Dipp Et Dit

politique industrielle au sein des politiques économiques sont fonction de l’attitude des grands courants de pensée à l’égard de l’intervention publique dans le domaine industriel. On peut distinguer plusieurs approches différentes : Le courant libéral dit que les mécanismes du marché sont suffisants pour réguler l’économie. Il fait référence à la main invisible de Smith. L’Etat doit seulement veiller au respect des règles concurrentielles. Pour le courant libéral, il n’existe pas de véritable politique

Cela dit, entre permanences et mutations, d'autres dynamiques industrielles tendent à remettre en cause ce constat Parce que les anciennes puissances industrielles conservent encore une sérieuse avancée technologique Le high-tech/low-cost n'est pas pour demain. Aujourd'hui, en Chine, les 2/3 des exportations de produits électroniques en Chine proviennent d'entreprises à capitaux étrangers (FMN qui ont délocalisé uniquement la production). Nous sommes toujours dans l'ancien modèle de DIPP. D'autre

................................10 SPECIALISATION ET DIVISION INTERNATIONALE DU TRAVAIL : LA MARGINALISATION DES PAYS DU SUD DANS LES ACTIVITES INTENSIVES EN CONNAISSANCE.....................17 QUELQUES PROBLEMES POSES PAR LE DEBAT SUR LA NOUVELLE DIT....................................................26 LE MODELE NEO TAYLORIEN...................................................27 LA QUESTION DU TRANSFERT DE TEHNOLOGIE.....................27 UNE REELLE INTERNATIONALISATION DE LA R&D ?............

conception tentée d’aristocratisme.» (C.-A. MICHALET) C – Souvent, les États ferment les yeux sur les atteintes à la concurrence voire oeuvrent en faveur de la constitution de «champions nationaux» . Les pays en retard usent de «substituts» nous dit A. GERSCHENKRON. Des structures industrielles concentrées et non combattues par les États, alors qu’elles dérogent par rapport aux vertus supposées de la concurrence, représentent dès le XIX° siècle un moyen de combler les écarts de niveau de développement

le revenu de la société aussi grand que possible. « en cela, comme dans beaucoup d’autres cas, il est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions ». Pour justifier ce principe de la main invisible, il dit que si les entreprises cherchent d’abord l’intérêt général alors elles on peu de chance d’y arriver. Il élabore en quelque sorte une sorte de conduite morale des hommes. Mais les intérêts particuliers et les intérêts généraux peuvent ne pas correspondre

dans le rapport qualités prix des services produit avec une main d’œuvre bien formé 2) Les flux internationaux de biens et de services a) La DIT selon une logique de spécialisation. La DIT désigne le fait que les pays se sont spécialisé pour produire certains bien économique et donc ils peuvent échanger leur bien de production. Selon Ricardo la DIT s’opère selon la théorie des avantages comparatif des nations basé sur la productivités donc sur le coût. 3suédois Hocher Ohlin et Samuelson on prolongés

Tripolarisation des échanges - Régionalisation des échanges - De la DIT traditionnelle à la nouvelle DIT ● Pourquoi une telle ouverture ? 1) L’importance du progrès technique 2) Une évolution des moeurs 3) Des théories économiques qui mettent en avant ses bienfaits 4) Le rôle des instances internationales : GATT, OMC, FMI ● Qu’échange-t-on ? 1) Des produits différents, ce qui amène à une spécialisation internationale (DIT) Cette spécialisation peut avoir pour origine : - des

développement, recours à l’aide extérieure, forte dépendance extérieure, hausse du volume de la dette. Détérioration tendancielle des termes de l’échange : TOT=Expo./Imp.*100 Elle tire sa conséquence d’une double réalité : La spécialisation imposée par la DIT (division internationale du travail) et l’intégration des PVD dans le système capitaliste mondial. Le résultat est le suivant : La vente d’une quantité données des matières premières permet d’acheter de moins en moins des biens manufacturés ; les recettes

transnationales ne peuvent être soumises aux règlementations d’un seul pays puisqu’elle sont présentes un peu partout dans le Monde. + Grande liberté. •au niveau de la production : Bénéfice d’avantages relatifs via la décomposition internationale du travail (DIPP), prenons l’exemple de la fabrication d’une voiture qui nécessite l’assemblage de + 5000 pièces. Ces composants sont progressivement réunis en sous-ensembles qui sont associés lors de l'assemblage final. Cette décomposition du produit autorise alors

complète de la chaine de valeur à sa filiale. La filiale va procéder à des Investissement en recherche et développement, assuré la production, l’ingénieurerie etc.… Ce processus converge vers sa cinquième étape. * *L’intégration globale. Autrement dit, les firmes appartenant au même groupe conduisent leur recherche et développement, finance leur investissement et recrutent leur personnels à l’échelle mondial. Dans la deuxième définition la mondialisation désigne une forme de gestion totalement intégré