Direction générale des douanes et droits indirects

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DEVOIRS PROFESSIONNELS DES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT . - Secret bancaire François Bordas Docteur en droit Ancien chargé d'enseignement à l'Université d'Auvergne Points-clés 1. - Le secret bancaire protège les intérêts publics comme les intérêts privés. La violation de ce secret est pénalement sanctionnée (V. n° 1 à 20). 2. - Les informations couvertes par le secret sont les informations confidentielles reçues à titre profession-nel. Mais cela n'interdit pas aux établissements de crédit

7. Titre de transport 19 8. Eléments nécessaires pour l’établissement des documents 20 a) Incoterms 20 i. Notion 20 ii. Types des incoterms 20 iii. Les plus utilisés par CICM : 20  CIF 21  FOB 21 b) Nature et nomenclature générale de la Marchandise 22 c) Mode de paiements 22 i. Crédit documentaire 22 ii. Remise documentaire 23 iii. Encaissement simple 23 B. Transport International 23 a) Mode de transport 23 b) Réalisation d’une opération de transport international

EVALUATION GLOBALE DES RECETTES DU BUDGET GENERAL, DES SERVICES DE L'ETAT GERES DE MANIERE AUTONOME ET DES COMPTES SPECIAUX DU TRESOR POUR L'ANNEE BUDGETAIRE 2012 ( En dirhams ) I. Budget général Chapitre 1.1.0.0.0.02.000 0000 10 20 30 Article Paragraphe DESIGNATION DES RECETTES COUR ROYALE ADMINISTRATION GENERALE Droits de chancellerie sur les armoiries et les blasons Recettes au titre des ordres du Royaume Recettes diverses TOTAL DE L'ARTICLE ADMINISTRATION GENERALE TOTAL DU CHAPITRE COUR ROYALE Mémoire

THEME : L’IMPACT DU BUDGET SUR LA RENTABILITE DE L’ENTREPRISE : LE CAS DE L’O.I.C INTRODUCTION GENERALE I°GENERALITES Toute entreprise quel que soit sa taille et son type vise à atteindre ses objectifs. La définition et la réalisation de leurs objectifs sont des missions qui demandent des efforts considérables aux réponses de ces entreprises. Pour qu'il puisse réaliser ses objectifs, chaque dirigeant est ainsi appelé à mettre à la disposition de l'entreprise toutes les ressources dont cette dernière

refusent de participer au développement du pays et se mettent volontairement à frauder pour satisfaire leur intérêt personnel. Cette attitude illégale a poussé le législateur français a définir la fraude fiscale à partir de l’article 1741 du code général des impôts français Comme : « Quiconque s'est frauduleusement soustrait ou tenté de se soustraire frauduleusement à l'établissement ou au paiement total ou partiel de l'impôt ; soit qu'il ait volontairement omis de faire sa déclaration dans les délais

la lutte anti-contrefaçon ? Quels sont les sanctions à l’encontre de la contrefaçon ? Je vais vous présentez les risques éventuels du faux les consommateur. La contrefaçon est une violation d'un droit de propriété intellectuelle par le fait de reproduire ou d'imiter quelque chose sans en avoir le droit ou en affirmant ou laissant présumer que la copie est authentique. I. La contrefaçon, un danger pour la santé Plus grave, la contrefaçon est dangereuse pour la santé et la sécurité, à l'image

Afrique. I- Notion de géopolitique Bien souvent, la géopolitique pousse à s’interroger sur plusieurs notions. • Les conflits Les conflits sont des combats entre deux ou plusieurs puissances qui se disputent un droit. - Lutte pour les ressources : L’Arctique est un territoire très convoité car il dispose de matières premières riches comme le pétrole et le gaz. Les états riverains se battent pour ce territoire. De plus, des pays lointains comme la France

commerce extérieur, dans son application, nécessite la participation d un certain nombre d institutions parmi lesquelles la douane, acteur majeur. Cette administration sera définie, ses missions clarifiées et son organisation passée en revue. Les formalités en douane et plus spécifiquement le dédouanement seront analysés avec la documentation appropriée. 1. DEFINITION La douane, même si elle peut valablement être assimilée aux notions de frontière ou de taxes, doit être perçue ici comme étant l’administration

Comparative, Analyse Critique Et Recommandations Générales AUTEUR : MLLE LAILA MECHBAL PRESIDENT DU JURY : M. JAMAL MIKOU, DIRECTEUR DE LA ZONE FRANCHE DE TANGER DIRECTEUR DE RECHERCHE : M. HAMDI ABDELKRIM, EXPERT COMPTABLE DPLE SUFFRAGANTS : M. KHALID MOUNTASSIR, EXPERT COMPTABLE DPLE M. RACHID SEDDIK SEGHIR, EXPERT COMPTABLE DPLE Session de Novembre 2006 . Régime fiscal des zones franches au Maroc Etude comparative, analyse critique et recommandations générales. W°w|vtvx ]x w°w|x vx Å°ÅÉ|Üx õ Åt Å¢Üx