royale avec plus de sucres, plus de sécrétions

nouveaux allèles. b) La structure de l’information génétique Chez les organismes haploïde (n), toute mutation pourra éventuellement avoir un effet phénotypique (chez les haploïde on ne peut pas compenser avec un autre allèle). Chez les organismes diploïdes à reproduction sexuée, chaque individu possède 2 exemplaires de chaque allèle, l’un provient du père, l’autre de la mère. Allèle récessif → pas d’expression en présence de l’autre allèle. Allèle dominant → s’exprime totalement au niveau du phénotype