Dis-moi que tu m'aimes

te plaît ? Hannah : Euh ouais ouais on y va. Moi : On arrive tout de suite Aux toilettes Moi : Qu’est ce qui t’arrives tout d’un coup t’as l’air bizarre ? Hannah : Euh j’ai rien pourquoi tu dis ça ? Moi : Arrête de me mentir ça se voit. Hannah : Le truc c’est que tu te souviens que je t’avais dis que Ben me plaisais bien et tout ? Moi : Ah ok Hannah : Mais c’est juste passager et puis ce qui est bizarre c’est qu’il soit avec Mélodie mais bon voilà quoi après va falloir qu’on fasse attention

mérimée construit le passage sur les dialogues: les questions de Don José et les répliques de Carmen. Le lecteur ressent l’atmosphère qui devient de plus en plus tendue. Tout d’abord, le Navarrais est calme, il parle de façon posée («Je t’en prie, lui dis-je, sois raisonnable.»(l.1795)), puis il essaye de persuader Carmen («Je me jetai à ses pied, je lui pris les mains, je les arrosai de mes larmes.»(l.1811-1812)). En dernier lieu, comme se réponse est toujours négative («tu me demande l’impossible»

magiques où elles invoquent Marie Padilla, la maîtresse de don Pedro, qui fut, dit-on, la Ban Crallisa, ou la grande reine des bohémiens : - Carmen, lui dis-je, voulez-vous venir avec moi ? Elle se leva, jeta sa sébile, et mit sa mantille sur sa tête comme prête à partir. On m’amena mon cheval, elle monta en croupe et nous nous éloignâmes. - Ainsi, lui dis-je, ma Carmen, après un bout de chemin, tu veux bien me suivre n’est-ce pas ? - Je te suis à la mort, oui, mais je ne vivrai plus avec toi. Nous étions

faire? ARNOLPHE Il est vrai, j'ai sujet d'en être réjoui! Vous ne m'aimez donc pas, à ce compte? AGNES Vous? ARNOLPHE Oui. AGNES Hélas! non. ARNOLPHE Comment, non! AGNES Voulez-vous que je mente? ARNOLPHE Pourquoi ne m'aimer pas, madame l'impudente? AGNES Mon Dieu! ce n'est pas moi que vous devez blâmer: Que ne vous êtes-vous, comme lui, fait aimer? Je ne vous en ai pas empêché, que je pense. ARNOLPHE Je m'y suis efforcé de toute ma puissance; Mais les soins

mais pleurer devant toi ne servirai à rien, alors accepte mon pardon, fais comme si je n’avais jamais rien dit et tout sera comme avant. Tu sais avant, quand on était tous les deux, tu aimais quand on était que tous les deux non ? Parle-moi bordel ! Dis un truc, n’importe-quoi ! Je m’excuse tu comprends ? J’ai fait une erreur, je sais, je comprends ta colère, mais maintenant je suis là, pour toi, je ne suis pas avec quelqu’un d’autre mais toi, toi toi toi et toi merde ! Je t’en supplie… -Rentres chez

  Paule, Juliette, Hugo : Evelyne, tu es faible  Paule balancée d’avant en arrière. Puis se tourne vers le public : « tu vois, tu m’aimes  encore »  Texte transformé :   Evelyne, Tu es faible / Evelyne  tu es fourbe   Evelyne Tu es froide  / Evelyne tu t’en fous  Evelyne Tu es vile  / Evelyne tu es veule   Evelyne tu es vaine/ Evelyne tu es vide/  ­tu vois tu m’aimes encore    3   TABLEAU 4 : LES RUPTURES (coups donnés / coups reçus)    La fautive c’est toi / Si t’es dans c’merdier C’est de ta faute à toi 

MEURTRIER.LE PREMIER MEURTRIER[Eh bien ? À quoi penses-tu, que tu ne m'aides pas?Par le Ciel, le duc saura comme tu as été veuleLE SECOND MEURTRIERX Si seulement il savait que j'ai sauvé son frère.Toi prends la récompense et rapporte lui ce que je dis, car je me repens du meurtre du duc. Il sort.Troisième découpe Acte II scène 2 p157 LA REINE ÉLISABETHY À introduire un acte d'une tragique violence.( Edouard, mon seigneur, ton fils, notre fol, est mort./Pourquoi reste-t-il des branches quand la racine

tu aimais tant, toujours scotché sur son visage! C'est fou comme maintenant elle parait sans vie. Oh, et puis ces coups d'oeil qu'elle te lance, sans aucun retour de ta part, tu les a vu? Elle doit souffrir la pauvre, elle doit vraiment avoir mal. Dis moi, tu restes insencible à son chagrin ou tu te forces? Je me demande aussi où sont passés ses jolis vêtements colorés. Elle ne porte plus que du noir, tu sais c'est la couleur de la tristesse, c'est connu. Elle est en deuil, ça doit être ça, en deuil

importance l’alcool causé sur la santé, mais je fessai comme les autres, je criais pour qu’elle comprenne, alors que moi-même ne comprenais pas… On m’a souvent dis que je ressembler comme deux gouttes d’eau a Emilie, ce qui fais que pour moi, c’étais un peu un modèle, sauf que c’étais celle qui crier le plus sur maman, ce qui fait que je me suis dis que si elle le faisait, ce n’étais pas pour rien, et donc que c’étais forcément bien, donc je l’ai suivis, jusqu’à ce que je grandisse, que je me rende vraiment

? admirable ! cette découverte-là m’enchante. (Elle se regarde encore) Le ruisseau fait toutes mes mines, et toutes me plaisent. Vous devez avoir eu bien du plaisir à me regarder, Mesrou et vous. Je passerais ma vie à me contempler ; que je vais m’aimer à présent ! Carise Promenez-vous à votre aise ; je vous laisse pour rentrer dans votre habitation, où j’ai quelque chose à faire. Églé Allez, allez, je ne m’ennuierai pas avec le ruisseau. Scène IV ÉGLÉ, AZOR Églé un instant seule, Azor