Discours De Jacques Chirac Le 16 Juillet 1995

structure s'inscrit de façon très directe dans l'esprit de la doctrine. Section 1 : Le principe de séparation des pouvoirs Le principe de séparation des pouvoirs a, dès la fin du XVIIIe siècle, trouvé une concrétisation juridique avec l'article 16 de la DDHC (26 août 1789) qui affirme que « toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée n'a point de constitution » ce qui signifie que le constitutionnalisme est indissociablement lié

soin de préparé un avant constitution ; on va tout de meme associé les parlementaires a ce travail parce que l'avant progés de gouvernement doit etre soumis au comité consultatif constitutionnel qui est un organe spécialement crée par la loi du 3 juillet 1958 . Il composé au 2 tiers de parlementaire sa mission est de rendre un avis sur le progés rédigé par le gouvernement . Le gouvernement doit soumettre son texte au ccc mais n'est pas obligé de suivre son avis . Une fois receuilli l'avis au ccc transmet

« entre ici Jean Moulin avec ton terrible cortège.» André Malraux cite Carnot et les soldats de l'an II ... Ne rentre pas au Panthéon un être exceptionnel, mais « le pauvre préfet martyrisé », le chef du peuple de « l'armée des ombres. » Dans ce discours, André Malraux s'adressant à de Gaulle glorifie Jean Moulin et l'unité résistante. Le panthéonisé est élevé au rang de martyr national et de « héros emblématique de la Résistance ».  Honorer Jean Moulin, c’est bien sûr exalter l’unité de la résistance

du maréchal Pétain. Le film Indigènes a fait beaucoup pour raviver le souvenir longtemps occulté de la participation des troupes coloniales aux combats de la Libération. – La mémoire officielle, prise en charge par l’État, s’exprime par des discours et des commémorations. Les pouvoirs publics se sont efforcés d’instituer une commémoration aussi consensuelle que possible de la guerre, au prix souvent d’une édulcoration de ses aspects les plus controversés. Le mythe d’une France unanimement

de François Mitterrand, confrontons-la à l’article 67 de la constitution de 1958 : « Le président de la République n’est pas responsable des actes accomplis en cette qualité […] » On peut s’étonner du zèle de ces présidents qui déploient tous un discours de la responsabilité très au-delà ce qui est exigé d’eux dans la constitution. Cherchons alors la clarté dans les définitions. La responsabilité politique consiste à répondre de ses actions devant un organe politique ou directement devant le peuple

l’après-guerre à la fin des années 1960 pendant laquelle une mémoire « résistancialiste » est dominante. Puis dans un second temps, du début des années 1970 jusqu’à 1995, un travail historique mène à une relecture des mémoires de la 2ème guerre mondiale. Et pour finir, nous verrons que cette mémoire est apaisée et plus consensuelle depuis 1995. Jusqu'à 1960, nous avions, en France, deux mémoires dominantes de la deuxième Guerre mondiale. L'une était une mémoire gaulliste

mobilise pas pour le rappeler car les préoccupations du quotidien (ravitaillement, inflation…) sont trop fortes. Le départ de De Gaulle marque la fin d’une union nationale et le retour des partis politiques. De Gaulle prononce le célèbre discours de Bayeux du 16 juin 1946 qui préfigure la constitution de la Ve République : doc. 3 p. 281. Il prône un régime parlementaire à tendance présidentielle en réclamant une nette séparation des 3 pouvoirs, 2 assemblées et surtout un président de la République

l'extérieur, vers l'international, de ce fait il est le chef de l'armée. Cet article renvoi à l'article 64 de la constitution qui pose comme principe que le président est le garant de l'indépendance judiciaire, cela permet de justifier, de valider l'article 16 de la constitution qui n'a jamais été remis en cause par les consultations de révisions de la constitution (comité BALLADUR, comité VEDEL...) : pouvoir propre, permet au président de la république de prendre tout les pouvoirs, Jean GICQUEL appel une

sauf la parenthèse vichy). II- les bases textuelles La constitution de 1958 est la 15e constitution depuis 1789 et c’est la 5e qui soit celle d’une république. La constitution de 1958 a été révisé 24 fois. La dernière révision a 15ans : 23 juillet 2008(appelé révision Sarkozy). Lors de cette révision, on révise pas moins de 50 articles(il y en a à la base une centaine). Par exemple : en 1957 l’Europe a été crée (une petit Europe entre 6 pays seulement dont la France) mais la constitution

l’après-guerre à la fin des années 1960 pendant laquelle une mémoire « résistancialiste » est dominante. Puis dans un second temps, du début des années 1970 jusqu’à 1995, un travail historique mène à une relecture des mémoires de la 2ème guerre mondiale. Et pour finir, nous verrons que cette mémoire est apaisée et plus consensuelle depuis 1995. I/ De l’après-guerre à 1960 : Une mémoire « résistancialiste » dominée par les gaullistes et les communistes. 1°) Deux mémoires dominantes en concurrence