Discours De Badinter

suis captif, mon corps est aux fers, dans un cachot, cellule, grilles du cachot lenfermement, langoisse, la souffrance moraleEffray par lide de la mort Son dsespoir saccrot avec le temps Lutte entre lespoir et la peur Le type dnonc dominant Discours Discours Le ton Pathtique (qui cherche toucher suscite lmotion douloureuse) Pathtique Le pathtique suscite la compassion du lecteur pour le condamn Conclusion il y a une gradation dans le dsespoir. Travail dcriture lissue de la sance dans un court

Commenter un discours argumentatif. | | | |Face à une assemblée politique, deux discours argumentatifs qui cherchent à déterminer un vote. | |Badinter en 1981, discours pour l’abolition

Le conflit, la femme et la mère, de Isabelle Badinter éditions flamarions 2010 Quelques mots sur l'auteur: Élisabeth Badinter est une femme de lettres et une philosophe féministe française, née BleusteinBlanchet, le 5 mars 1944 à Boulogne-Billancourt. Fille de Marcel Bleustein Blanchet, fondateur du groupe Publicis, Elisabeth Badinter assume aujourd'hui un lourd héritage paternel, puisqu'elle est l'actionnaire majoritaire du groupe. Elisabeth Badinter est un personnage controversé : ses idées font

égorgées. Robert Badinter qui est alors avocat s’engage, à travers de nombreux procès dans un combat passionné en faveur de l’abolition de la peine capitale. Ainsi en 1977, Patrick Henry, accusé de l’enlèvement et du meurtre d’un enfant, échappe à la guillotine grâce à la plaidoirie de Robert Badinter, qui fait de ce procès celui de la peine de mort. En mai 1981, François Mitterrand, dont la position abolitionniste est connue de tous, est élu Président de la République. Rober Badinter est alors Garde

qui est un texte de révolte écrit par Olympe de Gouges , puis un texte de Madame de Châtelet Discours sur le bonheur et un dernier texte : l’Ambition féminine par Elisabeth Badinter. Il s’agit de montrer quelles sont les revendications des femmes au 18 siècle. Les textes de Madame de Chatelet et d’Elisabeth Badinter traitent du droit à l’éducation des femmes de façon différente, en effet Elisabeth Badinter utilise la biographie de deux femmes Madame du Chatelet et Madame d’Epinay alors que Madame

mars 1792 définissait la guillotine comme seule moyen d'exécution. II-De la peine de mort à son abolition La France est totalement abolitionniste depuis 1981, c'est en grande partie grâce à l’action du ministre de la Justice de l’époque, Robert Badinter et de sa loi. La France a ensuite interdit les mises à mort publiques après l'exécution d'Eugene Weidmann à Versailles en le 17 juin 1939, cependant les exécutions dans l’enceinte des prisons ont continué jusqu’en 1977. La dernière personne à avoir

Cette peine a été abolie les 17 et 18 décembre 1981 en France grâce à différents écrivains et hommes politiques tel que Roger Badinter, mais ne l'est pourtant pas dans de nombreux pays. Ceci nous amène à nous demander quels moyens sont les plus efficaces pour aborder ce sujet. Pour commencer nous étudierons l'efficacité de la fiction,ensuite nous verrons celle des discours puis enfin nous examinerons quels effets sont produits sur le lecteur. Dans la fiction l'auteur cherche à prendre le lecteur

dans le discours pour donner plus de dynamisme et de convaincre les juges notamment le lecteur de l'absurdité de la peine de mort. 3) Victor Hugo soutient la thèse suivante : il est contre la peine de mort. Afin de défendre son opinion, il va utiliser plusieurs arguments soutenant sa thèse principalement la suivante : «  la société ne doit pas « punir pour se venger » mais corriger pour améliorer. » Ainsi, il défend l'idée que la peine de mort n'est pas un modèle à suivre. Robert Badinter :

Élisabeth Badinter est une femme de lettres et une philosophe féministe française, née Bleustein-Blanchet, le 5 mars 1944 à Boulogne-Billancourt. Elle est actionnaire de référence et présidente du conseil de surveillance du groupe Publicis dont elle possède 10,16 % des actions1. Elle est l'épouse de Robert Badinter, avec qui elle a eu trois enfants. Biographie [modifier] Élisabeth Badinter est une des trois filles du publicitaire Marcel Bleustein-Blanchet et de Sophie Vaillant, petite-fille d'Edouard

de mort est moralement inacceptable » Robert Badinter, garde des Sceaux Le projet de loi abolissant la peine de mort ( le seul ayant abouti ) a été lancé par Robert Badinter (Garde des sceaux et ministre de la justice) en 1981 ayant fait un discours à l'assemblée nationale. Document : N° 310 Enregistré à la Présidence de l'Assemblée nationale le 29 août 1981. présenté AU NOM DE M. PIERRE MAUROY, Premier ministre, PAR M. ROBERT BADINTER, Garde des Sceaux, ministre de la Justice. EXPOSÉ