Discours Adalbéron

Hollande. Les secteurs protégés par la crise votent Mélenchon, les secteurs qui le sont pas ne votent pas pour ce candidat très anti-crise. Le paysage politique en France est complètement recomposé. c) L’archaïsme de certaines organisations et du discours politique Le politique est toujours en retard. Les organisations politiques sont du temps long, structurellement vivent, se nourrissent de la nostalgie, et ont du mal à percevoir ici et maintenant ce qu’il se passe dans les sociétés industrielles

discrimination entre ses citoyens. Est-ce une raison pour ne pas exiger du corps politique qu'il prenne en compte les différences et qu'il s'en fasse le représentant ? » Jean-Christophe Rufin, dans Le Monde, 14 juin 2002 Les marques de subjectivité • Le discours argumentatif est un énoncé ancré dans la situation d'énonciation. Il est rédigé au présent, le plus souvent à la première personne. La question, je le sais, est iconoclaste en France. • Le locuteur est plus ou moins engagé dans son argumentation

grecques. Art de persuader par la prose. Moyen de parfaire l’éloquence, art du bien dire. Cf. René Martin et Jacques Gaillard Les genre littéraires à Rome. * « la rhétorique est les sciences du bien dire ». Discours du cœur, moment éphémère. La trace écrite va garder la trace des discours prononcés. Tous les genres littéraires ont été créés en Grèce. Les premières œuvres latines ,3 de notre ère. 5 ans séparent lité grecque et latine. * La parole publique y est extrêmement surveillée, n’importe

pu être poursuivie. La phrase précédente peut même être grammaticalement incorrecte. Cela peut être : * un procédé rhétorique laissant la fin de la phrase en sous-entendu ; * une figure de style indiquant une rupture ou une suspension du discours, ou aposiopèse ; * une figure de style marquant une omission volontaire à fins de raccourci, ou ellipse ; * un procédé littéraire permettant, dans un dialogue, de marquer une hésitation, ou quelqu'un qui coupe la parole. Les points de suspension

allons vois les différentes la genèse et les différentes définitions de la stratégie, ces outils, et les projections de celle-ci. I.1. Historique et définitions : Le concept de stratégie est très souvent utilisé dans divers contextes. Dans le discours politique, dans les champs de batailles opposant deux armés, et mêmes lorsqu’il s’agit de jeux d’échecs. Néanmoins on ne s’attarde pas assez sur le sens profond du concept. Du point de vu sémantique, le mot stratégie vient du grec stratos qui signifie

donc pas seulement des tribunaux et le discours au peuple : à ce qu’il semble, il consisterait, s’il existe, en un seul art qui s’occupe de tout ce qui relève du discours, grâce auquel on a la possibilité de rendre toute chose semblable à toute chose,(…) et grâce auquel on a la capacité, lorsqu’un autre opère ces assimilations tout en les dissimulant de les mettre en lumière » p.277 : il sera donc risible, à ce qu’il semble, et dépourvu d’art, l’art du discours de celui qui ne connaît pas la vérité

question de Dieu, on peut se demander ce qui ressort de cette confrontation, quel est finalement le point de vue de la pièce, le point de vue de Molière ? - Plan : Pour cela nous pouvons tout simplement analyser d’abord le discours et le point de vue de Dom Juan avant d’analyser le discours et le point de vue de Sganarelle pour conclure sur l’effet que produit leur confrontation. Développement I) La parole et le point de vue de Dom Juan 1) La réticence initiale de Dom Juan à s’exprimer. - Dom Juan cherche

texte est écrit de façon simple : phrases courtes, peu connecteurs logiques (→ bcp recours parataxe).→ caractère de constat, dénué d'indignation + détachement apparent du personnage renforce satire.• La satire porte sur la justice : à travers le discours de l'avocat, Camus critique la rhétorique judiciaire.→ la plaidoirie concentre les clichés, comme "il y avait lu que j'étais un honnête homme" (l.12) devient à la fin du texte un "travailleur honnête" (l. 29) → répétitions de l'adjectif "honnête"

première moitié du livre III de sa Rhétorique. C'est dans ce livre qu'il énonce qu'il faut envisager trois choses dans le discours : les preuves (invention), l'expression (élocution) et le plan du discours (disposition). Selon Aristote, l'attention portée aux preuves ne suffit pas à persuader, et l'orateur doit s'attacher à la manière de disposer et de présenter son discours. Aristote précise alors que ce travail doit être complété par l'action oratoire, qui correspond à l'art de placer la voix 

b- Une relation entre ami/amicale * ‘’ami’’/confiance pour convaincre/malentendu sur l’identité de Am. c- `présentation du thème et du contexte * Femme, éducation, mariage, arg. + narration (Agnès, couvent, mariage) II) Des discours opposés a- Arnolphe, un bourgeois obstiné * Longes tirades, argument répétées, thèse ‘’mieux veux épouser une ignorante’’ b- Chrysalde, confident de ‘’bon’’ conseil * Contre arguments, questions rhétoriques, abandonne argument