Discipline ecclésiastique

maître” : Les canons vont traiter alors des problèmes de droit d’asile et d’enlèvement qui autrefois étaient abordés dans le Code Théodosien (quatre cent trente-huit) où les différents livres abordaient le droit privé, public, fiscal, pénal et écclésiastique. Les membres du concile veulent alors protéger les ravisseurs de jeunes filles, les esclaves et les auteurs d’homicides ou d’adultères de toute sanction comme la mort ou mutilation en menaçant d'excommunication les poursuivants ou d’exclusion

Pays-Bas gravement menacés → hérésie touche même l'Espagne II) Les décisions, dogmatiques et disciplinaires : entre conservation et innovation. Concile abouti à une œuvre dense. Réforme doctrine = voulue par pape pour condamner protestant. Réforme discipline = voulue par empereur. Deux à la fois : chaque sessions = canons + décrets (« de Réformation ») Source : Débats enregistrés par équipe de notaires / greffiers sous direction d’Angelo Massarelli, qui tenait également chronique du concile. Mine de

l’hérésie simoniaque - tentative de discipliner clergé séculier (Nicolas revoit règle d’Aix) et laïcs (contre inceste et polygamie) 2.) Grégoire VII – un règne combatif et décisif - Nicolas II a bien préparé (1059 et Latran 1060) - avec Grégoire nouvelle dynamique - renouvellement de la condamnation du nicolaïsme et de la simonie (signe que pas encore bien appliqué partout) a) le problème de l’investiture laïque - phases de l´accession aux charges ecclésiastiques inversées  manière canonique

archéologues. Pour cela, elle explique que les archéologues peuvent uniquement démontrer l’organisation collective villageoise, notamment les activités économiques comme des grandes places de marché, ou des lieux de culte lors de découvertes de vestiges ecclésiastiques. De plus, elle relativise une fois de plus la place de l’organisation collective dans l’existence d’institutions villageoises. Et c'est là l’idée principale du texte. Elle prend position et nuance énormément l’apport des découvertes archéologiques

la justice déléguée (la justice qu'il est obligé de déléguer à ses sujets car il ne peut rendre en personne la justice partout). Mais des formes de justices non gérées par le roi existent aussi, c'est les justices seigneuriales, municipales ou ecclésiastiques. Il existe d'autres façons de rendre la justice, c'est le cas de l'infrajustice qui persiste à cause des dysfonctionnements des autres justices. I Justice retenue et déléguée : 1) La justice retenue est celle rendue directement par

la traduction en latin, par saint Jér.me, de la Bible, la seule offi - ciellement reconnue par l’église. . Les Lettres dépravées exigeaient un censeur des Barbares. Si l’on pense comme ces Goths1 ont indignement confondu toutes les disciplines, avec quel orgueil ils enseignent leur faux savoir, avec quel absurde entêtement ils soutiennent leur propre ignorance et méprisent l’érudition d’autrui, on trouvera sans doute bien modeste l’indignation d’un Valla ; on jugera sa colère

socialiser les élèves et de les inclure au sein de la République. A l’époque, c’était également une manière de s’affranchir de l’enseignement d’une morale religieuse propre aux messages véhiculés par l’Eglise. Il faut souligner que les autorités ecclésiastiques de l’époque s’opposent à la République car elles ne tiennent surtout pas à céder leur influence vis-à-vis de l’instruction du peuple. En fait, Ferry va réussir à « sanctifier » le mode simultané[3], codifié dès 1720 par Jean-Baptiste de la Salle

double tranchant. De plus, les famines et épidémies sont toujours présentes. Le mouvement de la Réforme qui s'inscrit par-dessus ce contexte n'est donc pas né de rien. La poussée protestante s'est aussi accompagnée d'une offensive contre la dîme ecclésiastique, principal impôt de l'église dû par tous les détenteurs de terre. Elle part d'Allemagne dans les années 1520 puis atteint la France dans la vallée du Rhône et le bassin parisien dans les années 1560. Enfin, l’Europe connaît une décennie de

chronique est un ensemble de faits historiques rassemblés dans une même œuvre. Les autres documents sont des extraits de conciles qui s'étendent de 989 à 1137. Un concile est une assemblée d'évêques qui statue sur les questions de foi ou de discipline. Raoul Glaber explique la consistance des canons promulgués lors des Conciles. En effet, il l'explique aux lignes 22 à 25 : « Une notice, divisée en chapitres, contenait à la fois ce qu'il était défendu de faire et les engagements sacrés qu'on avait

d’autres évêques, comme celles de Clément de Rome aux Corinthiens, de Polycarpe de Smyrne aux Philippiens, les lettres d’Ignace d’Antioche, toutes datant de la fin du Ier siècle ou du début du IIe s., et contenant des prescriptions concernant la discipline, ainsi que le baptême ou l’ordination, les textes les plus anciens émanent d’une « littérature pseudo-apostolique », autrement dit de traités que l’on dénomme encore « collections canonico-liturgiques ». Genèse des collections canoniques :